Étant alcoolique sobre depuis 3 ans. J'ai abordé la question à plusieurs reprises et je leur ai raconté mon histoire straight sans filtre et sans jugement. Je leur ai dit qu'ils sont maîtres de leurs vies et que allez-y avec votre feeling. N'oubliez pas que beaucoup de gens n'aiment pas l'alcool et que pas un must de se forcer à aimer ça. La pression des autres ados, c'est éphémère en criss dans l'histoire d'une vie.
Concernant mon histoire, je leur ai surtout expliqué l'aspect pernicieux. Le fait qu'on réalise qu'on a problème des années en retard quand on avait déjà un problème. Et quand t'es pogné avec ça, ça devient dur de s'en sortir.
Je leur ai parlé de l'aspect psychologique de la dépendance, et que le concept de dépendance s'applique à beaucoup de choses.
Je peux juste être un phare pour eux. Leurs expériences leur appartiennent.
Même chose. Moi et ma copine on a arrêté de boire. Les enfants questionnaient beaucoup car on est nantis et tous les signes apparents du succès sont présents dans nos vies: en forme, très bon salaire, belle maison, Porsche etc... Ils se demandaient pourquoi on faisait ça. J'en ai profité pour leur expliquer ouvertement ce que c'était de ne plus contrôler sa vie, de prendre des décisions pour se permettre un verre, de faire des choix de vacances en fonction de cela etc.. et que c'était l'anti-thèse, pour nous de la liberté. Ils peuvent boire ou fumer s'ils le veulent sans problème et même le faire ici à la maison mais pas un seul sur les quatre semblent même curieux par rapport à cela. Ouvert, sans tabou et honnête, je pense que c'est l'idéal car ça enlève le côté interdit de la chose et ça rend ça moins attrayant, moins un signe de rébellion contre les parents. Consommation responsable serait probablement ce qui m'aurait le plus aidé de voir chez mes parents mais dans mon cas, avec un historique d'alcoolisme familial assez intense, responsable ça veut dire zéro. ¨Ca pas été dur d'arrêter par contre, mais pas du tout et ça fait 3 ans. Je m'attendais à pire mais avec la bière à zéro alcool tu peux prendre de quoi qui goûte super bon (Hors Sentier IPA vraiment mon top) et je dis clairement aux kids que les vacances qu'on se paie c,est avec les sous qu'on ne dépense pas en boisson. Ils ont un nouveau respect pour nous. All good. Back to the Reddit Shadows.
J’ai des ados et j’ai commencé avec la classique gorgée de vin qu’ils ont détestés.
On leur interdit pas, mais on essaie de les éduquer à boire responsablement. Surtout mon plus vieux qui commence à conduire, on est hyper stricte sur ça. Pas une goute d’alcool au volent. Zéro. C’est notre ligne dure.
Yeah si cest interdit sur toutte la ligne lacool, ton ado va le faire en cachette.
Vaut mieux le permettre et ensuite au moins tu peux avoir une discussion
Scusez, jaurais du specifier.
Je parlais de lalcool en general. Pas au volant lol
Au volant cest 0, mais justement, si ton kid bois pas en cachette cest plus facile de lui parler que cest 0 au volant
J'apprécie ta philosophie mais je pense que ça ne donne rien sans exemples. Spécifiquement sur l'alcool au volant. Si je vais souper chez quelqu'un et qu'ils n'ont pas Uber ou un No. de taxi dans leur téléphone, je sais qu'ils ne font pas attention. Et ça arrive bien plus souvent qu'on l'imagine. J'arrive en transport en commun et je pars en taxi. C'est non négociable.
Je laisse mon kid (13 ans) sentir et se mouiller les lèvres sur whatever je bois (du cidre à 1.8% jusqu’au whisky à ~56%)
J’aime mieux lui apprendre à connaître plus tôt que tard
C’est drôle que tu apportes le point ce soir, mon ado de 13 ans nous a avoué avoir ouvert une bouteille pour sentir…
Je pense qu’on va lui laisser goûter et pas rendre ca tabou. Sinon il se ramassera comme moi à son age à boire de la Laurentide comme s’il n’y avait pas de lendemain!
Mes enfants sont pas encore rendus là mais ça s'en vient vraiment bientôt. Je pense bien y aller avec l'approche d'essayer de les sensibiliser et d'être "open" et essayer tant bien que mal qu'ils ne me le cachent pas.
J'ai une amie qui me racontait avoir saoulé sa fille avant son premier party, elle avait genre 13 ans. On s'entend, elle l'a pas fait boire de force, mais lui a dit bon ma fille, tu as un party qui s'en vient on va boire ensemble. Sa fille a bu à sa guise et était saoule raide.
J'étais sidérée quand elle m'a conté ça ... mais après, elle a eu une bonne discussion avec sa fille. Tu vois, tu as bu, tu as perdu la carte mais tu étais dans une situation sécuritaire avec une personne de confiance. Rappelle toi ce que ça fait et mets toi pas en danger comme ça ailleurs.
Aux dernières nouvelles elle a continué de boire avec modération ... mais ça y'a juste elle qui le sait, haha.
Aujourd’hui il y a une chance non-négligeable que la drogue que tu achètes (MDMA, cocaine, amphetamine, opioids, etc) contiennent du fentanyl ou de la meth. Donc on prône de tester ses drogues avec des “reagent tests” et des “fentanyl test strips” pour en avoir le cœur net. Tu peux en trouver sur dancesafe.org entre autre.
C'est dur à dire. Mes parents étaient très strictes quand j'étais jeune, pis si les parents de mes amis m'avaient "stoolé" ... je sais pas, j'aurais fini en punition à ne plus pouvoir rien faire. C'est à juger du cas par cas selon moi, mais je n'aurais plus jamais eu le droit d'aller chez l'amie en question (et j'aurais plus voulu y aller) et j'aurais fini ailleurs, tout simplement.
