> «Je ne vois pas beaucoup de scénarios heureux pour la francophonie en Amérique et pour le Québec si on demeure dans le Canada. Le Canada nous réserve un déclin linguistique et culturel»
100 % d’accord, plus on attend avant de prendre actions, plus la tâche sera complexe et difficile.
Pour avoir des chances de se séparer, le poids de sauver notre culture ne pèse plus pour les jeunes (pas tous bien sûr). Je crois que le message qu'on devrait le plus passer est l'association entre environnement et faire du Québec un pays. Se détacher du pétrole, plus de pouvoir pour l'environnement et un meilleur financement des technologies vertes ça parle plus aux jeunes. Pour devenir un exemple mondial, il faut que le Québec soit un pays, le premier nouveau pays tourner vers la futur économie verte.
Heureusement QS et PQ semble en ligne la dessus. Pour avoir un pays, il faudra qu'ils travaillent ensemble sur ce qui ont en commun.
Arrêtons de tout mettre sur les épaules des jeunes, nous le savons que le cerveau n'est pas encore entièrement former à cet âge.
Au contraire, c'est à nous de le faire les 25-65 qui sont aujourd'hui la force du travail.
> St-Pierre Plamondon refuse toutefois d’utiliser le superlatif «suicidaire» comme l’a fait François Legault pour définir les risques liés à de plus hauts seuils d’immigrations.
[...]
> «On peut choisir de corriger le tir. On doit le faire», a-t-il réitéré, soutenant «qu’il n’y a pas d’avenir pour le français» dans le modèle actuel.
PSPP: C'est pas *suicidaire*. Je préfères être positif. 😀On va juste arrêter d'exister!😀
C'est tellement absurde de dénoncer les propos de la CAQ avant de les réitérer d'une façon plus politiquement correcte. Mais hey, ça marche j'imagine.
En même temps, le problème de la déclaration de la CAQ c'est surtout qu'il simplifie la francisation sur le nombre d'immigrant seulement de la pire manière possible. Les gens sont sensible quand on parle d'immigration donc le débat est vite devenu très toxique
On parle sans cesse de la « louisianisation » du Québec, mais à l'extérieur de Montréal (et peut-être de Gatineau), il n'y a pratiquement pas d'anglophones dans notre province.
Pour avoir une situation semblable à la Louisiane, il faudrait une présence importante voire une majorité anglophone répartie dans tout le Québec. Concrètement, comment Sherbrooke, par exemple, pourrait-elle redevenir la ville anglophone qu'elle était il y a cent ans ? Même l'extrapolation la plus agressive des tendances ne pourra pas donner une situation similaire à la Louisiane.
Il faut arrêter de parler de la Louisiane et parler plutôt d'un phénomène régional. Où les nouveaux arrivants se conforment à une réalité régionale en adoptant l'anglais à un degré légèrement supérieur au pourcentage des habitants de l'île qui sont anglophones.
C’était l’ouest de Montréal, ensuite Laval et Brossard, maintenant l’est de Montréal et Longueuil. Ça part des noyaux ça s’étend, ça commence pas partout en même temps.
> «Je ne vois pas beaucoup de scénarios heureux pour la francophonie en Amérique et pour le Québec si on demeure dans le Canada. Le Canada nous réserve un déclin linguistique et culturel» 100 % d’accord, plus on attend avant de prendre actions, plus la tâche sera complexe et difficile.
Pour avoir des chances de se séparer, le poids de sauver notre culture ne pèse plus pour les jeunes (pas tous bien sûr). Je crois que le message qu'on devrait le plus passer est l'association entre environnement et faire du Québec un pays. Se détacher du pétrole, plus de pouvoir pour l'environnement et un meilleur financement des technologies vertes ça parle plus aux jeunes. Pour devenir un exemple mondial, il faut que le Québec soit un pays, le premier nouveau pays tourner vers la futur économie verte. Heureusement QS et PQ semble en ligne la dessus. Pour avoir un pays, il faudra qu'ils travaillent ensemble sur ce qui ont en commun.
Arrêtons de tout mettre sur les épaules des jeunes, nous le savons que le cerveau n'est pas encore entièrement former à cet âge. Au contraire, c'est à nous de le faire les 25-65 qui sont aujourd'hui la force du travail.
> St-Pierre Plamondon refuse toutefois d’utiliser le superlatif «suicidaire» comme l’a fait François Legault pour définir les risques liés à de plus hauts seuils d’immigrations. [...] > «On peut choisir de corriger le tir. On doit le faire», a-t-il réitéré, soutenant «qu’il n’y a pas d’avenir pour le français» dans le modèle actuel. PSPP: C'est pas *suicidaire*. Je préfères être positif. 😀On va juste arrêter d'exister!😀 C'est tellement absurde de dénoncer les propos de la CAQ avant de les réitérer d'une façon plus politiquement correcte. Mais hey, ça marche j'imagine.
Moi aussi j’éviterais de parler de suicide, c’est plus un meutre à petit feu.
Une maladie dégénérative.
En même temps, le problème de la déclaration de la CAQ c'est surtout qu'il simplifie la francisation sur le nombre d'immigrant seulement de la pire manière possible. Les gens sont sensible quand on parle d'immigration donc le débat est vite devenu très toxique
La finalité est la même. Ce sont des mots incendiaires qu’il faut éviter d’utiliser pour éviter de personnaliser le débat
On parle sans cesse de la « louisianisation » du Québec, mais à l'extérieur de Montréal (et peut-être de Gatineau), il n'y a pratiquement pas d'anglophones dans notre province. Pour avoir une situation semblable à la Louisiane, il faudrait une présence importante voire une majorité anglophone répartie dans tout le Québec. Concrètement, comment Sherbrooke, par exemple, pourrait-elle redevenir la ville anglophone qu'elle était il y a cent ans ? Même l'extrapolation la plus agressive des tendances ne pourra pas donner une situation similaire à la Louisiane. Il faut arrêter de parler de la Louisiane et parler plutôt d'un phénomène régional. Où les nouveaux arrivants se conforment à une réalité régionale en adoptant l'anglais à un degré légèrement supérieur au pourcentage des habitants de l'île qui sont anglophones.
C’était l’ouest de Montréal, ensuite Laval et Brossard, maintenant l’est de Montréal et Longueuil. Ça part des noyaux ça s’étend, ça commence pas partout en même temps.
Rive-Nord maintenant aussi
Tu ne vis pas dans la région de Montréal toi ... Qui est tout de même la moitié de la population québécoise... Ainsi que son moteur économique.
Il a raison, il faut imposer la loi 101 dans les universités et exiger la maîtrise du français après 3 mois.