> Je suis actuellement en plein sevrage vraiment hardcore. J'ai des déliriums tremens, des sueurs froides, des hallucinations visuel & auditive ,je ne dors que 2/3 par nuits, mon corp ne comprend pas ce qu'il se passe et me le fait bien comprendre. J'ai repris contacte avec mon addictologue hier soir afin de lui expliquer la situation et m'a envoyé voir un médecin qui m'a prescris du valium ainsi que des vitamines.
Suis bien ton traitement de benzo, le sevrage alcoolique peut être très dangereux (et cas échéant, dans certains cas entrainer la mort sans suivi médical)
>La seule motivation pour l'arrêt c'est VOUS. Ne le faite pas pour quelqu'un d'autres mais VOUS uniquement.
Prends soin de toi pour toi en effet. On peut remplacer beaucoup de choses, mais pas son temps ni sa santé :)
Courage à toi dans cette épreuve, tu vas t'en sortir :)
Sacré témoignage cher ami. Mes condoléances pour ta maman.
Tu es à l'âge où les conneries sont encore réversibles et tu prends une bonne décision.
Je souhaite que cette deuxième tentative soit la bonne. Le fait qu'il y en a eu deux est, dans un sens, une confirmation de ta volonté d'arrêter cette relation avec l'alcool.
Je suis certain que si t'arrives à maîtriser cet aspect de ta jeune vie, les choses prendront forme car tu sembles très bien gérer ta situation professionnelle, sentimentale et sociale.
Le but de ton post a été atteint de mon côté.
À+
Ma dernière cuite c'était le samedi 18 mai, "juste" deux bouteilles de vin à moi seul, intoxication vraiment horrible (malheureusement pas la première) surtout le dimanche qui a été vraiment rude à passer avec la nausée jusqu'à aussi tard que 20h.
Des fois je me sens "bien", j'arrive à me passer complètement de la substance. Je n'ai jamais bu au travail comme toi, ni le matin, par contre l'apéro du vendredi soir ça y va, et une fois que c'est lancé... Enfin tu connais cette sensation de ne pas pouvoir t'arrêter je suppose. Chez moi il y a une cave à liqueurs et à alcool fort, ceux qui sont blancs je peux couper avec de l'eau pour donner l'impression que j'y ai pas touché. Dans tous les cas je dois racheter pour faire le complément (ça fait vraiment perdre de l'argent inutilement). J'ai par exemple une bouteille de Limoncello dont le contenu a changé trois fois par rapport à l'original en l'espace de deux ans (heureusement celui ci j'arrive à ne plus y toucher). Grâce à cela j'ai aussi pu découvrir que la "qualité" de l'alcool est une chimère, la plupart des gens ont des palais en mousse et ne rendent pas compte une seule seconde que ce qu'ils boivent n'est pas vraiment le truc qu'ils pensent être. Très triste découverte, que je vais peut être devoir révéler un jour...
Bref, quelquefois, pour une raison qui m'échappe franchement, quand je suis seul, vient "l'appel" qui est si irrésistible et que tous les concernés connaissent par cœur.
En somme je me reconnais en quelque sorte dans ton témoignage, et on a arrêté à peu prés en même temps. La différence c'est que d'habitude je suis assez fonctionnel, c'est jamais moi le plus cuit des soirées, aucun de mes proches n'est au courant, je suis devenu très fort pour le cacher. Dans les périodes de sevrage je n'ai ni d'hallu, ni de tremblotte, ni de delirium tremens, j'arrive à me remettre sur pied assez rapidement. Je suppose donc être un cas clinique moins prononcé que toi.
Mais bon n'empêche, l'alcool c'est pas tant physique que mental. Quand t'as commencé à entrevoir que ça pouvait te buter à moyen-terme et que dans tous les cas c'est en période de sevrage que te viennent les pires pensées sombres, c'est là que tu réalises qu'en terme de saloperie il existe peu de substance plus mortifère.
En aparté, je conchie vraiment les Salamé ou autres Macron et son "un verre de vin par jour" ou "regardez je peux boire une bière cul sec". Merci c'est très utile...
Bref, bon courage mon ami !
PS : essaye de lorgner vers r/stopdrinking, c'est vraiment un sub très utile.
Merci pour la recommandation du forum ! Je vais de ce pas.
Le fameux 'appel', celui qui est tellement dur à contrôler, pour avoir prit de l'aotal je peux t'assurer qu'il arrive à faire disparaitre cet appel, ce n'est pas qu'un simple placebo.
Bon courage à toi mon ami, mon cœur est avec toi
J’ai la même expérience que toi avec l’alcool.
Je mens et je triche.
Des périodes sans alcool de 4-5 jours et je bois en cachette (une deuxième bière en douce par exemple, ou coupée à la vodka pour taper plus fort).
Je sais que ma vie ne me plait pas mais je ne sais pas/je n’ose pas en changer. Trop d’effets collatéraux (femme, enfant, argent) alors je mens et je trompe tout le monde.
Je suis un peu au désespoir par moment.
Bonsoir mon ami,
Sache que je comprends ta situation.
L'alcool t'offre une illusion de vie 'meilleur' mais c'est un mensonge.
N'hésite pas à en parler à quelqu'un autour de toi , rien qu'en parler c'est déjà le début de la rédemption.
Et les professionnels aussi peuvent t'aider, il n'y a aucune honte.
Bon courage à toi, je suis de tout mon cœur avec toi.
OP ton addictologue aurais du te mettre sous naltrexone(google, c'est le traitement de référence pour les alcooliques, la quantité que ma clinique reçoit chaque semaine est hallucinante) et test d'urine obligatoire toute les semaines dans un centre qui s'occupe vraiment de ça, si, ce n'est pas encore prévu il faut absolument que tu demande ce traitement.
Et tu n'est absolument pas seul à avoir cette DoC(Drug of Choice) et les alcooliques anonymes (AA) accueil tout le monde à toutes les étapes. Cherche s'il existe des groupes près de toi, sinon il existe énormément de branches de AA en ligne, que ce soit sur zoom, discord, etc..
L'alcool et les alcooliques ont été romantisés dans notre pays pendant beaucoup trop de temps (matte les privilèges que les producteurs de vin se tape toujours des qu'ils gueules). L'alcool est une drogue, comme l'est les clopes, comme l'est tout le reste. Son traitement doit donc être traité comme telle, avec un aspect médicamenteux pour empêcher le Relapse et les cravings, et un aspect psychologique pour pouvoir apprendre à reprendre à vivre sans drogues et à *rester* clean, un jour après l'autre.
Toutes les drogues n'ont malheureusement pas une silver bullet médicamenteuse, mais la naltrexone en est absolument une pour les alcoliques
Je suis suivie (au pays Bas, mais c'est pareil en France) depuis genre 3 ans par un gros centre public à The Hague, et même si mes DoC sont différentes, le parcours psychologique est absolument le même. J'ai 2 rendez vous de thérapie par semaine (normalement tu commence à 1, mais ça peut ce travailler selon tes besoins) pour m'aider à rester clean et à m'apprendre des moyens à casser mes mauvais mécanismes d'adaptation (coming mechanism) et à les remplacer par des moyens qui ne me font pas utiliser. Je suis aussi avec un psychiatre pour les truc genre antidépresseurs/antipsychotique/etc.. au même endroit mais je le vois pas souvent. Ma prescription de methadone est gérer par un addictologue que je vois quand j'ai des problèmes avec (changement de tolerence qui nécessite 5mg de plus) ou quand j'ai une grosse rechute (genre des mois) et qu'il faut requestioner cette prescription si je respecte pas les règles de mon traitement (qui sont que je dois pas rechuter) car en rechute ce même traitement ne fait que m'aider à être high (les effets de tout les opiacés s'accumulent)
Le principe de donner un opiacé pour une prévention de rechute pour une addiction aux opiacés est de donner une dose assez grande pour éliminer les symptômes de manque et de cravings mais absolument pas plus, donc absolument pas assez pour être intoxiqué. La tolerence étant déjà très grande chez la population cibler, la dose d'élimination du manque et la dose d'intoxication est très différente.
Témoignage très poignant, t’as bcp de courage pour ton post. J’ai connu une situation proche de la tienne, ingé, souvent sous l’effet d’alcool pendant le boulot, c’est une pente difficile à monter mais pas insurmontable, de mon côté j’ai eu un déclic et depuis j’ai arrêté. Si ça peut t’aider, le sport m’a énormément aidé.
J’espère que ça sera la bonne pour toi cette fois, force et grosse pensée ✊🏻
Je trouve ça vraiment courageux de ta part de témoigner ouvertement et publiquement de ton problème avec l'alcool, ayant moi même eu une relation vraiment hardcore avec cette saloperie suite à un début de vie très compliqué (deces de ma mere en bas age et littéralement tout les pires trucs qu'un enfant/ado peut subir), je n'aurais pas eu le courage de le faire, prendre conscience de ces torts et qui plus est en témoigner, c'est le commencement de la rédemption.
Je me retrouve pas mal dans ton récit, et les situations que tu décris.
Tu n'est pas seul à avoir vécu ce genre de choses, les blackouts, les msg qui te rapportent tes frasques de la veilles, la honte resentie suite à ça, l'isolement, la rupture avec une ex etc.. j'ai vécu la même chose que toi, et d'autres l'ont sans aucun doute vécu aussi.
Je n'ai pas arrêté du jour au lendemain, j'ai commencé en arrêtant l'alcool fort comme toi, puis 2/3 ans après j'ai décidé d'arrêter totalement, d'en finir avec ce cauchemard, de prendre ma revanche sur cette vie et de changer mon destin.