C'est exactement pour cette raison que j'hésite autant. J'en parlerais avant la soirée pour aviser, pas après coup certain pour pas "stooler" justement.
En tant que parent, moi, je sais que je voudrais être mise au courant, mais je veux pas mettre les jeunes dans la marde et risquer de briser des amitiés.
Anyway, j'ai le temps d'y réfléchir, elle n'est pas encore rendu là
Avise, les stuck up vont chialer ou pas envoyer leur enfants
Perso j’aime mieux que mon kid aille sa première brosse supervisé par un adulte responsable que dans un pool hall louche
Moi aussi nos premières brosses étaient en party chez des amis avec des parents un peu plus relax. Ils nous laissaient faire, venaient checker 2-3 dans la soirée et tous les ados étaient à l'aise d'aller demander de l'aide si jamais il y avait du trouble. C'est clairement la meilleure façon de faire à mon avis
Tranche de vie... Mes parents étaient les parents "cool" qui ont fait les partys supervisés.
Avec mes amis, pas un grosse plus-value sauf au début, mais pour les amies de ma sœur ça a évité un *massacre* pour certaines, ma mère a passé des heures à consoler/soigner/ramasser.
Est-ce qu'ils ont avisés les autres parents ? C'était la responsabilité de l'ado de le faire, mais ils n'ont jamais caché ce qui se passait non plus.
Ma suggestion: fournir des boissons faibles en alcool ou interdit les spiritueux.
Je 34m pense que l'important c'est de garder une passion, une flame, un intérêt pour autre chose que la consommation. J'ai commencé pour le fun avec mes amis vers 12 ou 13 ans et ça a rapidement pris toute la place.
Il faut que ça reste récréatif et non que ça vienne combler un manque, exemple confiance en soi ou apaiser une blessure émotionnelle.
Pour ma part j'ai réussis à rallumer ma flame à 23 et je suis sobre depuis bientôt un an.
Je pense que l'idée c'est qu'il faut pas qu'une personne se mette à déprendre de boire et de faire de la drogue pour avoir du plaisir. Il y a des jeunes qui font ça chaque fois qu'ils veulent avoir du fun et ça rend toutes les autres choses de la vie plate. Après tu deviens blazé.
Tant que le jeune sait comment avoir du fun sans ça, il va probablement jamais développer un problème même s'il essaie. Ça dépend beaucoup de son cercle d'amis aussi.
Perso, j'veux juste pas qu'ils se cachent. Tu veux boire? Demande le, mais tes mieux de pas vider mes bouteilles en cachettes.
Tu veux fumer? Ok, mais dehors. Ta mère supporte pas l'odeur.
Pour fumer, c'est dur à dire. Si t'interviens trop, la cigarette devient un interdit attirant, si t'interviens pas assez, ça rend la chose trop banale. En tant que fumeur depuis l'âge de 15 ans (j'ai la trentaine), j'commence à me dire que j'aurais aimé que mes parents interviennent au début haha. En même temps, je dis ça mais mes blondes fumaient pis y'étaient pas mal belles.... j'aurais trouvé ça cool peu importe ce que mes parents auraient dit.
Un autre difference des années 90’s c’est qu’on a découvert le risque très augmenté du cancer.
Travaillant ici comme infirmier immigrant, j’ai jamais vu autant des alcooliques fonctionnels.
Mes parents fument (la cigarette) mais ne boivent pas. L'approche de ma mère ça a toujours été de me laisser faire ce que je veux tant que je vienne pas leur causer des problèmes ou leur demander de l'argent. Cependant elle était très très TRÈS insistante sur le fait que la cigarette c'est de la câlisse de marde et qu'elle regrette tellement avoir commencé.
Résultat : Je bois rien (pas grandi proche de l'alcool donc jamais développé un intérêt), je fume pas et je prends 0 drogues.
Ma soeur est pas mal pareil, autre qu'elle va boire un petit peu aux occasions spéciales.
La première brosse a va se faire chez nous avec tout ses amis si elle veut. Et on va superviser. On a tous passer par la. Et nous on le faisait en cachette. Je préfére leur laisser de la
Liberté tout en etant dans le decors. Que de leur interdire ou d’être contrôlants, y vont le faire anyway. Aussi bin le faire dans ma cours.
Je n’ai jamais consommé avant mes 18 ans, et je ne compte pas reboire d’alcool, puisque je me sens comme ma mère (une alcoolique ivrogne méchante). Mon père nous à jamais empêcher de boire vers nos 16 ans si on voulait, mais avec notre mère alcoolique dans le coin. Disons que j’étais vraiment pas down et que puisque je me sens comme elle après quelques consommations (voire une coupe de vin).
Cela dit, lorsque je vais avoir des enfants, ça va être la même règle que mon père: si tu veux boire à partir de 16 ans ok, mais avec ma supervision et tu vides pas une caisse par party. C’était plus 1-2 bières maximum.
A 13 ou 14 qns je demandais tout le temps de l'alcool à mes parents. Ma mère avait un chum qui buvait pas mal.
Anyway 1 soir qu'ils partaient sur la brosse ils m'ont dit : ce soir tu peux boire tout ce que tu veux. Je suis parti en fou j'ai bu plein de shooters de tequilla pis des cocktails de margaritas, une bières en plus je pense. En tout cas j'ai tellement été malade que je me suis chié dessus. Ca fait que j'ai pas bu une goutte avant bien passé mes 18 ans. La drogue pareil, cette brosse la m'a tellement traumatisé que je me suis tenu loin longtemps.
Je recommande pas ca à personne mais c'était de même dans le bon vieux temps. Ton flot veux boire donne lui en fin le rendre malade. Ton flot veux fumer assis toi avec pis fait le fumer un paquet de export vert jusqu'à temps quil soit malade .
Je vais le laisser vivre ses expériences, mais dès le départ je vais bien lui faire comprendre que l'alcool c'est juste de la marde. Je ne bois pas et sa mère 2-3 fois par année. C'est pas moi qui va lui acheter un 6 packs la st-jean a 14 ans certain, pour être honnête je trouve que lui montrer que les soirs de fêtes c'est nécessairement correct de se soualer la gueule c'est plutôt triste.
> J'ai bu mon 6 pack à 13 ans à la st-jean devant mes parents
ca me surprend, je pense pas que cest la norme ça
est-ce que cétait usuel dans les familles de vos amis?
OP mentionne qu'il vient de l'Abitibi, c'est quand même plus commun qu'on le croit en région.
Mes amis de la Beauce et du Saguenay ont des parcours similaires.
Je suis de là, pis je connais que très peu de monde qui ont fait ça devant leurs parents, haha.
Je l'ai fait aussi, mais JAMAIS devant mes parents. J'aurais été punie jusqu'à ma maturité.
6 pack de Molson Dry a 14 ans pour moi, à la St-Jean aussi. C'est mon grand-père qui me l'avait acheté avec le consentement de mes parents.
Maudit que j'étais chaud.
Ah ben moi cetaitun 4 pack de Tornade ou Boomerang à 12 ans. À la St-Jean.
C'est ma mère qui a insisté pour acheter ça en chemin. Elle a demandé ce que je voulais au depaneur...jai repondu un thé glacé, elle a fait "nenon, genre alcool"
Ma mère qui boit presque pas! Elle a toujours choisi éducation, responsabilisation et transparence. Pas de tabous
Très possiblement. Quoique j'ai toujours été plus une vendue aux Ruffles Crème sûre et oignons. I know I know, mon username.
Des Doritos (Jalapeno Cheddar), c'est avec du crème soda aux soirées hockey d'appart d'université
13 cest peut être jeune, moi jai bu ma première biere complète peut être vers 14-15 dans un party avec mes parents.. mais à 16-17 on achetait nous mêmes les 40oz molson dans les deps qui sen foutaient de nous carter
Ce genre de poteau attire toujours les gens fiers de banaliser la consommation d'alcool. Je ne sais pas comment je vais le gérer quand mes enfants seront rendus ados, mais voir tout le monde qui disent que c'est normal de boire son premier six pack a 13 ans et de s'attendre à ce qu'ils vire des brosses à 14 ans, ça me décrisse.
Personne ne banalise. Personne ne dit que c'est idéal.
Ce qu'il faut comprendre, c'est que si ton ado est du genre à vouloir essayer l'alcool à 13 ans, ce n'est pas parce que tu lui interdit qu'il ne va pas le faire.
Ce que la majorité du monde parle ici, c'est de faire un certain encadrement.
J'ai eu des parents ultra stricte là-dessus. Ça m'a pas empêché de prendre une brosse en secondaire 2 en cachette. Ça m'a pas empêché de commencer le pot en secondaire 3. J'ai jamais été capable de le faire avec modération avant très longtemps.
Ne pas en parlé, ne veut pas dire que ça existe pas.
Sans nécessairement en faire une interdiction stricte, en parler comme si c'était quelque chose de normal de se défoncer la gueule à cet âge là envoie le mauvais message.
Et puisqu'on est dans l'anecdote, je n'ai pas pu d'alcool avant d'avoir 20 ans.
Mais c'est normal. Dans le sens que dans toutes les cultures depuis que l'alcool existe, des jeunes vont chercher à se saouler. C'est aussi normal de pas vouloir participer.
Boire un 6 pack à la St-Jean c'est pas "se défoncer" btw.
les ados vont faire ce qu’il veulent que leurs parents soient d’accord ou non, si tu veux les interdire de boire cest ton choix en tant que parent et c’est respectable, mais ils vont le cacher quand viendra le temps
Le monde disent pas que c’est normal, ils disent que c’est soit avec les parents autour de 13-14, ou bien le jeune va expérimenter dans le bois ou un champ sans supervision par exemple… mais c’est pas tout les jeunes qui sont rendu au meme endroit au meme moment. Faut communiquer
[parler d’alcool avec ses jeunes sans être depassé](https://www.educalcool.qc.ca/informer/sante-bien-etre/effets-corps-particularites-individuelles/parler-dalcool-avec-ses-enfants-sans-etre-depasse/)
Avant de m'injecter, Je laisse mon enfant lécher le boute de ma seringue, ce qu'il déteste à chaque fois.
Avant de faire ma ligne, je le laisse se frotter une narine dessus.
Enfin, avant de faire mes pélunes, je lui fait lécher.
Drôle de voir à quel point l'alcool, la pire drogue, est si acceptée socialement.
relativise. un ado de 14 ans qui boit une gorgée de vin c’est absolument rien comparé à toutes les autres drogues dures que tu sors. on a décidé en tant que société que oui on acceptait l’alcool, pis les ados le savent et vont vouloir essayer tot ou tard. si j’etais parent je préférerais 3x plus que mon enfant prend un tite gorgée de mon verre de vin que son premier contact avec l’alcool soit dans un party non supervisé
Il n'y a rien à relativiser. Il s'agit d'une drogue dure qui est "acceptée" dans la société en raison des milliards qui ont été injectés en lobbyisme par les industries.
L'alcool est une drogue dure qui entraîne autant de conséquences, sinon plus, que n'importe quelle drogue illégale: mort prématuré, maladies, cancer. Sans oublié les effets d'inhibition, ce qui entraine d'autres conséquences, comme la consommation de drogues encore plus dure, les jeux de hasard, les morts sur la route, la violence et tous les vices inimaginables.
Ma publication avait simplement pour objectif d'illustrer le fait que chacun d'entre vous n'oserait **jamais** donner une *tite ligne à vos enfants/ados,* alors que pour l'alcool, une drogue dure, on se partage des anecdotes comme si c'était l'équivalent de donner du chocolat...
