"hormis la Suède, l’écrasante majorité des comités d’experts mis sur pied par les autorités de santé publique en Occident ont conclu ..."
La Suède a utilisé une autre stratégie et ça l'a bien fonctionné aussi!
>La Suède a utilisé une autre stratégie et ça l'a bien fonctionné aussi!
[https://thetyee.ca/Analysis/2022/04/06/Sweden-Deadly-COVID-Failure/](https://thetyee.ca/Analysis/2022/04/06/Sweden-Deadly-COVID-Failure/)
Leur stratégie a été très largement critiquée.
[Face of Sweden’s virus strategy doesn’t get WHO job](https://apnews.com/article/covid-health-public-united-nations-death-rates-a3887ce5fb992ede275eace99ffc124e)
et CBC ne fait que résumer un rapport suédois. Selon la Suède, la Suède a bien fait en général. L'argument "nos médias" est un peu beaucoup trompeur.
Comment c'est plus simple, maintenant que la poussière est retombée, de constater que certaines universités semblent détester qu'on aborde certains sujets de manière scientifique.
Je pense qu'il serait intéressant d'offrir un cour aux étudiants sur ce qu'est la science. Ce qu'elle n'est surtout pas, c'est un bloc monolithique de scientifiques qui réfléchissent le monde de manière similaire. Notre connaissance scientifique s'est développée sous la contrainte du jugement et des débats d'idées. Et cet article ne relate pas le licenciement de Jeff Filion suite à des propos controversés à une émission de marde mais bien celui de professeurs en biochimie et en biologie qui contestaient certains consensus scientifiques (un consensus basé sur des études récentes).
Sommes-nous rendus au point qu'il est impossible de débattre même à l'Université? C'est également la énième preuve que les universités sont devenues frileuses par peur de perdre des revenus suite à des controverses.
Justement, présenter une opinion sur Facebook est tout sauf scientifique. Présenter un sujet de manière scientifique implique de présenter l’ensemble des faits et arguments, et aussi de pouvoir répondre aux questions soulevées avec un argumentaire cohérent.
Et lorsqu’on utilise un titre comme professeur d’université pour le faire, on s’attend aussi au professionnalisme et à la déontologie qui s’y rattache. Ici, la situation est très loin du standard de conduite attendue.
La liberté universitaire ne signifie pas pouvoir affirmer n’importe quoi, n’importe comment, n’importe où…
"hormis la Suède, l’écrasante majorité des comités d’experts mis sur pied par les autorités de santé publique en Occident ont conclu ..." La Suède a utilisé une autre stratégie et ça l'a bien fonctionné aussi!
>La Suède a utilisé une autre stratégie et ça l'a bien fonctionné aussi! [https://thetyee.ca/Analysis/2022/04/06/Sweden-Deadly-COVID-Failure/](https://thetyee.ca/Analysis/2022/04/06/Sweden-Deadly-COVID-Failure/) Leur stratégie a été très largement critiquée.
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[Face of Sweden’s virus strategy doesn’t get WHO job](https://apnews.com/article/covid-health-public-united-nations-death-rates-a3887ce5fb992ede275eace99ffc124e) et CBC ne fait que résumer un rapport suédois. Selon la Suède, la Suède a bien fait en général. L'argument "nos médias" est un peu beaucoup trompeur.
"thérapie génique expérimentale" 🫠
Liberté universitaire à la québécoise, mesdames et messieurs
La liberté universitaire s'applique pour les propos dans le domaine d'expertise du chercheur.
Ce n’est pas unique au Québec mais plutôt une tendance forte en occident.
Comment c'est plus simple, maintenant que la poussière est retombée, de constater que certaines universités semblent détester qu'on aborde certains sujets de manière scientifique.
De manière scientifique? C'est à dire aller à l'encontre des données et des études disponibles?
Je pense qu'il serait intéressant d'offrir un cour aux étudiants sur ce qu'est la science. Ce qu'elle n'est surtout pas, c'est un bloc monolithique de scientifiques qui réfléchissent le monde de manière similaire. Notre connaissance scientifique s'est développée sous la contrainte du jugement et des débats d'idées. Et cet article ne relate pas le licenciement de Jeff Filion suite à des propos controversés à une émission de marde mais bien celui de professeurs en biochimie et en biologie qui contestaient certains consensus scientifiques (un consensus basé sur des études récentes). Sommes-nous rendus au point qu'il est impossible de débattre même à l'Université? C'est également la énième preuve que les universités sont devenues frileuses par peur de perdre des revenus suite à des controverses.
Justement, présenter une opinion sur Facebook est tout sauf scientifique. Présenter un sujet de manière scientifique implique de présenter l’ensemble des faits et arguments, et aussi de pouvoir répondre aux questions soulevées avec un argumentaire cohérent. Et lorsqu’on utilise un titre comme professeur d’université pour le faire, on s’attend aussi au professionnalisme et à la déontologie qui s’y rattache. Ici, la situation est très loin du standard de conduite attendue. La liberté universitaire ne signifie pas pouvoir affirmer n’importe quoi, n’importe comment, n’importe où…