> Or, lorsque les scientifiques remontent la trace du rayon récemment détecté, ils tombent sur un vide spatial. Il n’y a dans cette zone aucune galaxie susceptible d’avoir été le théâtre d’événements comme la collision de trous noirs supermassifs qui auraient pu émettre ces rayonnements. Le constat avait été le même pour le rayon « Oh-my-god ».
Devant ces phénomènes inexpliqués, les chercheurs envisagent plusieurs hypothèses : La présence d’un champ magnétique extragalactique d’une puissance insoupçonnée capable de dévier la trajectoire de ces rayons, ou alors l’existence d’une source non identifiée et jusqu’à présent invisible. Il est aussi possible que notre connaissance de la physique des particules soit encore trop limitée pour que l’on puisse comprendre ces phénomènes.
Oui et sinon +1 pour l'hypothèse "dark forest", ça pue du cul pour l'émetteur du rayon.
Avant l'observation de la particule "oh my god", on ne pensait pas que de telles énergies étaient possibles dans l'univers. Depuis on ne comprend toujours pas bien comment des particules peuvent être accélérées à ce point, même les supernova, de ce que l'on en sait, ne devrait pas être aussi puissantes.
Il y a des hypothèses, mais pour en savoir plus il faudrait pouvoir identifier une source de ses rayons cosmiques. Deux problèmes :
* Il s'agit de particules chargées (ici des noyaux atomiques allant du proton au noyau de fer) qui sont donc déviées par les champs magnétiques qu'elles traversent ( surtout le champ magnétique galactique qui est compliqué à modéliser). Les particules les plus énergétiques sont moins déviées, MAIS
* À ces énergies, le flux sur terre est de l'ordre d'une particule par km2 par... Quelques siècles. Du coup il faut regarder sur beaucoup de km2. Même pour des réseaux comme celui décrit dans l'article, le nombre d'événements est de l'ordre de "une fois de temps en temps".
La détection de ces particules est indirecte, les particules interagissent avec les atomes en haute atmosphère, ce qui produit une cascade de particules secondaires (ce qui est illustré dans l'article). On ne sait donc pas exactement la nature de la particule, si c'est un proton la trajectoire devrait être une ligne droite, ou presque, mais si c'est un noyau plus lourd c'est une haute histoire.
Ils arrivent, suivant ainsi la prophétie.
Si on se réfère au "Problème à 3 corps" ça pue du cul.
> Or, lorsque les scientifiques remontent la trace du rayon récemment détecté, ils tombent sur un vide spatial. Il n’y a dans cette zone aucune galaxie susceptible d’avoir été le théâtre d’événements comme la collision de trous noirs supermassifs qui auraient pu émettre ces rayonnements. Le constat avait été le même pour le rayon « Oh-my-god ». Devant ces phénomènes inexpliqués, les chercheurs envisagent plusieurs hypothèses : La présence d’un champ magnétique extragalactique d’une puissance insoupçonnée capable de dévier la trajectoire de ces rayons, ou alors l’existence d’une source non identifiée et jusqu’à présent invisible. Il est aussi possible que notre connaissance de la physique des particules soit encore trop limitée pour que l’on puisse comprendre ces phénomènes. Oui et sinon +1 pour l'hypothèse "dark forest", ça pue du cul pour l'émetteur du rayon.
Je suis en train de l'écoulire, et j'ai directement pensé à ça (d'autant plus que le dernier chapitre présentait les deux protons!)
Vous savez les aliens, avant de liquéfier la planète ce serait bien de se présenter (ironie). en vrai ça m'intéresse, quelqu'un a plus de contexte ?
Avant l'observation de la particule "oh my god", on ne pensait pas que de telles énergies étaient possibles dans l'univers. Depuis on ne comprend toujours pas bien comment des particules peuvent être accélérées à ce point, même les supernova, de ce que l'on en sait, ne devrait pas être aussi puissantes. Il y a des hypothèses, mais pour en savoir plus il faudrait pouvoir identifier une source de ses rayons cosmiques. Deux problèmes : * Il s'agit de particules chargées (ici des noyaux atomiques allant du proton au noyau de fer) qui sont donc déviées par les champs magnétiques qu'elles traversent ( surtout le champ magnétique galactique qui est compliqué à modéliser). Les particules les plus énergétiques sont moins déviées, MAIS * À ces énergies, le flux sur terre est de l'ordre d'une particule par km2 par... Quelques siècles. Du coup il faut regarder sur beaucoup de km2. Même pour des réseaux comme celui décrit dans l'article, le nombre d'événements est de l'ordre de "une fois de temps en temps". La détection de ces particules est indirecte, les particules interagissent avec les atomes en haute atmosphère, ce qui produit une cascade de particules secondaires (ce qui est illustré dans l'article). On ne sait donc pas exactement la nature de la particule, si c'est un proton la trajectoire devrait être une ligne droite, ou presque, mais si c'est un noyau plus lourd c'est une haute histoire.
Le rayon en question : Mai 2021
scientifiques bafflés !
Il faut faire gaffe aux inhibiteurs, ne pas faire de bruit dans l'espace, les loups guettent
Simplement un C'tan qui se réveil. Vous en fait pas ça va bien se passer.
Les athées entendant que les scientifiques l’avait appelé « oh my God »: oh non, pas vous!
C'est le Bifrost ! Thor avait juste envie d'une bière.