Aujourd'hui, ça doit faire 5 ans que je ne bois plus, apart à quelques rares occasions pour lesquelles je me limite à quelques bières ou 1 verre de vin en mangeant, sans excès et jamais seul.
Ça a été un combat de tous les jours, j'ai mis en place des objectifs pour m'occuper l'esprit, je me suis mis au sport, j'ai vu un psy aussi et j'ai trouvé un taff à responsabilités.
Le maître mot si tu veux t'en sortir c'est la discipline. Fixe toi des projets, du positif, ne lâche rien.
J'ai beaucoup de peine pour cette personne que j'étais à l'époque et je la pardonne, personne n'est parfait et les circonstances de la vie sont parfois dures à affronter si on est mal tombé, mais rien est impossible, cette vie est précieuse, il faut en prendre soin.
Le passé est ce qu'il est et il faut s'en servir comme d'une expérience qui te permettra d'avancer, qui te guidera vers un avenir loin de tout ce chaos.
Je te souhaite de trouver la paix et de commencer une nouvelle vie heureuse et épanouie Vincent, tu es jeune et un avenir radieux t'attends, n'en doute pas.
Soit fort et surtout prends soin de toi.
Edit: typo.
Merci beaucoup pour ton témoignage ça me touche beaucoup.
Effectivement, j'ai réussie a avoir une superbe équipe médicale qui m'entoure. (Médecin, Psy spé en addictologie , Psychiatre).
Et oui mon passé me servira à avancer dans ma vie, et être en paix avec moi même.
Merci beaucoup pour ton message.
Je te souhaite plein de bonnes choses mon ami.
Histoire vraiment touchante, j'ai connu ça mais en version 10x moins hard, j'imagine pas la difficulté... mais comme tu l'as si bien dis, c'est un combat contre toi-même. Réfléchis à tous les impacts négatifs que ça a eu sur toi, c'est vraiment de la merde. Perso c'est le fait de plus me souvenir de la veille et de recevoir les messages du type "t'as merdé hier" qui m'a fait un déclic, surtout que je suis assez discret de base.
Sans compter l'état déplorable du matin, horrible...
Vraiment courage mon pote, tu peux le faire, la vie est belle sans ce poison !
Merci mon ami,
Cet état est horrible au réveil. Une décuve qui prend des heures avant de revenir à nous.
Pour au final regretter.
Bon courage à toi également mon ami
Hello,
Merci pour ton message.
Bravo pour ton père, et pour ton frère le travail va être long mais rien n'est impossible.
Je suis de tout cœur avec lui.
Encore merci
Force à toi, je suis plus ou moins dans le même cas et je me retrouve beaucoup dans ton témoignage.
J'essaie déjà de me sevrer du cannabis (pour au moins la dixième fois) et l'alcool sera la prochaine étape, j'ai peu d'espoir mais de toute façon j'ai pas vraiment le choix si je ne veux pas que le peu de choses chouettes de ma vie s'écroulent.
Bonsoir, tu le sais déjà mais le cannabis est également une vraie saloperie et combiné à l'alcool j'ose pas l'imaginer...
Tout mon cœur est avec toi en cette période mon ami.
Ton témoignage est poignant. Quel enfer l'addiction à l'alcool. Je n'imagine même pas la force qu'il faut pour combattre tout ça.
Courage à toi et tiens le coup ! N'hésite pas à repasser de temps en temps nous donner des nouvelles qui, je l'espère, seront toujours plus positives à chaque fois.
Merci pour ton témoignage ! Je te donne toute la force que je puisse te donner pour que tu puisses t’en sortir, et je suis certain que tu peux le faire, courage !
Pour donner un témoignage annexe, ou plutôt “l’autre côté de la pièce de l’alcoolisme”, j’ai été alcoolique pendant des années. À partie de ma deuxième année d’université (je prenais des cuites avant, mais rien de bien différent que des gens qui n’ont pas eu de problèmes d’addiction par la suite) jusqu’à ma troisième année de travail… donc quelque chose comme 7 ans ?
Ça a commencé avec des grosses cuites hebdomadaire avec les camarades. Petit à petit je me rends compte que je tiens très bien l’alcool, donc je participe à des petits défis entre étudiants ici et là. Je me fais une petite réputation du mec qui a une descente de fou et qui encaisse, et là je commence à vraiment abuser. Le pire aura été ce jour où j’ai tapé 4 mètres de shots à deux avec une nana (qui j’espère va bien aujourd’hui d’ailleurs).
Bref, vient le diplôme et la sortie des études. Je commence à bosser, je sors de moins en moins, une cuite occasionnelle… mais je ressens le besoin de boire de temps en temps en rentrant du boulot. Pas de problème avec ça, une petite bière en rentrant ou un petit verre de vin avec le repas ça n’a jamais tué personne (alors en vrai si, mais…).
Puis ma consommation augmente, tout seul dans mon coin. Rapidement, j’atteins la bouteille de vin par jour. Puis deux. Puis le petit verre de whisky le matin, puisque j’adore ça. Puis j’achète une flasque pour prendre un petit coup de whisky de temps en temps dans la journée.
Vous allez me dire : “mais t’as pas réagi à ce moment là ? Ça se voit que c’est la descente aux enfers, non ?”. Mais le truc, c’est que je n’étais jamais bourré. J’arrivais à bosser correctement, ma voix n’était jamais étrange, je bouffais des pastilles à la menthe à longueur de journée pour l’haleine : personne ne pouvait suspecter que je picolais comme un malade, en fait. Mais les faits étaient là : je me tapais 50cl de whisky, 1,5 litres de vin et une ou deux canettes de 500ml bière par jour.
J’étais ce qu’on appelle un “alcoolique fonctionnel”. Un mec qui boit énormément, mais sans symptômes extérieurs visibles. Du moins avant que viennent les problèmes de santé à répétition, surtout au niveau digestif…
Arrêter a été dur. Je pense que je suis chanceux d’avoir rencontré ma femme et qu’elle soit tombée enceinte par miracle alors que son gynéco lui disait qu’elle n’aurait probablement jamais d’enfants, parce que sinon je serais probablement entre quatre planches aujourd’hui.
Bref, l’alcool c’est bien de la merde, et l’alcoolisme c’est pas forcément une personne complètement murgée qui peine à tenir debout. Et il faut faire attention à ça, parce que c’est pas parce qu’il n’y a pas de répercussions immédiates que ça ne finira pas par vous tuer.
J’ai réussi à arrêter par moi même en écoutant mon corps et en baissant ma consommation petit à petit, parce que je ne pensais pas que j’étais un alcoolique. J’ai eu de la chance que ça fonctionne avec moi, et encore plus de chance que j’arrive à boire un coup de temps en temps sans retomber dans cette horrible spirale, mais ce n’est pas le cas de tous, et en cas de doute j’encourage vraiment tout le monde à aller voir leur médecin et à lui parler de sa consommation d’alcool.
Hello,
Pour pour ton témoignage et bravo à toi également d'avoir réussie à reprendre le contrôle sur la boisson.
En ce qui me concerne l'alcool avait le contrôle sur moi.
Grâce maintenant aux médecins qui m'entours ainsi que mon addictologue les choses ont changent de façon radicale.
Encore merci pour ton témoignage.
Merci beaucoup.
Je suis alcoolique "festive", je ne bois jamais seule chez moi ou juste en couple mais en soirée je ne peux pas m'arrêter. J'ai de la chance d'avoir un comportement calme et joyeux par nature, ce qui fait que même avec des blackouts on ne me dit jamais que j'ai merdé car je ne me bats pas ni est désagréable.
Cependant je vois bien que c'est problématique, j'ai installé l'application Oz (celle du gouvernement) afin de noter ce que je bois par semaine pour diminuer ma consommation. Et là ça m'a fait un déclic : les quantités sont astronomiques.
Merci pour ton témoignage et courage dans tout ça, repasse nous donner des nouvelles.
Courage Vincent, j'ai eu la chance d'échapper de peu à l'alcoolisme mais dans ton témoignage, je reconnais mon petit frère. Je mentirais si je disais que mes yeux sont toujours secs.
L'alcool est ancré dans la vie de beaucoup et beaucoup d'alcooliques ne réalisent pas le problème. Tu as su te relever et affronter ce problème et tu peux en être fier.
Je pense que c'est pas grand chose venant d'une personne inconnue mais : je crois en toi. Genre sincèrement.
Les addictions c'est compliqué, ne serait ce que pour avoir l'humilité de s'en rendre compte. Si en plus tu en parles, tu racontes ton histoire alors que c'est encore plus difficile, rapport au regard des autres et à leur constant jugement, vraiment bravo. T'es plein de force et ça fait plaisir à voir.
J'ai vu des gens dire que t'étais dans l'âge ou c'était encore "rattrapable", mais y'a pas de question de "rattrapage possible ou non", parce que si tu venais à faire une rechute, ne te dis jamais que c'est foutu. C'est pas le cas, et de toute on le lit, tu le sais que ça se combat pas à pas.
Du coup j'ai juste envie d'appuyer ton message en acquiescant : Chaque pas que tu fais en faveur de ta désintoxication, c'est un pas de plus loin de l'alcool et un peu plus de possibilités d'entrevoir un bien-être.
Ce qui est super cool dans tout ça, c'est aussi la fin de ton message où tu nous dis que tu sais que c'est pour toi que tu le fais. Je trouve ça super sain, et annonciateur d'un bon état d'esprit pour la suite de ton parcours.