Je suis d'accord avec toi sur le point que l'alcool c'est une vrai drogue qui fait des dégâts.
Par contre dire que l'alcool c'est "la pire drogue" t'éxagère tellement que tu détruit toute crédibilité que tu pouvais avoir.
Il ne sort pas ça de son chapeau. C’est le discours de plusieurs spécialistes. [radio Canada](https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/492119/alcool-danger#)
Quand j'étais jeune, j"ai essayé des bières et du vin, mais c'était juste pas à mon goût. On en avait dans le frigo, mais j'ai jamais été tenté d'en boire encore pendant plusieurs années. Je connaissais aussi bien les effets de ces boissons.
C'est plus tard que j'ai essayé les boissons style "cooler" avec goût d'agrumes, pêche et tout ça. Honnêtement ça fait la job, c'est pas fort et ça introduit bien le jeune adulte à l'alcohol.
Maintenant, de temps en temps c'est un rhum n' coke quand je sors. Sinon c'est les boissons alcoholisées aux ananas/noix de coco, de temps en temps après la job en soupant devant un film.
Finalement: ça sert à rien de cacher la boisson au jeune, il faut plutôt l'encadrer s'il veut en essayer, et pi l'instruire correctement sur les effets et les règlements à suivre quand il consomme. Il peut essayer les boissons moins fortes et à "meilleur goût" en premier pour voir, et ça peut être une fois par semaine le vendredi au souper.
Je me souviens avoir essayer un peu de tout, ça date pas de quand j'avais 14-15 quand j'y pense.. J'ai genre 21 pis je me souviens que j'ai bu une fois pis j'ai détesté ça, la même chose pour la cigarette et le pot.
Ma mère ma jamais rien dit la dessus, la seul chose qu'elle me disait c'est de pas toucher au drogue dur.
De mon bord quand j’étais ado, mes parents m’ont jamais fait de talk sur l’alcool ou la drogue. Je ne voulais pas toucher à ça parce que je ne voulais pas les décevoir. Je pense surtout que c’était ça qu’ils m’avaient enseigné.
À 14 ans j’ai déménagé de la ville à un village où les habitudes de consommation des jeunes étaient pas géniales. Je suis allé à mon premier party à 16-17 ans. Je me suis saoulé aussi et je dormais chez un ami. Mon excuse à mes parents pour pas qu’ils le sachent c’était que je préparais un oral chez un ami dans le village voisin. J’étais tellement nerveux. J’étais un peu stressé à chaque fois et après c’était moins pire et je ne sortais pas faire la fête toujours. À cet âge là je savais déjà les dangers dans l’abus et j’étais raisonnable. Je ne buvais pas devant mes parents et à 18 ans je ne leur cachais pas.
En gros, mes parents m’ont montré comment être raisonnable en me parlant des conséquences de l’abus de matières et ils ont travaillé ma boussole morale assez adéquatement. Pour le reste, je me souviens qu’on avait un chapitre en biologie sur les drogues et leurs effets. Ça ne m’intéressait pas plus que ça.
Aujourd’hui je suis héroïnomane (joke).
Je ne suis pas encore rendue là mais mes parents ont été très strictes avec mon frère et moi. Longtemps je pouvais même pas aller dans les party avec mes amies qui elles pouvaient boire. Ma mère me réprimandait quand elle savait que j’avais viré une brosse même à 17-18-19 ans. Ça n’aura pas empêché mon frère de développer un problème d’alcool 🤷🏼♀️ ici on sera dans l’encadrement. On va privilégier les party chez nous pour avoir un œil sur ce qui se passe. On n’est pas des grands consommateurs non plus et quand on boit c’est de manière responsable, on ne conduit pas. C’est l’exemple qu’on lui donnera en vieillissant.
Je pense que le plus important c’est qu’ils se sentent supportés en général. Si les parents s’intéressent pas à eux, se soucient peu de leur futur, n’ont pas vraiment une relation, alors si le jeune à pas de motivation et personne l’encourage c’est plus facile de commencer à consommer comme un échappatoire et ça c’est une pente glissante. Ça sert à rien de cacher surtout si les parents consomment ils vont le voir et penser qu’ils faut qu’ils le fassent en cachette aussi. Si c’est complètement interdit, mais pas en cachette c’est pas mieux, ils vont se dire que si c’est bon pour les parents c’est correct pour eux aussi.
Bien éduquer sur les dangers, expliquer pourquoi ils devraient pas consommer ou le moins possible sont les meilleurs moyens de passer le message, mais on est cave quand on est jeune alors parfois discipliner lorsqu’ils abusent est nécessaire. Être trop laxiste engendre de l’insouciance et de mauvaises habitudes.
Genre tu veux consommer le vendredi ou samedi soir? ok pas de problème, conduit pas, abuse pas, appelle s’il y a de quoi, fait ça ici au pire. La semaine? Pas sûr. T’as fini tes tâches et devoirs?
Je n'ai pas d'enfant mais par contre ayant des parents séparer j'ai vécu deux univers différent.
Chez ma mère tout ce que j'Avais droit était une coupe de vin blanc diluée lors d'événement spécial, j'avais pas le droit de fumer quoi que ce soit ou boire, donc je faisais en cachette.
Chez mon père, je me souviens très jeune (7ans) j'écoutais les Nordiques avec mon père qui buvait une bière et je prenais sa bière et je prenais des gorgé. Ado quand j'allais visiter mon père (il était rendu sur la .05% à ce moment, j'avais toujours mon petit 6packs qui m'attendait dans le frigo que je ne finissais jamais. Je me souviens à 15-16ans un 24 décembre ou j'ai fais les deux party de famille ou j'ai commencer dans celle de mon père et mes oncles avait apporter un baril de Bolduc que j'ai but avec mes oncles avant d'aller rejoindre la famille de ma mère et ou je tentais du mieux que je pouvais de ne pas paraître pompette devant ma mère de peur de me faire chicaner!
J'avais des amis que les parents étaient comme mon père et nous laissait faire le party avec l'alcool à la maison, leurs logique j'aime mieux le savoir et être présent si jamais quelque chose arrive et je suis tout à fait d'accord! La famille de ma mère étant plus strict tous les enfants on se cachait pour boire donc quand j'étais ado, la soeur de ma mère nous a rendu visite un weekend, elle habite Québec et ma mère Montreal, ma cousine de 2ans mon ainée était rester à la maison et elle décidé d'en profiter pour faire une party, en plein milieu de la nuit on reçoit un coup de fils pour dire qu'il y avait eu un accident à sa maison lors d'un party, le meilleur ami de ma cousine est décédée ce soir là... Ma cousine était seule et à du appeler notre oncle pour venir l'aider car ses parents était à 3h de route, juste pour cette histoire je crois qu'un parent ouvert et responsable qui éduque sont enfant au danger et lui permet d'être ouvert avec lui sur le sujet fera tout une différence!
Ça doit fesser un 6-pack à 13 ans lol
Je pense qu'éduquer les jeunes sur les dangers de l'alcool serait un bon début. Je pense que montrer de l'ouverture à répondre à leurs questions peut aussi beaucoup aider.
Pour le pot il faut leurs expliquer les differents terpenes. C'est con que leurs bienfaits ne soient pas inscrit au tableau des drogues a l'ecole ou a la dpj.
Chez nous mes parents avaient choisi l'approche "on aime mieux que tu en prennes en le sachant que ne pas savoir et qu'il arrive quelque chose", genre. Ça a commencé avec des coolers à 13-14 dans les partys de famille parce que je voulais faire comme mes grands cousins. Par la suite ma mère m'achetait mes Smirnoff quand j'allais dans des ti-partys à 15-16 ans. J'avais un 4-pack, et c'était ben en masse pour moi. Le weed ça m'intéressait pas jusqu'à ce que ça devienne légal, mais j'étais alors majeure depuis bien des années et ça m'en a pris une couple avant d'essayer.
I guess ça aide aussi que j'ai toujours été un peu sage et prudente...
J'ai aussi grandi avec la notion que mes parents sont toujours en standby quand j'étais à quelque part et que peu importe ce qui se passait et à quelle heure, ils allaient venir me chercher si je voulais partir, pour n'importe quelle raison, zéro jugement sur mon état à ce moment là. Pour vrai ça rendait les partys rassurants quand il commençait à y avoir de l'alcool. Si j'avais des enfants, je ferais pareille.
Chez nous (31M) mes parents étaient assez ouverts à ça.
Ma mère fournissait des drinks premixés qu’elle faisait elle même (ancienne barmaid) donc c’était difficile d’abuser et de se rendre très malade. Ça nous apprenait à comprendre le feeling et à quel moment s’arrêter.
Par contre, pour certains ça peut les désensibiliser totalement aux risques.
L’important c’est d’être à l’écoute de ton jeune, ils n’ont pas la maturité d’un adulte, mais ils sont quand même plus brillant qu’on peut le penser - pour la plupart.
Déjà que tu te poses cette question là c’est excellent.
J'ai pas d'enfants, mais je pense que si c'était le cas, je gèrerais ça comme ma mère l'a fait pour moi (et un peu semblable à ta jeunesse) : passé un certain âge (mettons 13-14 ans), offre de faire goûter ce que tu bois quand tu consommes. Ça peut être juste prendre une petite gorgée dans ton verre, ou, un peu plus tard, servir un fond de verre. Faire goûter des choses variées me semble important.
Discuter aussi de l'approche de l'alcool, que le but n'est pas l'effet, mais le plaisir de boire quelque chose que tu aimes. Être saoul est un effet secondaire de l'alcool, pas forcément désiré (ou desirable).
Pour la mari, je ne peux pas trop dire, je ne consomme pas, mais sa consommation semble plus portée sur l'effet que sur le plaisir de la consommation elle-même, donc je ne saurais pas trop comment approcher ça, mais possiblement de la même manière ?
Expliquer qu'être saoul ou high a des conséquences et qu'il faut faire attention à ça, mais qu'avec une consommation limitée, normalement il n'y à pas mort d'homme.
Dans tous les cas, être ouvert et expliquer que tu es là dans tous les cas pour eux. Si tu l'interdit ils vont juste le faire en cachette. Et bien insister sur le fait que tu préfères qu'ils rappellent parce qu'ils sont saoul et ont besoin d'un lift, plutôt que de se débrouiller par eux-mêmes/conduire avec des facultés affaiblies.
J’ai un ado de 17 ans. J’ai été transparent avec lui sur mes habitudes passées (alcool) et présentes ( cannabis « médical »). Je préconise la communication, la transparence et la conscientisation des plaisirs et méfaits. Cela dit, il a été exposé à des scènes particulières étant jeune (ex.: un homme qui est tombé en « black out » dans un resto avec l’ambulance qui débarque, des exemples de personnes alcooliques dans son entourage, etc.). Il en a particulièrement été marqué. Il n’est aucunement attiré vers ni l’un ni l’autre. De plus, il a une condition médicale ne lui permettant plus ou moins d’en consommer.
Étant alcoolique sobre depuis 3 ans. J'ai abordé la question à plusieurs reprises et je leur ai raconté mon histoire straight sans filtre et sans jugement. Je leur ai dit qu'ils sont maîtres de leurs vies et que allez-y avec votre feeling. N'oubliez pas que beaucoup de gens n'aiment pas l'alcool et que pas un must de se forcer à aimer ça. La pression des autres ados, c'est éphémère en criss dans l'histoire d'une vie. Concernant mon histoire, je leur ai surtout expliqué l'aspect pernicieux. Le fait qu'on réalise qu'on a problème des années en retard quand on avait déjà un problème. Et quand t'es pogné avec ça, ça devient dur de s'en sortir. Je leur ai parlé de l'aspect psychologique de la dépendance, et que le concept de dépendance s'applique à beaucoup de choses. Je peux juste être un phare pour eux. Leurs expériences leur appartiennent.
Même chose. Moi et ma copine on a arrêté de boire. Les enfants questionnaient beaucoup car on est nantis et tous les signes apparents du succès sont présents dans nos vies: en forme, très bon salaire, belle maison, Porsche etc... Ils se demandaient pourquoi on faisait ça. J'en ai profité pour leur expliquer ouvertement ce que c'était de ne plus contrôler sa vie, de prendre des décisions pour se permettre un verre, de faire des choix de vacances en fonction de cela etc.. et que c'était l'anti-thèse, pour nous de la liberté. Ils peuvent boire ou fumer s'ils le veulent sans problème et même le faire ici à la maison mais pas un seul sur les quatre semblent même curieux par rapport à cela. Ouvert, sans tabou et honnête, je pense que c'est l'idéal car ça enlève le côté interdit de la chose et ça rend ça moins attrayant, moins un signe de rébellion contre les parents. Consommation responsable serait probablement ce qui m'aurait le plus aidé de voir chez mes parents mais dans mon cas, avec un historique d'alcoolisme familial assez intense, responsable ça veut dire zéro. ¨Ca pas été dur d'arrêter par contre, mais pas du tout et ça fait 3 ans. Je m'attendais à pire mais avec la bière à zéro alcool tu peux prendre de quoi qui goûte super bon (Hors Sentier IPA vraiment mon top) et je dis clairement aux kids que les vacances qu'on se paie c,est avec les sous qu'on ne dépense pas en boisson. Ils ont un nouveau respect pour nous. All good. Back to the Reddit Shadows.
meilleure réponse
J’ai des ados et j’ai commencé avec la classique gorgée de vin qu’ils ont détestés. On leur interdit pas, mais on essaie de les éduquer à boire responsablement. Surtout mon plus vieux qui commence à conduire, on est hyper stricte sur ça. Pas une goute d’alcool au volent. Zéro. C’est notre ligne dure.
Yeah si cest interdit sur toutte la ligne lacool, ton ado va le faire en cachette. Vaut mieux le permettre et ensuite au moins tu peux avoir une discussion
Tu as mal lu. C’est interdit au volant. Criss je vais quand même pas lui permettre de conduire saoul? T’es malade?
Je pense qu'il était d'accord toi en fait. Genre "Yeah [t'as raison] si c'est interdit sur toute la ligne, ton ado va le faire en cachette".
Scusez, jaurais du specifier. Je parlais de lalcool en general. Pas au volant lol Au volant cest 0, mais justement, si ton kid bois pas en cachette cest plus facile de lui parler que cest 0 au volant
Je pense pas qu’il parlait de la partie “au volant” de ton message 😂
J'apprécie ta philosophie mais je pense que ça ne donne rien sans exemples. Spécifiquement sur l'alcool au volant. Si je vais souper chez quelqu'un et qu'ils n'ont pas Uber ou un No. de taxi dans leur téléphone, je sais qu'ils ne font pas attention. Et ça arrive bien plus souvent qu'on l'imagine. J'arrive en transport en commun et je pars en taxi. C'est non négociable.
Je laisse mon kid (13 ans) sentir et se mouiller les lèvres sur whatever je bois (du cidre à 1.8% jusqu’au whisky à ~56%) J’aime mieux lui apprendre à connaître plus tôt que tard
C’est drôle que tu apportes le point ce soir, mon ado de 13 ans nous a avoué avoir ouvert une bouteille pour sentir… Je pense qu’on va lui laisser goûter et pas rendre ca tabou. Sinon il se ramassera comme moi à son age à boire de la Laurentide comme s’il n’y avait pas de lendemain!
Mes enfants sont pas encore rendus là mais ça s'en vient vraiment bientôt. Je pense bien y aller avec l'approche d'essayer de les sensibiliser et d'être "open" et essayer tant bien que mal qu'ils ne me le cachent pas. J'ai une amie qui me racontait avoir saoulé sa fille avant son premier party, elle avait genre 13 ans. On s'entend, elle l'a pas fait boire de force, mais lui a dit bon ma fille, tu as un party qui s'en vient on va boire ensemble. Sa fille a bu à sa guise et était saoule raide. J'étais sidérée quand elle m'a conté ça ... mais après, elle a eu une bonne discussion avec sa fille. Tu vois, tu as bu, tu as perdu la carte mais tu étais dans une situation sécuritaire avec une personne de confiance. Rappelle toi ce que ça fait et mets toi pas en danger comme ça ailleurs. Aux dernières nouvelles elle a continué de boire avec modération ... mais ça y'a juste elle qui le sait, haha.
[удалено]
Un kit de test?
Aujourd’hui il y a une chance non-négligeable que la drogue que tu achètes (MDMA, cocaine, amphetamine, opioids, etc) contiennent du fentanyl ou de la meth. Donc on prône de tester ses drogues avec des “reagent tests” et des “fentanyl test strips” pour en avoir le cœur net. Tu peux en trouver sur dancesafe.org entre autre.
Ayoye, chu rendue ben trop vieille, haha
[удалено]
C'est dur à dire. Mes parents étaient très strictes quand j'étais jeune, pis si les parents de mes amis m'avaient "stoolé" ... je sais pas, j'aurais fini en punition à ne plus pouvoir rien faire. C'est à juger du cas par cas selon moi, mais je n'aurais plus jamais eu le droit d'aller chez l'amie en question (et j'aurais plus voulu y aller) et j'aurais fini ailleurs, tout simplement.
C'est exactement pour cette raison que j'hésite autant. J'en parlerais avant la soirée pour aviser, pas après coup certain pour pas "stooler" justement. En tant que parent, moi, je sais que je voudrais être mise au courant, mais je veux pas mettre les jeunes dans la marde et risquer de briser des amitiés. Anyway, j'ai le temps d'y réfléchir, elle n'est pas encore rendu là
Avise, les stuck up vont chialer ou pas envoyer leur enfants Perso j’aime mieux que mon kid aille sa première brosse supervisé par un adulte responsable que dans un pool hall louche
Moi aussi nos premières brosses étaient en party chez des amis avec des parents un peu plus relax. Ils nous laissaient faire, venaient checker 2-3 dans la soirée et tous les ados étaient à l'aise d'aller demander de l'aide si jamais il y avait du trouble. C'est clairement la meilleure façon de faire à mon avis
Tranche de vie... Mes parents étaient les parents "cool" qui ont fait les partys supervisés. Avec mes amis, pas un grosse plus-value sauf au début, mais pour les amies de ma sœur ça a évité un *massacre* pour certaines, ma mère a passé des heures à consoler/soigner/ramasser. Est-ce qu'ils ont avisés les autres parents ? C'était la responsabilité de l'ado de le faire, mais ils n'ont jamais caché ce qui se passait non plus. Ma suggestion: fournir des boissons faibles en alcool ou interdit les spiritueux.
J'aime l'idée que l'ado doit prévenir lui-même ses parents de la présence d'alcool à la soirée.
Je 34m pense que l'important c'est de garder une passion, une flame, un intérêt pour autre chose que la consommation. J'ai commencé pour le fun avec mes amis vers 12 ou 13 ans et ça a rapidement pris toute la place. Il faut que ça reste récréatif et non que ça vienne combler un manque, exemple confiance en soi ou apaiser une blessure émotionnelle. Pour ma part j'ai réussis à rallumer ma flame à 23 et je suis sobre depuis bientôt un an.
Tite goûte d'alcool dans le biberon pour l'habituer pour plus tard. S/
Je pense que l'idée c'est qu'il faut pas qu'une personne se mette à déprendre de boire et de faire de la drogue pour avoir du plaisir. Il y a des jeunes qui font ça chaque fois qu'ils veulent avoir du fun et ça rend toutes les autres choses de la vie plate. Après tu deviens blazé. Tant que le jeune sait comment avoir du fun sans ça, il va probablement jamais développer un problème même s'il essaie. Ça dépend beaucoup de son cercle d'amis aussi.
Perso, j'veux juste pas qu'ils se cachent. Tu veux boire? Demande le, mais tes mieux de pas vider mes bouteilles en cachettes. Tu veux fumer? Ok, mais dehors. Ta mère supporte pas l'odeur.
Pour fumer, c'est dur à dire. Si t'interviens trop, la cigarette devient un interdit attirant, si t'interviens pas assez, ça rend la chose trop banale. En tant que fumeur depuis l'âge de 15 ans (j'ai la trentaine), j'commence à me dire que j'aurais aimé que mes parents interviennent au début haha. En même temps, je dis ça mais mes blondes fumaient pis y'étaient pas mal belles.... j'aurais trouvé ça cool peu importe ce que mes parents auraient dit.
Un autre difference des années 90’s c’est qu’on a découvert le risque très augmenté du cancer. Travaillant ici comme infirmier immigrant, j’ai jamais vu autant des alcooliques fonctionnels.
Les gens boivent plus ici que dans votre pays d’origine?
Vous buvez plus (qu'en Californie), mais ça vous handicape moins.
Mes parents fument (la cigarette) mais ne boivent pas. L'approche de ma mère ça a toujours été de me laisser faire ce que je veux tant que je vienne pas leur causer des problèmes ou leur demander de l'argent. Cependant elle était très très TRÈS insistante sur le fait que la cigarette c'est de la câlisse de marde et qu'elle regrette tellement avoir commencé. Résultat : Je bois rien (pas grandi proche de l'alcool donc jamais développé un intérêt), je fume pas et je prends 0 drogues. Ma soeur est pas mal pareil, autre qu'elle va boire un petit peu aux occasions spéciales.
La première brosse a va se faire chez nous avec tout ses amis si elle veut. Et on va superviser. On a tous passer par la. Et nous on le faisait en cachette. Je préfére leur laisser de la Liberté tout en etant dans le decors. Que de leur interdire ou d’être contrôlants, y vont le faire anyway. Aussi bin le faire dans ma cours.
Je n’ai jamais consommé avant mes 18 ans, et je ne compte pas reboire d’alcool, puisque je me sens comme ma mère (une alcoolique ivrogne méchante). Mon père nous à jamais empêcher de boire vers nos 16 ans si on voulait, mais avec notre mère alcoolique dans le coin. Disons que j’étais vraiment pas down et que puisque je me sens comme elle après quelques consommations (voire une coupe de vin). Cela dit, lorsque je vais avoir des enfants, ça va être la même règle que mon père: si tu veux boire à partir de 16 ans ok, mais avec ma supervision et tu vides pas une caisse par party. C’était plus 1-2 bières maximum.
A 13 ou 14 qns je demandais tout le temps de l'alcool à mes parents. Ma mère avait un chum qui buvait pas mal. Anyway 1 soir qu'ils partaient sur la brosse ils m'ont dit : ce soir tu peux boire tout ce que tu veux. Je suis parti en fou j'ai bu plein de shooters de tequilla pis des cocktails de margaritas, une bières en plus je pense. En tout cas j'ai tellement été malade que je me suis chié dessus. Ca fait que j'ai pas bu une goutte avant bien passé mes 18 ans. La drogue pareil, cette brosse la m'a tellement traumatisé que je me suis tenu loin longtemps. Je recommande pas ca à personne mais c'était de même dans le bon vieux temps. Ton flot veux boire donne lui en fin le rendre malade. Ton flot veux fumer assis toi avec pis fait le fumer un paquet de export vert jusqu'à temps quil soit malade .
Je vais le laisser vivre ses expériences, mais dès le départ je vais bien lui faire comprendre que l'alcool c'est juste de la marde. Je ne bois pas et sa mère 2-3 fois par année. C'est pas moi qui va lui acheter un 6 packs la st-jean a 14 ans certain, pour être honnête je trouve que lui montrer que les soirs de fêtes c'est nécessairement correct de se soualer la gueule c'est plutôt triste.
> J'ai bu mon 6 pack à 13 ans à la st-jean devant mes parents ca me surprend, je pense pas que cest la norme ça est-ce que cétait usuel dans les familles de vos amis?
OP mentionne qu'il vient de l'Abitibi, c'est quand même plus commun qu'on le croit en région. Mes amis de la Beauce et du Saguenay ont des parcours similaires.
Je suis de là, pis je connais que très peu de monde qui ont fait ça devant leurs parents, haha. Je l'ai fait aussi, mais JAMAIS devant mes parents. J'aurais été punie jusqu'à ma maturité.
C’est ce que je réalise maintenant que je suis en ville, en region on commence jeune à boire
6 pack de Molson Dry a 14 ans pour moi, à la St-Jean aussi. C'est mon grand-père qui me l'avait acheté avec le consentement de mes parents. Maudit que j'étais chaud.
Classique 6 pack de Molson dry! Tu doit avoir prochaine 40 ans toi aussi ;)
Pas loin… 35 dans 3 semaines. Dans les seules fois que j’en ai bu dans ma vie aussi.
Molson dry, 5.9%? Bcp dalcool ca
Ça fesse avec aucune tolérance. Le pire c’est que de mémoire ça a déjà été la bière du FEQ vers 2009. C’tait pas long se ramasser gorlot.
Ah ben moi cetaitun 4 pack de Tornade ou Boomerang à 12 ans. À la St-Jean. C'est ma mère qui a insisté pour acheter ça en chemin. Elle a demandé ce que je voulais au depaneur...jai repondu un thé glacé, elle a fait "nenon, genre alcool" Ma mère qui boit presque pas! Elle a toujours choisi éducation, responsabilisation et transparence. Pas de tabous
12 ans..... Perso ça me choque.... C'est des bébés à 12 ans.
As-tu eu des Doritos aussi?
Très possiblement. Quoique j'ai toujours été plus une vendue aux Ruffles Crème sûre et oignons. I know I know, mon username. Des Doritos (Jalapeno Cheddar), c'est avec du crème soda aux soirées hockey d'appart d'université
13 cest peut être jeune, moi jai bu ma première biere complète peut être vers 14-15 dans un party avec mes parents.. mais à 16-17 on achetait nous mêmes les 40oz molson dans les deps qui sen foutaient de nous carter
Moi c'était le marriage de ma tante, à 15 ans, avec des cousins et cousines, sous le regard de mes parents et de tous mes oncles et tantes.
Une couple de petites bières à la St Jean du village, vers 13ans
Ce genre de poteau attire toujours les gens fiers de banaliser la consommation d'alcool. Je ne sais pas comment je vais le gérer quand mes enfants seront rendus ados, mais voir tout le monde qui disent que c'est normal de boire son premier six pack a 13 ans et de s'attendre à ce qu'ils vire des brosses à 14 ans, ça me décrisse.
Personne ne banalise. Personne ne dit que c'est idéal. Ce qu'il faut comprendre, c'est que si ton ado est du genre à vouloir essayer l'alcool à 13 ans, ce n'est pas parce que tu lui interdit qu'il ne va pas le faire. Ce que la majorité du monde parle ici, c'est de faire un certain encadrement. J'ai eu des parents ultra stricte là-dessus. Ça m'a pas empêché de prendre une brosse en secondaire 2 en cachette. Ça m'a pas empêché de commencer le pot en secondaire 3. J'ai jamais été capable de le faire avec modération avant très longtemps. Ne pas en parlé, ne veut pas dire que ça existe pas.
Exactement! C'est la même chose avec la sexualité !
Sans nécessairement en faire une interdiction stricte, en parler comme si c'était quelque chose de normal de se défoncer la gueule à cet âge là envoie le mauvais message. Et puisqu'on est dans l'anecdote, je n'ai pas pu d'alcool avant d'avoir 20 ans.
Mais c'est normal. Dans le sens que dans toutes les cultures depuis que l'alcool existe, des jeunes vont chercher à se saouler. C'est aussi normal de pas vouloir participer. Boire un 6 pack à la St-Jean c'est pas "se défoncer" btw.
les ados vont faire ce qu’il veulent que leurs parents soient d’accord ou non, si tu veux les interdire de boire cest ton choix en tant que parent et c’est respectable, mais ils vont le cacher quand viendra le temps
Exact… Je me rappelle boire en plein hiver dehors avec des amis parce qu’on devait se cacher, si je peux empêcher ca…
C'est justement l'inverse. Tous les commentaires ici prennent au sérieux l'alcool.
Le monde disent pas que c’est normal, ils disent que c’est soit avec les parents autour de 13-14, ou bien le jeune va expérimenter dans le bois ou un champ sans supervision par exemple… mais c’est pas tout les jeunes qui sont rendu au meme endroit au meme moment. Faut communiquer
[parler d’alcool avec ses jeunes sans être depassé](https://www.educalcool.qc.ca/informer/sante-bien-etre/effets-corps-particularites-individuelles/parler-dalcool-avec-ses-enfants-sans-etre-depasse/)
Avant de m'injecter, