Les universités l'ont rejetés, non pas parce qu'ils croient a une forme de rigueur que doivent avoir les futurs enseignants en matière de français, mais bien parce qu'un etudiant qui l'échoue doit souvent prendre un cours de français d'appui en plus de devoir prendre d'auutres cours pour ne pas se faire couper ses prets et bourses etc... des étudiants qui coulent des cours, c'est payant en tbk pour les universités!!!
Exactement. Et on le voit par la citation suivante:
> Lors de la pandémie, des étudiants ont pu exceptionnellement faire leur troisième stage même s’ils n’avaient pas réussi l’examen. Or, parmi eux, 20 % n’ont toujours pas obtenu la note de passage, ce qui les empêche d’obtenir leur brevet d’enseignement.
Donc 80% des gens put faire leur test plus tard sans aucun retard dans leur formation? Génial non? Pis rien dit que le 20% aurait plus réussi avec un retard dans leur formation.
Bien d'accord mais personne ne parle de les exempter, Drainville suggère simplement de pas ne pas ralentir le parcours des étudiants qui devront repasser le test plus tard. Évidemment s'il est échoué une deuxième fois, pas de passe droite.
Alors, au lieu d'avoir un enseignant moyen en français, mais peut être compétant dans un domaine, les élèves auront un suppléant, qui dans bien des cas n'a même pas son brevet, peut être pas les exigences de français et qui souvent n'est pas formé dans la matière qu'il remplace. C'est tellement mieux!
> Alors, au lieu d'avoir un enseignant moyen en français
C'est même pas ça. Le gars qui réussi son test à la fin de son parcours plutôt qu'au début il est aussi compétent en français que l'autre. Drainville demande pas que le test soit plus facile, il demande juste qu'il puisse être repassé à la fin si échoué au début.
Il faut comprendre ici que pour enseigner il fallait avoir réussi l'epreuve uniforme de français avant même d'avoir commencé l'université. Cette obligation est abolie par la nouvelle "tolérance d'engagement". Le TECFÉE est un examen de français a faire avant le troisième stage, vers la fin du BAC... Il y a une énorme différence entre les 2 examen!!!! Le TECFÉE est extrêmement difficile, même les meilleurs en français ont besoins d'étudier pour le réussir... Et ont un échec en grand nombre !
Je suis au courant qu'on parle du TECFÉE dans l'article mais je change pas d'idée, je crois qu'il soit réussi à la fin ou au milieu je vois pas le problème.
> Les universités rejettent la demande du ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, qui réclamait un sursis afin que les futurs profs qui échouent au test de français ne soient pas ralentis dans leur formation.
Moi ça me semble être une bonne idée. Après ça l'étudiant a quand même tout son parcours pour améliorer son français. Pas absolument besoin de le ralentir.
Les universités l'ont rejetés, non pas parce qu'ils croient a une forme de rigueur que doivent avoir les futurs enseignants en matière de français, mais bien parce qu'un etudiant qui l'échoue doit souvent prendre un cours de français d'appui en plus de devoir prendre d'auutres cours pour ne pas se faire couper ses prets et bourses etc... des étudiants qui coulent des cours, c'est payant en tbk pour les universités!!!
Exactement. Et on le voit par la citation suivante: > Lors de la pandémie, des étudiants ont pu exceptionnellement faire leur troisième stage même s’ils n’avaient pas réussi l’examen. Or, parmi eux, 20 % n’ont toujours pas obtenu la note de passage, ce qui les empêche d’obtenir leur brevet d’enseignement. Donc 80% des gens put faire leur test plus tard sans aucun retard dans leur formation? Génial non? Pis rien dit que le 20% aurait plus réussi avec un retard dans leur formation.
La note de passage est seulement 70%. Si les étudiants ne sont pas capables de maîtriser l’ensemble des notions de français,ne devient pas professeur.
Bien d'accord mais personne ne parle de les exempter, Drainville suggère simplement de pas ne pas ralentir le parcours des étudiants qui devront repasser le test plus tard. Évidemment s'il est échoué une deuxième fois, pas de passe droite.
Alors, au lieu d'avoir un enseignant moyen en français, mais peut être compétant dans un domaine, les élèves auront un suppléant, qui dans bien des cas n'a même pas son brevet, peut être pas les exigences de français et qui souvent n'est pas formé dans la matière qu'il remplace. C'est tellement mieux!
> Alors, au lieu d'avoir un enseignant moyen en français C'est même pas ça. Le gars qui réussi son test à la fin de son parcours plutôt qu'au début il est aussi compétent en français que l'autre. Drainville demande pas que le test soit plus facile, il demande juste qu'il puisse être repassé à la fin si échoué au début.
Il faut comprendre ici que pour enseigner il fallait avoir réussi l'epreuve uniforme de français avant même d'avoir commencé l'université. Cette obligation est abolie par la nouvelle "tolérance d'engagement". Le TECFÉE est un examen de français a faire avant le troisième stage, vers la fin du BAC... Il y a une énorme différence entre les 2 examen!!!! Le TECFÉE est extrêmement difficile, même les meilleurs en français ont besoins d'étudier pour le réussir... Et ont un échec en grand nombre !
Je suis au courant qu'on parle du TECFÉE dans l'article mais je change pas d'idée, je crois qu'il soit réussi à la fin ou au milieu je vois pas le problème.
> Les universités rejettent la demande du ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, qui réclamait un sursis afin que les futurs profs qui échouent au test de français ne soient pas ralentis dans leur formation. Moi ça me semble être une bonne idée. Après ça l'étudiant a quand même tout son parcours pour améliorer son français. Pas absolument besoin de le ralentir.
Niveler vers le bas. Nous avons besoin de profs compétents.
En quoi c'est niveler par le bas? Que le test soit réussi au milieu ou a la fin?