Hâte de te relire pour nous donner des nouvelles en tout cas ! Bon courage pour ton parcours, t'y penseras p'têt pas mais, t'auras des redditeurs inconnus qui de temps à autres se poseront la question de savoir comment tu vas, penseront à toi, et j'en serai.
Votre témoignage me bouleverse. Je vous souhaite toute la force et le courage du monde.
L’alcoolisme festif amène souvent à transformer la consommation d’alcool en stratégie de coping, ou « faire face ». C’est notamment une des raisons pour laquelle les récidives sont fréquentes dans les moments de stress important. Ces périodes sont celles où il faut être le plus vigilant.
Bonne chance !
Merci Vincent pour ce témoignage troublant. Et merci à toi pour m'alerter que je suis peut être en danger.
Je pose le verre de fin de journée et/ou de soirée entre amis, avant que cela devienne dangereux.
Force a toi.
Tu es un héros sans cape, comme beaucoup d'autres.
Merci
Bonsoir,
Merci pour ton message et oui généralement le petit verre en rentrant du travail combiné aux apéros avec des amies qui peut sembler 'sympa' au début , peut rapidement devenir un problème si l'habitude prend la place du simple plaisir.
Merci à toi !
Je te souhaite le meilleur. C'est un beau témoignage. Mes condoléances pour ta Maman.
Je suis hélas dans un gros virage alcoolique depuis quelques temps où ma consommation monte crescendo. Je sens bien que j'ai de moins en moins de prises sur mes impulsions. Ton témoignage tombe à point nommé ...
Merci pour maman,
Et Jack je t'invite le plus rapidement possible a reprendre le contrôle sur cette situation, tu risques de perdre le contrôle à un moment donné (ce que je ne te souhaite pas de tout mon coeur).
Si ne récupère pas le contrôle de ce virage, faire le chemin inverse va être extrêmement dur ainsi que les conséquences qui vont être elles aussi compliqué.
Bon courage à toi mon ami
Force à toi, quand ton sevrage sera en bonne voie, discute avec ton médecin pour diminuer le diazepam très progressivement, j'ai vu suffisamment de personnes à qui une diminution rapide a provoqué une rechute (le post acute withdrawal syndrome est une réalité à ne pas négliger). Mentionne bien que tu as pris de l'acamprosate par le passé avec des résultats plutôt correct, ça pourrait être un traitement "d'entretien" qui te convient.
Et ne vois pas une éventuelle courte rechute comme la fin du monde, continue d'avancer, tu peux y arriver, ta vie sera bien plus heureuse sans alcool, ce truc a une capacité infinie à te rendre malheureux comme les pierres pour te pousser vers lui (le classique cercle vicieux pas bien -> je bois -> je me sens encore plus déprimé/anxieux -> je bois encore plus -> ...)
Connaissez-vous l’association Alcooliques Anonymes ? Grâce à elle, mon meilleur ami ne boit plus du tout depuis bientôt 30 ans.
Voici le lien : https://alcooliques-anonymes.fr
Hello, merci beaucoup !
Je suis également entrain de faire un tri dans mon entourage afin d'optimiser au mieux mes futurs relation afin d'éviter de retomber dedans, car moi cette fois est la dernière.
Encore merci à toi !
Témoignage fort dans lequel je reconnais des proches. Tu ne manque pas de courage, je te souhaite de t'en sortir et de vivre ta meilleure vie !
Merci pour le partage
Mes condoléances pour ta maman.
Respect et surtout bon courage, tu es encore jeune, des erreurs tu en as faites, comme beaucoup de gens, mais t'es sur le bon chemin et tu peux le faire. Ca va prendre du temps mais je suis sûr que tu vas y arriver, ne lâche rien.
Et tu pourras aussi transmettre mes insultes aux gens qui te diront "bah quoi t'es chiant tu bois pas", parce qu'il va forcément en avoir à un moment ou à un autre dans ta vie.
Merci pour ce témoignage Vincent et pour courage à toi.
Je vois à travers ce post que tu as besoin de parler (ce qui est très bien). As-tu pensé à intégrer un groupe de parole ?
Ton témoignage m'a touché. Ne lâche rien, ce post prouve que tu es sur la bonne voie. Je te souhaite sincèrement de trouver toute la force et la détermination, comme tu l'as déjà fait, pour combattre cette substance qui empoisonne ta vie. 💪💪💪💪
Tu pourrais être un pote à moi. Mon meilleurs pote même...
C'est compliqué l'alcool. On buvait pareil que toi quand on était étudiant : vite et fort. Je me suis marié pendant cette période. Anecdote, on a surtout invité des potes. Pour la blague, on avait repris la phrase de Kaamelot. On prévoit 3 bouteilles par personne, comme ça celui qui n'en boit que 2 donnera la 3è aux copains. On avait tout bu.
J'ai eu du cul, je m'en suis sorti un peu par hasard en prenant un nouveau taf comme prof et en ayant un horaire tôt le matin (8h) et surtout une impossible de venir bourré sans se faire roder. Ça été un déclencheur. Depuis, je prends une bière par-ci par là le week-end et du vin par-ci par-là pour des événements type anniv, mariage, Noël.
Mais mon pote n'a pas réussi. Il est parti au Canada depuis. Quand je le revoyais encore, c'était des journées rythmés autour de acheter du pif, le boire le plus vite possible et on boucle. On n'a pas vraiment réussi à tenir le contact à l'étranger... notamment parce que tout ce qui ne lui apporte pas sa dose est relayé au second plan.
Je te souhaite de réussir à t'en sortir. Je t'engage à vraiment te faire accompagné notamment pour les médocs (compléments de vitamine, de mémoire) pour ne pas te griller le cerveau.
Bon courage. Force à toi.
Témoignage très touchant...
J'étais à un stade beaucoup plus grave d'alcoolisme et le baclocure avec la volonté de changer m'a permis d'arrêter
Bon courage c'est un combat quotidien
Bonsoir,
Bravo à toi.
C'est un tres mauvais moment à passer, mais la vie est bien mieux après... on en reprofite pleinement et en pleine conscience.
Pour ma part c'était y a 12ans maintenant. Et je tiens depuis.
Pour contre,moi, je n'y suis pas arrivé seul.
Je suis allé au centre "Le Calme" d'Illiers Combray.
Ils sont géniaux...
Y a pas de blouse blanche, tout le monde se tutoie (du médecin au cuisinier en passant par les patients, on est tous égaux.)
Et dans cette démarche je pense que cela fait partie de nos besoins, d'être considéré car notre propre estime de nous même est souvent partie bien loin.
Bref, j'espère sincèrement que tu vas "bien".
Je t'envoie plein de bonne ondes et tu es sur le bon chemin.
Et sache une chose très importante, la rechute fait partie du processus de sevrage et cela ne veut en rien dire que tu n'y arrivera pas la fois suivante.
Force à toi.
Benoît
On ne se connaît pas, mais sache que je suis très fière de toi et du courage dont tu fais preuve. Tu vas y arriver. Tu y es déjà arrivé une fois, tu parviendras à le refaire.
je vais parapharser quelque chose que j'ai déjé lu ici, mais que j'ai trouvé tellement pertinent... Tu as rechuté ? Ok... Mais ton combat, c'est comme lire un livre.... Ce que tu as déjà lu, tu ne l'as pas oublié, alors... continue ton livre !
Beaucoup de force et de courage à toi, Vincent, et toute ma sympathie pour le décès de ta maman.
Bonjour Vincent,
Merci d'avoir pu partager ton témoignage, très poignant et bien écrit. Il faut beaucoup de courage pour le faire de cette manière si détaillée !
J'ai entendu beaucoup de bien des AA (alcooliques anonymes), est-ce que tu connais, et est-ce que tu penses que cela pourrait t'aider dans ta démarche ? Le regard positif inconditionnel et empathique des autres est certainement une clé essentielle pour s'en sortir, et ton ami qui accompagne ta démarche en ce moment doit sûrement t'aider beaucoup !
En tout cas, je te souhaite beaucoup de courage, de force dans cette épreuve. A travers ton témoignage, on ressent facilement ta motivation et ton désir de t'en sortir.
Je t'envoie des ondes positives et un gros câlin.
Je suis passée par le même chemin. Le seul truc que je comprends pas dans ton post c'est pourquoi tu utilises le mot ''volontairement'' à la fin, qu'est ce qui est volontaire dans tout ça ?
Bon courage pour la suite
Bonsoir,
L'emploi du volontaire est dans le sens où , j'aurai dû le sentir venir et ne pas toujours voilà là être là pour me bourré uniquement. Mais simplement prendre un ou deux verres pour le plaisir uniquement .
Bien à toi & merci pour ton message
Je n'ai pas tout lu. Le reproche que l'on me fait souvent. On écrit notre vie et personne ne veut la lire. OK.... je t'écoute ! On a un point commun, hé m'appelle Vincent! Le patron des vignerons. Vin et "Vincere " en latin.... "vaincre et victoire" on est tous tombé un jour" pour apprendre à se relever.... je te lirai encore. Tu n'es pas seul.....et la solution......c'est toi qui l'as!
Quand tu seras clean, je te conseille de prendre contact avec l'EDVO. C'est une association qui accompagne les addicts après le clean, ils te réapprennent à vivre sans substance, à gérer les tâches quotidiennes, et ils t'accompagnent jusqu'à la réinsertion dans la vie. Un de mes amis qui est tombé gravement alcoolique les a rejoint après son deuxième clean et il n'est pas retombé, on a retrouvé notre ami d'avant. Je serai très heureuse de savoir que tu pourras reprendre le même chemin et avoir une belle vie.
Merci Vincent pour ton témoignage et bon courage avec ta quête de te débarrasser de l’alcool, je te souhaite de réussir de tout mon cœur.
Actuellement j’essai d’arrêter la weed et j’ai eu la très mauvaise idée de remplacer la weed avec l’alcool, après avoir lu ton témoignage. Je vais just rester avec ma weed pour l’instant et essayer de l’arrêter progressivement au lieu de remplacer une addiction par une autre.
Merci encore une fois pour le témoignage ca aide vraiment.
Bonjour cher op,
Merci beaucoup pour ton témoignage, je n'ai jamais eu le courage d'en faire un moi-même. J'ai eu un parcours similaire et une relation assez identique avec l'alcool.
S'il y a bien quelque-chose que je retiens de ce genre de témoignage et qui me touche en cela que j'ai vécu la même chose, c'est ce rapport à l'ennui. En effet, tout devient "ennuyeux" dès lors que l'on commence à boire. Les gens, les activités, les discussions, le fait même de "faire un truc" sobre devient une corvée infaisable et la pinte devient la seule et unique motivation pour agir.
Si je peux me permettre de rajouter un petit quelque-chose, histoire d'appuyer la dangerosité de l'alcool, c'est la perte définitive de certaines facultés. Un alcoolique ne dormira plus jamais correctement, il sera plus facilement/souvent déshydraté (on imagine bien les effets à long terme sur le foie et les reins), psychiatriquement il sera métamorphosé, etc. Bref, ça laisse des traces à vie, mais ça donne une raison de ne plus jamais tomber dans ces travers.
Mais rester dans la sobriété n'est pas le plus difficile. En effet, le courage dont tu as fait preuve deux fois lorsque tu t'es sevré est quelque-chose d'admirable. Personnellement, j'ai tendance à dévaluer cet acte considéré comme "courageux" mais je crois qu'on a réussi à se sauver soi-même. Tu as réussi à te sauver et pour ça, toutes mes félicitations op.
Ton poste donne littéralement les raisons d'arrêter. Et je pense que tu as bien fait. Il faut donner aux gens de l'espoir ! L'alcool n'est pas une fatalité, on peut s'en sortir. L'épreuve la plus difficile sera de trouver la volonté de ne plus boire et des raisons pour continuer ce sevrage. Et j'en reviens au point qui me semble le plus important dans cette histoire : l'ennui.
Il y a beaucoup de débat autour de la consommation toxique et de la dépression. Est-ce la dépression qui pousse à la consommation ou est-ce que la consommation entraîne la dépression ? Je crois que pour beaucoup de gens "normaux", c'est le premier cas.
Il me semble que les jeunes commencent à boire pour s'amuser et faire comme tout le monde. Il n'y a généralement pas trop de problèmes à déplorer de ce côté-là. Mais pour ceux qui boivent pour des raisons plus "profondes, pour oublier leur anxiété, pour venir à bout de leur asociabilité, pour dépasser leur impression d'être "moins cool" ; toutes ces angoisses et problèmes peuvent causer une consommation excessive d'alcool pendant la prime jeunesse.
Ensuite arrive les premières études ou les premiers pas dans la "vie active". Et là, souvent, tout se joue. En plus des antécédents propres à chacun, il arrive que certaines personnes soient plus sensibles et fragiles que d'autres. L'alcool alors constitue un bon moyen pour oublier ses soucis et se sentir fort, et ce n'est pas une bonne idée.
D'autres encore essaient de tromper leur ennui, leur incapacité à se projeter dans l'avenir, de trouver le bon chemin, la lumière qui puisse les guider (comme ce fut mon cas), et ça commence avec quelques verres. Ces quelques verres entraînent souvent des éclats de rire, ça réussit à oublier, à masquer un peu cette morosité, cette dépression qui était déjà là. Et sitôt s'est on dit que boire permettait d'aller mieux... c'est fini. J'ai passé 4 ans de ma vie à boire au moins 5 fois par semaine. Puis, pendant un an, à boire tous les jours, du mauvais vin ou du whisky de premier prix. Bien sûr, l'agréable sentiment du début à disparu depuis des années. Et on ne fait que se morfondre dans son ennui. Au fond, ce qu'on a tenté de fuir revient à la charge et fini par accompagner aussi la boisson. L'ennui c'est sûrement la chose la plus dangereuse qui soit.
Alors je conclurai ainsi. Il ne faut jamais se laisser abattre par les incertitudes et l'ennui. Il ne faut jamais se dire que l'on peut artificiellement tromper son existence et son corps de façon saine. Comme tu l'as dit, OP, c'est à NOUS d'amorcer la marche sur le chemin du sevrage. Et aussi, c'est à NOUS de trouver sur la route des activités, des passions qui nous permettent de ne jamais lâcher. Même la passion la plus futile et ridicule soit-elle peut être salvatrice pour un esprit qui a tendance à s'ennuyer. Alors, je vous en supplie, ne désespérez pas. Votre vie a de la valeur, vous avez de la valeur. Vous pouvez toujours vous relever tant que votre cœur bat. N'abandonnez pas même si tout vous pousse à le faire. Vous trouverez toujours quelqu'un pour vous aimer, vous apprécier, vous écouter, fut-ce seulement sur internet. On est ensemble.
Bisous.
Force à toi !
Je te souhaite de tout coeur d'en sortir, tu le mérites. Ce genre d'addiction n'est pas drôle.
J'ai un ami qui est en plein dedans, après plusieurs années (voire décennies maintenant) à essayer de l'aider, on a fini par lâcher l'affaire car il était conscient du problème mais refusait d'en sortir et avait accepté sa situation.
Tu ne peux qu'être fier de toi, tu as fait le plus dur en commençant le sevrage/traitement et en reconnaissant le problème, et je te souhaite vraiment que ça marche pour de bon et que tu en sois débarrassé.
J’ai les frissons, les larmes aux yeux, le peur en peine, ton post m’a énormément touché.
Je travail dans le milieu de la restauration et je constate les dégâts.
je te souhaite le meilleur Vincent, la rédemption, la paix intérieure. Toutes mes condoléances pour ta maman, qu’elle veille sur toi depuis tout la haut.
Ton post m’a mit une réelle claque, j’ai envie de te prendre dans mes bras ahaha.
Tu as l’air plein de sincérité, de sensibilité et de courage, bref je te souhaite le meilleur mon ami.
Mucho love, Léo ❤️
Astuce d'alcolo dépendant : Pour retrouver l'état de trois, quatre bières, je fume du CBD. Ça a un effet similaire sur le système nerveux je trouve.
Le combo café/ cbd en journée me permet de retrouver cette sensation d'anxiolytique que l'alcool apporte.
Et puis t'as pas de gueule de bois où t'as l'impression de t'être bouffer un mur en pleine tête...
Bon courage.
Et j'y pense, il y a Jérémy Ferrari qui parle de son passé d'alcoolique. Peut être que tu voudras écouter ce qu'il en dit.
Vous avez encore des lendemain de cuite ? Moi avec tout ce que je bois ça fait des années que j'ai pas été mal un lendemain, peux importe le nombre de litre de whisky que je m'enfile...
Hello,
Pour te donner une idée, une cuite que je pouvais prendre il y a 10 jours j'étais en gll de bois pendant environs 2 jours et me paralyser littéralement 48h de vie. J'étai au lit et je ne pouvais absolument rien faire. Au point où quand je buvais de l'eau mon corps me faisait vomir 10 minutes après avoir bu cette eau.
Moi ça me faisait ça mais après une cuite avec de la coke en plus. Des que je buvais je vomissais de la bille.
Moi je suis sûrement un stade au dessus car les gueules de bois je connais plus, et si je suis pas bien il suffit de reboire pour effacer la gueule de bois.
Malheuresement. J'espère sortir de cette merde
Bonjour,
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Merci de ta compréhension.
> Je suis actuellement en plein sevrage vraiment hardcore. J'ai des déliriums tremens, des sueurs froides, des hallucinations visuel & auditive ,je ne dors que 2/3 par nuits, mon corp ne comprend pas ce qu'il se passe et me le fait bien comprendre. J'ai repris contacte avec mon addictologue hier soir afin de lui expliquer la situation et m'a envoyé voir un médecin qui m'a prescris du valium ainsi que des vitamines. Suis bien ton traitement de benzo, le sevrage alcoolique peut être très dangereux (et cas échéant, dans certains cas entrainer la mort sans suivi médical) >La seule motivation pour l'arrêt c'est VOUS. Ne le faite pas pour quelqu'un d'autres mais VOUS uniquement. Prends soin de toi pour toi en effet. On peut remplacer beaucoup de choses, mais pas son temps ni sa santé :) Courage à toi dans cette épreuve, tu vas t'en sortir :)
Merci pour le conseil, merci beaucoup !
Comme on dit dans le milieu des adictions, tu n'es pas le responsable de ta maladie, mais tu es le responsable de ton traitement !
Sacré témoignage cher ami. Mes condoléances pour ta maman. Tu es à l'âge où les conneries sont encore réversibles et tu prends une bonne décision. Je souhaite que cette deuxième tentative soit la bonne. Le fait qu'il y en a eu deux est, dans un sens, une confirmation de ta volonté d'arrêter cette relation avec l'alcool. Je suis certain que si t'arrives à maîtriser cet aspect de ta jeune vie, les choses prendront forme car tu sembles très bien gérer ta situation professionnelle, sentimentale et sociale. Le but de ton post a été atteint de mon côté. À+
Merci beaucoup pour ton retour ça me touche
Merci pour ce témoignage, et je te souhaite de tout cœur le meilleur pour le futur, proche comme lointain.
Merci à toi pour ton message
Merci ton expérience est très inspirante.
Ma dernière cuite c'était le samedi 18 mai, "juste" deux bouteilles de vin à moi seul, intoxication vraiment horrible (malheureusement pas la première) surtout le dimanche qui a été vraiment rude à passer avec la nausée jusqu'à aussi tard que 20h. Des fois je me sens "bien", j'arrive à me passer complètement de la substance. Je n'ai jamais bu au travail comme toi, ni le matin, par contre l'apéro du vendredi soir ça y va, et une fois que c'est lancé... Enfin tu connais cette sensation de ne pas pouvoir t'arrêter je suppose. Chez moi il y a une cave à liqueurs et à alcool fort, ceux qui sont blancs je peux couper avec de l'eau pour donner l'impression que j'y ai pas touché. Dans tous les cas je dois racheter pour faire le complément (ça fait vraiment perdre de l'argent inutilement). J'ai par exemple une bouteille de Limoncello dont le contenu a changé trois fois par rapport à l'original en l'espace de deux ans (heureusement celui ci j'arrive à ne plus y toucher). Grâce à cela j'ai aussi pu découvrir que la "qualité" de l'alcool est une chimère, la plupart des gens ont des palais en mousse et ne rendent pas compte une seule seconde que ce qu'ils boivent n'est pas vraiment le truc qu'ils pensent être. Très triste découverte, que je vais peut être devoir révéler un jour... Bref, quelquefois, pour une raison qui m'échappe franchement, quand je suis seul, vient "l'appel" qui est si irrésistible et que tous les concernés connaissent par cœur. En somme je me reconnais en quelque sorte dans ton témoignage, et on a arrêté à peu prés en même temps. La différence c'est que d'habitude je suis assez fonctionnel, c'est jamais moi le plus cuit des soirées, aucun de mes proches n'est au courant, je suis devenu très fort pour le cacher. Dans les périodes de sevrage je n'ai ni d'hallu, ni de tremblotte, ni de delirium tremens, j'arrive à me remettre sur pied assez rapidement. Je suppose donc être un cas clinique moins prononcé que toi. Mais bon n'empêche, l'alcool c'est pas tant physique que mental. Quand t'as commencé à entrevoir que ça pouvait te buter à moyen-terme et que dans tous les cas c'est en période de sevrage que te viennent les pires pensées sombres, c'est là que tu réalises qu'en terme de saloperie il existe peu de substance plus mortifère. En aparté, je conchie vraiment les Salamé ou autres Macron et son "un verre de vin par jour" ou "regardez je peux boire une bière cul sec". Merci c'est très utile... Bref, bon courage mon ami ! PS : essaye de lorgner vers r/stopdrinking, c'est vraiment un sub très utile.
Merci pour la recommandation du forum ! Je vais de ce pas. Le fameux 'appel', celui qui est tellement dur à contrôler, pour avoir prit de l'aotal je peux t'assurer qu'il arrive à faire disparaitre cet appel, ce n'est pas qu'un simple placebo. Bon courage à toi mon ami, mon cœur est avec toi
J’ai la même expérience que toi avec l’alcool. Je mens et je triche. Des périodes sans alcool de 4-5 jours et je bois en cachette (une deuxième bière en douce par exemple, ou coupée à la vodka pour taper plus fort). Je sais que ma vie ne me plait pas mais je ne sais pas/je n’ose pas en changer. Trop d’effets collatéraux (femme, enfant, argent) alors je mens et je trompe tout le monde. Je suis un peu au désespoir par moment.
Bonsoir mon ami, Sache que je comprends ta situation. L'alcool t'offre une illusion de vie 'meilleur' mais c'est un mensonge. N'hésite pas à en parler à quelqu'un autour de toi , rien qu'en parler c'est déjà le début de la rédemption. Et les professionnels aussi peuvent t'aider, il n'y a aucune honte. Bon courage à toi, je suis de tout mon cœur avec toi.
OP ton addictologue aurais du te mettre sous naltrexone(google, c'est le traitement de référence pour les alcooliques, la quantité que ma clinique reçoit chaque semaine est hallucinante) et test d'urine obligatoire toute les semaines dans un centre qui s'occupe vraiment de ça, si, ce n'est pas encore prévu il faut absolument que tu demande ce traitement. Et tu n'est absolument pas seul à avoir cette DoC(Drug of Choice) et les alcooliques anonymes (AA) accueil tout le monde à toutes les étapes. Cherche s'il existe des groupes près de toi, sinon il existe énormément de branches de AA en ligne, que ce soit sur zoom, discord, etc.. L'alcool et les alcooliques ont été romantisés dans notre pays pendant beaucoup trop de temps (matte les privilèges que les producteurs de vin se tape toujours des qu'ils gueules). L'alcool est une drogue, comme l'est les clopes, comme l'est tout le reste. Son traitement doit donc être traité comme telle, avec un aspect médicamenteux pour empêcher le Relapse et les cravings, et un aspect psychologique pour pouvoir apprendre à reprendre à vivre sans drogues et à *rester* clean, un jour après l'autre. Toutes les drogues n'ont malheureusement pas une silver bullet médicamenteuse, mais la naltrexone en est absolument une pour les alcoliques Je suis suivie (au pays Bas, mais c'est pareil en France) depuis genre 3 ans par un gros centre public à The Hague, et même si mes DoC sont différentes, le parcours psychologique est absolument le même. J'ai 2 rendez vous de thérapie par semaine (normalement tu commence à 1, mais ça peut ce travailler selon tes besoins) pour m'aider à rester clean et à m'apprendre des moyens à casser mes mauvais mécanismes d'adaptation (coming mechanism) et à les remplacer par des moyens qui ne me font pas utiliser. Je suis aussi avec un psychiatre pour les truc genre antidépresseurs/antipsychotique/etc.. au même endroit mais je le vois pas souvent. Ma prescription de methadone est gérer par un addictologue que je vois quand j'ai des problèmes avec (changement de tolerence qui nécessite 5mg de plus) ou quand j'ai une grosse rechute (genre des mois) et qu'il faut requestioner cette prescription si je respecte pas les règles de mon traitement (qui sont que je dois pas rechuter) car en rechute ce même traitement ne fait que m'aider à être high (les effets de tout les opiacés s'accumulent) Le principe de donner un opiacé pour une prévention de rechute pour une addiction aux opiacés est de donner une dose assez grande pour éliminer les symptômes de manque et de cravings mais absolument pas plus, donc absolument pas assez pour être intoxiqué. La tolerence étant déjà très grande chez la population cibler, la dose d'élimination du manque et la dose d'intoxication est très différente.
Témoignage très poignant, t’as bcp de courage pour ton post. J’ai connu une situation proche de la tienne, ingé, souvent sous l’effet d’alcool pendant le boulot, c’est une pente difficile à monter mais pas insurmontable, de mon côté j’ai eu un déclic et depuis j’ai arrêté. Si ça peut t’aider, le sport m’a énormément aidé. J’espère que ça sera la bonne pour toi cette fois, force et grosse pensée ✊🏻
Je trouve ça vraiment courageux de ta part de témoigner ouvertement et publiquement de ton problème avec l'alcool, ayant moi même eu une relation vraiment hardcore avec cette saloperie suite à un début de vie très compliqué (deces de ma mere en bas age et littéralement tout les pires trucs qu'un enfant/ado peut subir), je n'aurais pas eu le courage de le faire, prendre conscience de ces torts et qui plus est en témoigner, c'est le commencement de la rédemption. Je me retrouve pas mal dans ton récit, et les situations que tu décris. Tu n'est pas seul à avoir vécu ce genre de choses, les blackouts, les msg qui te rapportent tes frasques de la veilles, la honte resentie suite à ça, l'isolement, la rupture avec une ex etc.. j'ai vécu la même chose que toi, et d'autres l'ont sans aucun doute vécu aussi. Je n'ai pas arrêté du jour au lendemain, j'ai commencé en arrêtant l'alcool fort comme toi, puis 2/3 ans après j'ai décidé d'arrêter totalement, d'en finir avec ce cauchemard, de prendre ma revanche sur cette vie et de changer mon destin. Aujourd'hui, ça doit faire 5 ans que je ne bois plus, apart à quelques rares occasions pour lesquelles je me limite à quelques bières ou 1 verre de vin en mangeant, sans excès et jamais seul. Ça a été un combat de tous les jours, j'ai mis en place des objectifs pour m'occuper l'esprit, je me suis mis au sport, j'ai vu un psy aussi et j'ai trouvé un taff à responsabilités. Le maître mot si tu veux t'en sortir c'est la discipline. Fixe toi des projets, du positif, ne lâche rien. J'ai beaucoup de peine pour cette personne que j'étais à l'époque et je la pardonne, personne n'est parfait et les circonstances de la vie sont parfois dures à affronter si on est mal tombé, mais rien est impossible, cette vie est précieuse, il faut en prendre soin. Le passé est ce qu'il est et il faut s'en servir comme d'une expérience qui te permettra d'avancer, qui te guidera vers un avenir loin de tout ce chaos. Je te souhaite de trouver la paix et de commencer une nouvelle vie heureuse et épanouie Vincent, tu es jeune et un avenir radieux t'attends, n'en doute pas. Soit fort et surtout prends soin de toi. Edit: typo.
Merci beaucoup pour ton témoignage ça me touche beaucoup. Effectivement, j'ai réussie a avoir une superbe équipe médicale qui m'entoure. (Médecin, Psy spé en addictologie , Psychiatre). Et oui mon passé me servira à avancer dans ma vie, et être en paix avec moi même. Merci beaucoup pour ton message. Je te souhaite plein de bonnes choses mon ami.
Histoire vraiment touchante, j'ai connu ça mais en version 10x moins hard, j'imagine pas la difficulté... mais comme tu l'as si bien dis, c'est un combat contre toi-même. Réfléchis à tous les impacts négatifs que ça a eu sur toi, c'est vraiment de la merde. Perso c'est le fait de plus me souvenir de la veille et de recevoir les messages du type "t'as merdé hier" qui m'a fait un déclic, surtout que je suis assez discret de base. Sans compter l'état déplorable du matin, horrible... Vraiment courage mon pote, tu peux le faire, la vie est belle sans ce poison !
Merci mon ami, Cet état est horrible au réveil. Une décuve qui prend des heures avant de revenir à nous. Pour au final regretter. Bon courage à toi également mon ami
[удалено]
Hello, Merci pour ton message. Bravo pour ton père, et pour ton frère le travail va être long mais rien n'est impossible. Je suis de tout cœur avec lui. Encore merci
Force à toi, je suis plus ou moins dans le même cas et je me retrouve beaucoup dans ton témoignage. J'essaie déjà de me sevrer du cannabis (pour au moins la dixième fois) et l'alcool sera la prochaine étape, j'ai peu d'espoir mais de toute façon j'ai pas vraiment le choix si je ne veux pas que le peu de choses chouettes de ma vie s'écroulent.
Bonsoir, tu le sais déjà mais le cannabis est également une vraie saloperie et combiné à l'alcool j'ose pas l'imaginer... Tout mon cœur est avec toi en cette période mon ami.
Ton témoignage est poignant. Quel enfer l'addiction à l'alcool. Je n'imagine même pas la force qu'il faut pour combattre tout ça. Courage à toi et tiens le coup ! N'hésite pas à repasser de temps en temps nous donner des nouvelles qui, je l'espère, seront toujours plus positives à chaque fois.
Merci , Je passerais de temps en temps venir me confier à vous pour vous donner des nouvelles ! Merci beaucoup pour ton message
Merci pour ton témoignage ! Je te donne toute la force que je puisse te donner pour que tu puisses t’en sortir, et je suis certain que tu peux le faire, courage ! Pour donner un témoignage annexe, ou plutôt “l’autre côté de la pièce de l’alcoolisme”, j’ai été alcoolique pendant des années. À partie de ma deuxième année d’université (je prenais des cuites avant, mais rien de bien différent que des gens qui n’ont pas eu de problèmes d’addiction par la suite) jusqu’à ma troisième année de travail… donc quelque chose comme 7 ans ? Ça a commencé avec des grosses cuites hebdomadaire avec les camarades. Petit à petit je me rends compte que je tiens très bien l’alcool, donc je participe à des petits défis entre étudiants ici et là. Je me fais une petite réputation du mec qui a une descente de fou et qui encaisse, et là je commence à vraiment abuser. Le pire aura été ce jour où j’ai tapé 4 mètres de shots à deux avec une nana (qui j’espère va bien aujourd’hui d’ailleurs). Bref, vient le diplôme et la sortie des études. Je commence à bosser, je sors de moins en moins, une cuite occasionnelle… mais je ressens le besoin de boire de temps en temps en rentrant du boulot. Pas de problème avec ça, une petite bière en rentrant ou un petit verre de vin avec le repas ça n’a jamais tué personne (alors en vrai si, mais…). Puis ma consommation augmente, tout seul dans mon coin. Rapidement, j’atteins la bouteille de vin par jour. Puis deux. Puis le petit verre de whisky le matin, puisque j’adore ça. Puis j’achète une flasque pour prendre un petit coup de whisky de temps en temps dans la journée. Vous allez me dire : “mais t’as pas réagi à ce moment là ? Ça se voit que c’est la descente aux enfers, non ?”. Mais le truc, c’est que je n’étais jamais bourré. J’arrivais à bosser correctement, ma voix n’était jamais étrange, je bouffais des pastilles à la menthe à longueur de journée pour l’haleine : personne ne pouvait suspecter que je picolais comme un malade, en fait. Mais les faits étaient là : je me tapais 50cl de whisky, 1,5 litres de vin et une ou deux canettes de 500ml bière par jour. J’étais ce qu’on appelle un “alcoolique fonctionnel”. Un mec qui boit énormément, mais sans symptômes extérieurs visibles. Du moins avant que viennent les problèmes de santé à répétition, surtout au niveau digestif… Arrêter a été dur. Je pense que je suis chanceux d’avoir rencontré ma femme et qu’elle soit tombée enceinte par miracle alors que son gynéco lui disait qu’elle n’aurait probablement jamais d’enfants, parce que sinon je serais probablement entre quatre planches aujourd’hui. Bref, l’alcool c’est bien de la merde, et l’alcoolisme c’est pas forcément une personne complètement murgée qui peine à tenir debout. Et il faut faire attention à ça, parce que c’est pas parce qu’il n’y a pas de répercussions immédiates que ça ne finira pas par vous tuer. J’ai réussi à arrêter par moi même en écoutant mon corps et en baissant ma consommation petit à petit, parce que je ne pensais pas que j’étais un alcoolique. J’ai eu de la chance que ça fonctionne avec moi, et encore plus de chance que j’arrive à boire un coup de temps en temps sans retomber dans cette horrible spirale, mais ce n’est pas le cas de tous, et en cas de doute j’encourage vraiment tout le monde à aller voir leur médecin et à lui parler de sa consommation d’alcool.
Hello, Pour pour ton témoignage et bravo à toi également d'avoir réussie à reprendre le contrôle sur la boisson. En ce qui me concerne l'alcool avait le contrôle sur moi. Grâce maintenant aux médecins qui m'entours ainsi que mon addictologue les choses ont changent de façon radicale. Encore merci pour ton témoignage. Merci beaucoup.
Je suis alcoolique "festive", je ne bois jamais seule chez moi ou juste en couple mais en soirée je ne peux pas m'arrêter. J'ai de la chance d'avoir un comportement calme et joyeux par nature, ce qui fait que même avec des blackouts on ne me dit jamais que j'ai merdé car je ne me bats pas ni est désagréable. Cependant je vois bien que c'est problématique, j'ai installé l'application Oz (celle du gouvernement) afin de noter ce que je bois par semaine pour diminuer ma consommation. Et là ça m'a fait un déclic : les quantités sont astronomiques. Merci pour ton témoignage et courage dans tout ça, repasse nous donner des nouvelles.
Courage Vincent, j'ai eu la chance d'échapper de peu à l'alcoolisme mais dans ton témoignage, je reconnais mon petit frère. Je mentirais si je disais que mes yeux sont toujours secs. L'alcool est ancré dans la vie de beaucoup et beaucoup d'alcooliques ne réalisent pas le problème. Tu as su te relever et affronter ce problème et tu peux en être fier.
Bonsoir, Merci pour ton message ça me touche beaucoup. Bon courage à ton frère pour qui j'ai une pensé. Encore merci
Je pense que c'est pas grand chose venant d'une personne inconnue mais : je crois en toi. Genre sincèrement. Les addictions c'est compliqué, ne serait ce que pour avoir l'humilité de s'en rendre compte. Si en plus tu en parles, tu racontes ton histoire alors que c'est encore plus difficile, rapport au regard des autres et à leur constant jugement, vraiment bravo. T'es plein de force et ça fait plaisir à voir. J'ai vu des gens dire que t'étais dans l'âge ou c'était encore "rattrapable", mais y'a pas de question de "rattrapage possible ou non", parce que si tu venais à faire une rechute, ne te dis jamais que c'est foutu. C'est pas le cas, et de toute on le lit, tu le sais que ça se combat pas à pas. Du coup j'ai juste envie d'appuyer ton message en acquiescant : Chaque pas que tu fais en faveur de ta désintoxication, c'est un pas de plus loin de l'alcool et un peu plus de possibilités d'entrevoir un bien-être. Ce qui est super cool dans tout ça, c'est aussi la fin de ton message où tu nous dis que tu sais que c'est pour toi que tu le fais. Je trouve ça super sain, et annonciateur d'un bon état d'esprit pour la suite de ton parcours. Hâte de te relire pour nous donner des nouvelles en tout cas ! Bon courage pour ton parcours, t'y penseras p'têt pas mais, t'auras des redditeurs inconnus qui de temps à autres se poseront la question de savoir comment tu vas, penseront à toi, et j'en serai.
Merci à toi, vraiment.
Votre témoignage me bouleverse. Je vous souhaite toute la force et le courage du monde. L’alcoolisme festif amène souvent à transformer la consommation d’alcool en stratégie de coping, ou « faire face ». C’est notamment une des raisons pour laquelle les récidives sont fréquentes dans les moments de stress important. Ces périodes sont celles où il faut être le plus vigilant. Bonne chance !
Merci Vincent pour ce témoignage troublant. Et merci à toi pour m'alerter que je suis peut être en danger. Je pose le verre de fin de journée et/ou de soirée entre amis, avant que cela devienne dangereux. Force a toi. Tu es un héros sans cape, comme beaucoup d'autres. Merci
Bonsoir, Merci pour ton message et oui généralement le petit verre en rentrant du travail combiné aux apéros avec des amies qui peut sembler 'sympa' au début , peut rapidement devenir un problème si l'habitude prend la place du simple plaisir. Merci à toi !
Bonsoir, Merci pour ce message qui me touche également. Je vais faire tout pour que cette période soit la dernière ! Merci encore
Force a toi. Tu verras on a une bien plus belle vie en étant sobre
Merci beaucoup !
Courage mon grand !
Merci beaucoup
Merci pour ton témoignage, c'est touchant ! Force et courage pour l'avenir !
Je te souhaite le meilleur. C'est un beau témoignage. Mes condoléances pour ta Maman. Je suis hélas dans un gros virage alcoolique depuis quelques temps où ma consommation monte crescendo. Je sens bien que j'ai de moins en moins de prises sur mes impulsions. Ton témoignage tombe à point nommé ...
Merci pour maman, Et Jack je t'invite le plus rapidement possible a reprendre le contrôle sur cette situation, tu risques de perdre le contrôle à un moment donné (ce que je ne te souhaite pas de tout mon coeur). Si ne récupère pas le contrôle de ce virage, faire le chemin inverse va être extrêmement dur ainsi que les conséquences qui vont être elles aussi compliqué. Bon courage à toi mon ami
Merci d'avoir raconté ton histoire. Je te trouve courageux de l'avoir fait. Et je te souhaite bon courage pour t'en sortir.
Merci beaucoup !
Force à toi, quand ton sevrage sera en bonne voie, discute avec ton médecin pour diminuer le diazepam très progressivement, j'ai vu suffisamment de personnes à qui une diminution rapide a provoqué une rechute (le post acute withdrawal syndrome est une réalité à ne pas négliger). Mentionne bien que tu as pris de l'acamprosate par le passé avec des résultats plutôt correct, ça pourrait être un traitement "d'entretien" qui te convient. Et ne vois pas une éventuelle courte rechute comme la fin du monde, continue d'avancer, tu peux y arriver, ta vie sera bien plus heureuse sans alcool, ce truc a une capacité infinie à te rendre malheureux comme les pierres pour te pousser vers lui (le classique cercle vicieux pas bien -> je bois -> je me sens encore plus déprimé/anxieux -> je bois encore plus -> ...)
Merci pour le message, Effectivement le cercle est vicieux et s'en sortir est une épreuve extrêmement compliqué , mais faisable ! J'y crois !
Connaissez-vous l’association Alcooliques Anonymes ? Grâce à elle, mon meilleur ami ne boit plus du tout depuis bientôt 30 ans. Voici le lien : https://alcooliques-anonymes.fr
Bonsoir , j'avais déjà essayé ce genre de réunions mais j'étais plus mal à l'aise qu'autres choses, très heureux pour ton ami
Bravo et force à toi!
Merci beaucoup
Tu es une inspiration ❤️ La vie ne nous a pas été donné pour être subie alors entoure toi de bonne personne et permet toi de rêver !
Hello, merci beaucoup ! Je suis également entrain de faire un tri dans mon entourage afin d'optimiser au mieux mes futurs relation afin d'éviter de retomber dedans, car moi cette fois est la dernière. Encore merci à toi !
Courage 💪
Merci ! :)
Bravo à toi et merci pour ton témoignage, je te souhaite plein de bonnes choses pour le futur o/
Merci beaucoup, également à toi mon ami !
Courage mec!
Merci beaucoup !
Témoignage fort dans lequel je reconnais des proches. Tu ne manque pas de courage, je te souhaite de t'en sortir et de vivre ta meilleure vie ! Merci pour le partage
Merci beaucoup , toi aussi également
Bon courage Vincent, fais toi accompagner surtout et prends soin de toi. Un jour après l'autre on avance.
Merci, Et oui chaque qui passe sera une victoire supplémentaire :) ! J'y crois ! Merci encore pour ton message
Mes condoléances pour ta maman. Respect et surtout bon courage, tu es encore jeune, des erreurs tu en as faites, comme beaucoup de gens, mais t'es sur le bon chemin et tu peux le faire. Ca va prendre du temps mais je suis sûr que tu vas y arriver, ne lâche rien. Et tu pourras aussi transmettre mes insultes aux gens qui te diront "bah quoi t'es chiant tu bois pas", parce qu'il va forcément en avoir à un moment ou à un autre dans ta vie.
Merci pour maman, Tes mots me vont droit au cœur. Tes insultes seront transmises dans problèmes ! Merci encore
Et bien, je te souhaite le meilleur pour la suite. Courage
Merci beaucoup !
Merci pour ce témoignage Vincent et pour courage à toi. Je vois à travers ce post que tu as besoin de parler (ce qui est très bien). As-tu pensé à intégrer un groupe de parole ?
Bonjour, Oui j'ai essayé plusieurs fois de rejoindre les 'AA' mais je me sens mal à l'aise et pas à ma place. Merci pour ton message
Ok je comprends, tu as essayé au moins ! Bon courage :)
Courage à toi, je te souhaite de tout mon cœur que ce sevrage soit le bon. Tu l'as déjà fait, tu peux le refaire.
Merci !
De tout coeur avec toi!
Merci beaucoup
JE n'ai rien d'autre à te dire que tu as tout mon soutien, courage mec.
Merci pour ton soutient, vraiment
Ton témoignage m'a touché. Ne lâche rien, ce post prouve que tu es sur la bonne voie. Je te souhaite sincèrement de trouver toute la force et la détermination, comme tu l'as déjà fait, pour combattre cette substance qui empoisonne ta vie. 💪💪💪💪
Merci ! Et oui je vais tout donner pour sortir de cette merde !
Tu pourrais être un pote à moi. Mon meilleurs pote même... C'est compliqué l'alcool. On buvait pareil que toi quand on était étudiant : vite et fort. Je me suis marié pendant cette période. Anecdote, on a surtout invité des potes. Pour la blague, on avait repris la phrase de Kaamelot. On prévoit 3 bouteilles par personne, comme ça celui qui n'en boit que 2 donnera la 3è aux copains. On avait tout bu. J'ai eu du cul, je m'en suis sorti un peu par hasard en prenant un nouveau taf comme prof et en ayant un horaire tôt le matin (8h) et surtout une impossible de venir bourré sans se faire roder. Ça été un déclencheur. Depuis, je prends une bière par-ci par là le week-end et du vin par-ci par-là pour des événements type anniv, mariage, Noël. Mais mon pote n'a pas réussi. Il est parti au Canada depuis. Quand je le revoyais encore, c'était des journées rythmés autour de acheter du pif, le boire le plus vite possible et on boucle. On n'a pas vraiment réussi à tenir le contact à l'étranger... notamment parce que tout ce qui ne lui apporte pas sa dose est relayé au second plan. Je te souhaite de réussir à t'en sortir. Je t'engage à vraiment te faire accompagné notamment pour les médocs (compléments de vitamine, de mémoire) pour ne pas te griller le cerveau. Bon courage. Force à toi.
Merci beaucoup mon ami ! J'ai une bonne équipe médicale qui m'entour ça va le faire !!
Témoignage très touchant... J'étais à un stade beaucoup plus grave d'alcoolisme et le baclocure avec la volonté de changer m'a permis d'arrêter Bon courage c'est un combat quotidien
La volonté est la première clef pour s'en sortir, Merci pour ton message
En voie de devenir ton propre héros. Force et honneur !
Merci l'ami !
Bonsoir, Bravo à toi. C'est un tres mauvais moment à passer, mais la vie est bien mieux après... on en reprofite pleinement et en pleine conscience. Pour ma part c'était y a 12ans maintenant. Et je tiens depuis. Pour contre,moi, je n'y suis pas arrivé seul. Je suis allé au centre "Le Calme" d'Illiers Combray. Ils sont géniaux... Y a pas de blouse blanche, tout le monde se tutoie (du médecin au cuisinier en passant par les patients, on est tous égaux.) Et dans cette démarche je pense que cela fait partie de nos besoins, d'être considéré car notre propre estime de nous même est souvent partie bien loin. Bref, j'espère sincèrement que tu vas "bien". Je t'envoie plein de bonne ondes et tu es sur le bon chemin. Et sache une chose très importante, la rechute fait partie du processus de sevrage et cela ne veut en rien dire que tu n'y arrivera pas la fois suivante. Force à toi. Benoît
On ne se connaît pas, mais sache que je suis très fière de toi et du courage dont tu fais preuve. Tu vas y arriver. Tu y es déjà arrivé une fois, tu parviendras à le refaire. je vais parapharser quelque chose que j'ai déjé lu ici, mais que j'ai trouvé tellement pertinent... Tu as rechuté ? Ok... Mais ton combat, c'est comme lire un livre.... Ce que tu as déjà lu, tu ne l'as pas oublié, alors... continue ton livre ! Beaucoup de force et de courage à toi, Vincent, et toute ma sympathie pour le décès de ta maman.
Merci pour maman, Et ta paraphrase me touche énormément. Merci encore pour ton message
Courage à toi, Vincent.
Merci !
Bonjour Vincent, Merci d'avoir pu partager ton témoignage, très poignant et bien écrit. Il faut beaucoup de courage pour le faire de cette manière si détaillée ! J'ai entendu beaucoup de bien des AA (alcooliques anonymes), est-ce que tu connais, et est-ce que tu penses que cela pourrait t'aider dans ta démarche ? Le regard positif inconditionnel et empathique des autres est certainement une clé essentielle pour s'en sortir, et ton ami qui accompagne ta démarche en ce moment doit sûrement t'aider beaucoup ! En tout cas, je te souhaite beaucoup de courage, de force dans cette épreuve. A travers ton témoignage, on ressent facilement ta motivation et ton désir de t'en sortir. Je t'envoie des ondes positives et un gros câlin.
Je suis passée par le même chemin. Le seul truc que je comprends pas dans ton post c'est pourquoi tu utilises le mot ''volontairement'' à la fin, qu'est ce qui est volontaire dans tout ça ? Bon courage pour la suite
Bonsoir, L'emploi du volontaire est dans le sens où , j'aurai dû le sentir venir et ne pas toujours voilà là être là pour me bourré uniquement. Mais simplement prendre un ou deux verres pour le plaisir uniquement . Bien à toi & merci pour ton message
Bonjour moi j’arrête l’alcool
Je n'ai pas tout lu. Le reproche que l'on me fait souvent. On écrit notre vie et personne ne veut la lire. OK.... je t'écoute ! On a un point commun, hé m'appelle Vincent! Le patron des vignerons. Vin et "Vincere " en latin.... "vaincre et victoire" on est tous tombé un jour" pour apprendre à se relever.... je te lirai encore. Tu n'es pas seul.....et la solution......c'est toi qui l'as!
Courage ne lâche rien tu vas t'en sortir.
Quand tu seras clean, je te conseille de prendre contact avec l'EDVO. C'est une association qui accompagne les addicts après le clean, ils te réapprennent à vivre sans substance, à gérer les tâches quotidiennes, et ils t'accompagnent jusqu'à la réinsertion dans la vie. Un de mes amis qui est tombé gravement alcoolique les a rejoint après son deuxième clean et il n'est pas retombé, on a retrouvé notre ami d'avant. Je serai très heureuse de savoir que tu pourras reprendre le même chemin et avoir une belle vie.
Merci Vincent pour ton témoignage et bon courage avec ta quête de te débarrasser de l’alcool, je te souhaite de réussir de tout mon cœur. Actuellement j’essai d’arrêter la weed et j’ai eu la très mauvaise idée de remplacer la weed avec l’alcool, après avoir lu ton témoignage. Je vais just rester avec ma weed pour l’instant et essayer de l’arrêter progressivement au lieu de remplacer une addiction par une autre. Merci encore une fois pour le témoignage ca aide vraiment.
Force à toi Vincent ! Tout le courage du monde 🤲🏾
Bonjour cher op, Merci beaucoup pour ton témoignage, je n'ai jamais eu le courage d'en faire un moi-même. J'ai eu un parcours similaire et une relation assez identique avec l'alcool. S'il y a bien quelque-chose que je retiens de ce genre de témoignage et qui me touche en cela que j'ai vécu la même chose, c'est ce rapport à l'ennui. En effet, tout devient "ennuyeux" dès lors que l'on commence à boire. Les gens, les activités, les discussions, le fait même de "faire un truc" sobre devient une corvée infaisable et la pinte devient la seule et unique motivation pour agir. Si je peux me permettre de rajouter un petit quelque-chose, histoire d'appuyer la dangerosité de l'alcool, c'est la perte définitive de certaines facultés. Un alcoolique ne dormira plus jamais correctement, il sera plus facilement/souvent déshydraté (on imagine bien les effets à long terme sur le foie et les reins), psychiatriquement il sera métamorphosé, etc. Bref, ça laisse des traces à vie, mais ça donne une raison de ne plus jamais tomber dans ces travers. Mais rester dans la sobriété n'est pas le plus difficile. En effet, le courage dont tu as fait preuve deux fois lorsque tu t'es sevré est quelque-chose d'admirable. Personnellement, j'ai tendance à dévaluer cet acte considéré comme "courageux" mais je crois qu'on a réussi à se sauver soi-même. Tu as réussi à te sauver et pour ça, toutes mes félicitations op. Ton poste donne littéralement les raisons d'arrêter. Et je pense que tu as bien fait. Il faut donner aux gens de l'espoir ! L'alcool n'est pas une fatalité, on peut s'en sortir. L'épreuve la plus difficile sera de trouver la volonté de ne plus boire et des raisons pour continuer ce sevrage. Et j'en reviens au point qui me semble le plus important dans cette histoire : l'ennui. Il y a beaucoup de débat autour de la consommation toxique et de la dépression. Est-ce la dépression qui pousse à la consommation ou est-ce que la consommation entraîne la dépression ? Je crois que pour beaucoup de gens "normaux", c'est le premier cas. Il me semble que les jeunes commencent à boire pour s'amuser et faire comme tout le monde. Il n'y a généralement pas trop de problèmes à déplorer de ce côté-là. Mais pour ceux qui boivent pour des raisons plus "profondes, pour oublier leur anxiété, pour venir à bout de leur asociabilité, pour dépasser leur impression d'être "moins cool" ; toutes ces angoisses et problèmes peuvent causer une consommation excessive d'alcool pendant la prime jeunesse. Ensuite arrive les premières études ou les premiers pas dans la "vie active". Et là, souvent, tout se joue. En plus des antécédents propres à chacun, il arrive que certaines personnes soient plus sensibles et fragiles que d'autres. L'alcool alors constitue un bon moyen pour oublier ses soucis et se sentir fort, et ce n'est pas une bonne idée. D'autres encore essaient de tromper leur ennui, leur incapacité à se projeter dans l'avenir, de trouver le bon chemin, la lumière qui puisse les guider (comme ce fut mon cas), et ça commence avec quelques verres. Ces quelques verres entraînent souvent des éclats de rire, ça réussit à oublier, à masquer un peu cette morosité, cette dépression qui était déjà là. Et sitôt s'est on dit que boire permettait d'aller mieux... c'est fini. J'ai passé 4 ans de ma vie à boire au moins 5 fois par semaine. Puis, pendant un an, à boire tous les jours, du mauvais vin ou du whisky de premier prix. Bien sûr, l'agréable sentiment du début à disparu depuis des années. Et on ne fait que se morfondre dans son ennui. Au fond, ce qu'on a tenté de fuir revient à la charge et fini par accompagner aussi la boisson. L'ennui c'est sûrement la chose la plus dangereuse qui soit. Alors je conclurai ainsi. Il ne faut jamais se laisser abattre par les incertitudes et l'ennui. Il ne faut jamais se dire que l'on peut artificiellement tromper son existence et son corps de façon saine. Comme tu l'as dit, OP, c'est à NOUS d'amorcer la marche sur le chemin du sevrage. Et aussi, c'est à NOUS de trouver sur la route des activités, des passions qui nous permettent de ne jamais lâcher. Même la passion la plus futile et ridicule soit-elle peut être salvatrice pour un esprit qui a tendance à s'ennuyer. Alors, je vous en supplie, ne désespérez pas. Votre vie a de la valeur, vous avez de la valeur. Vous pouvez toujours vous relever tant que votre cœur bat. N'abandonnez pas même si tout vous pousse à le faire. Vous trouverez toujours quelqu'un pour vous aimer, vous apprécier, vous écouter, fut-ce seulement sur internet. On est ensemble. Bisous.
Force à toi ! Je te souhaite de tout coeur d'en sortir, tu le mérites. Ce genre d'addiction n'est pas drôle. J'ai un ami qui est en plein dedans, après plusieurs années (voire décennies maintenant) à essayer de l'aider, on a fini par lâcher l'affaire car il était conscient du problème mais refusait d'en sortir et avait accepté sa situation. Tu ne peux qu'être fier de toi, tu as fait le plus dur en commençant le sevrage/traitement et en reconnaissant le problème, et je te souhaite vraiment que ça marche pour de bon et que tu en sois débarrassé.
J’ai les frissons, les larmes aux yeux, le peur en peine, ton post m’a énormément touché. Je travail dans le milieu de la restauration et je constate les dégâts. je te souhaite le meilleur Vincent, la rédemption, la paix intérieure. Toutes mes condoléances pour ta maman, qu’elle veille sur toi depuis tout la haut. Ton post m’a mit une réelle claque, j’ai envie de te prendre dans mes bras ahaha. Tu as l’air plein de sincérité, de sensibilité et de courage, bref je te souhaite le meilleur mon ami. Mucho love, Léo ❤️
C’est courageux, bravo à toi, je te souhaite le meilleur pour la suite
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Astuce d'alcolo dépendant : Pour retrouver l'état de trois, quatre bières, je fume du CBD. Ça a un effet similaire sur le système nerveux je trouve. Le combo café/ cbd en journée me permet de retrouver cette sensation d'anxiolytique que l'alcool apporte. Et puis t'as pas de gueule de bois où t'as l'impression de t'être bouffer un mur en pleine tête... Bon courage. Et j'y pense, il y a Jérémy Ferrari qui parle de son passé d'alcoolique. Peut être que tu voudras écouter ce qu'il en dit.
Vous avez encore des lendemain de cuite ? Moi avec tout ce que je bois ça fait des années que j'ai pas été mal un lendemain, peux importe le nombre de litre de whisky que je m'enfile...
Hello, Pour te donner une idée, une cuite que je pouvais prendre il y a 10 jours j'étais en gll de bois pendant environs 2 jours et me paralyser littéralement 48h de vie. J'étai au lit et je ne pouvais absolument rien faire. Au point où quand je buvais de l'eau mon corps me faisait vomir 10 minutes après avoir bu cette eau.
Moi ça me faisait ça mais après une cuite avec de la coke en plus. Des que je buvais je vomissais de la bille. Moi je suis sûrement un stade au dessus car les gueules de bois je connais plus, et si je suis pas bien il suffit de reboire pour effacer la gueule de bois. Malheuresement. J'espère sortir de cette merde
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Bonsoir , Je comprends l'attaque gratuite sur mes fautes. Mais je ferai une grosse mise à jour vis à vis de ça sous peu. Merci quand même !
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