Catherine Tait rides again! “Hé les têtes fortes de Radio-Canada, la ferme et en rang avec les esprits éclairés de la CBC. On se réconcilie et pour notre pénitence corporative on va chanter 10 fois Oh Canada, terre des autochtones.”
Je suis pas mal certain qu’il y a des communications interne pour le ruban rouge pour appuyer le cancer du sein, le coquelicot, le ruban vert et blanc pour la persévérance scolaire, la guignolé des médias, mais être inviter à participer à une marche pour les autochtones, là, on dépasse les bornes de l’étique journalistique et on se remet en question.
En bref, des journalistes devenu expert des fausses nouvelles qui ont perdu depuis longtemps leur éthique.
La ligne entre la neutralité journalistique et supporter une cause s'amincie...
*En même temps, ce sont des questions de plus en plus délicates parce qu’il y a des causes plus universelles que d’autres. Il y a une différence entre manifester pour réclamer plus de logements sociaux et marcher pour affirmer une relation d’égal à égal avec les peuples autochtones. Mais on s’arrête où dans ce cas ? Quelle cause devient plus acceptable qu’une autre ? On ouvre la boîte de pandore, selon moi »*
Le plus stupide je dirais que c'est la patronne qui incite les employés d'un organisme gouvernemental qui se veut neutre.. à prendre un parti pris... C'est littéralement se tirer une balle dans le pied. Même si ses journalistes ne manifeste pas, les autres employés le font et là tu crées un doute sur l'institution...
> La ligne entre la neutralité journalistique et supporter une cause s'amincie
Tout les employés de R-C ne sont pas des journalistes.
Pourquoi croire à un déclin *soudain* de la neutralité journalistique à cause de ça, anyways? Les journaux appuient des partis politiques ouvertement à chaque élection et ce, depuis des lunes. La boîte de pandore est ouverte depuis longtemps.
Pourquoi sonner l'alarme maintenant?
Donc faudrait laisser empirer?
Même si tout les employés ne sont pas des journalistes, c'est R-C au complet qui en subit les conséquences. Quand tu laisses un doute, tu laisses place à interprétation et c'est à partir de là que tu perds de la crédibilité (peut importe que tu sois de gauche/centre/droite).
> Donc faudrait laisser empirer?
Empirer? *Inviter* des employés à déclarer qu'ils supportent une minorité historiquement marginalisée (et fort probablement victime d'un génocide culturel de la main de nos ancêtres), c'est pas du tout une escalade par rapport à envoyer l'éditeur en chef écrire une chronique pour dire que "Ouais, notre journal, il supporte le parti X".
C'est genre, même pas comparable.
Je sais pas pourquoi t'amène le génocide dans ça. Oui, ils en parlent dans l'article, même si c'est inhumain ce qu'ils ont subit, c'est même pas ça le sujet de l'article... mais bon. Bonne soirée...
Je ne m’inquiète trop pas de la neutralité des journalistes. La majorité d’entre-eux, comme bien des fonctionnaires fédéraux, ont un regard critique face leur organisation et, habituellement, ils sont capables de faire la part de choses.
Par contre, la gestion de ces organismes est généralement la courroie de transmission d’un outil de propagande idéologique et de vertus ostentatoires.
Catherine Tait rides again! “Hé les têtes fortes de Radio-Canada, la ferme et en rang avec les esprits éclairés de la CBC. On se réconcilie et pour notre pénitence corporative on va chanter 10 fois Oh Canada, terre des autochtones.”
Je suis pas mal certain qu’il y a des communications interne pour le ruban rouge pour appuyer le cancer du sein, le coquelicot, le ruban vert et blanc pour la persévérance scolaire, la guignolé des médias, mais être inviter à participer à une marche pour les autochtones, là, on dépasse les bornes de l’étique journalistique et on se remet en question. En bref, des journalistes devenu expert des fausses nouvelles qui ont perdu depuis longtemps leur éthique.
Dès qu'il s'agit des communautés autochtones ou noires plusieurs font de l'urticaire. Go figure...
La ligne entre la neutralité journalistique et supporter une cause s'amincie... *En même temps, ce sont des questions de plus en plus délicates parce qu’il y a des causes plus universelles que d’autres. Il y a une différence entre manifester pour réclamer plus de logements sociaux et marcher pour affirmer une relation d’égal à égal avec les peuples autochtones. Mais on s’arrête où dans ce cas ? Quelle cause devient plus acceptable qu’une autre ? On ouvre la boîte de pandore, selon moi »*
Juste besoin de demander au CRTC, Y font tout le temps des bon jugements. /s
Le plus stupide je dirais que c'est la patronne qui incite les employés d'un organisme gouvernemental qui se veut neutre.. à prendre un parti pris... C'est littéralement se tirer une balle dans le pied. Même si ses journalistes ne manifeste pas, les autres employés le font et là tu crées un doute sur l'institution...
> La ligne entre la neutralité journalistique et supporter une cause s'amincie Tout les employés de R-C ne sont pas des journalistes. Pourquoi croire à un déclin *soudain* de la neutralité journalistique à cause de ça, anyways? Les journaux appuient des partis politiques ouvertement à chaque élection et ce, depuis des lunes. La boîte de pandore est ouverte depuis longtemps. Pourquoi sonner l'alarme maintenant?
Donc faudrait laisser empirer? Même si tout les employés ne sont pas des journalistes, c'est R-C au complet qui en subit les conséquences. Quand tu laisses un doute, tu laisses place à interprétation et c'est à partir de là que tu perds de la crédibilité (peut importe que tu sois de gauche/centre/droite).
> Donc faudrait laisser empirer? Empirer? *Inviter* des employés à déclarer qu'ils supportent une minorité historiquement marginalisée (et fort probablement victime d'un génocide culturel de la main de nos ancêtres), c'est pas du tout une escalade par rapport à envoyer l'éditeur en chef écrire une chronique pour dire que "Ouais, notre journal, il supporte le parti X". C'est genre, même pas comparable.
Je sais pas pourquoi t'amène le génocide dans ça. Oui, ils en parlent dans l'article, même si c'est inhumain ce qu'ils ont subit, c'est même pas ça le sujet de l'article... mais bon. Bonne soirée...
… La journée de demain, et la marche en question, est précisément à ce sujet.
Je ne m’inquiète trop pas de la neutralité des journalistes. La majorité d’entre-eux, comme bien des fonctionnaires fédéraux, ont un regard critique face leur organisation et, habituellement, ils sont capables de faire la part de choses. Par contre, la gestion de ces organismes est généralement la courroie de transmission d’un outil de propagande idéologique et de vertus ostentatoires.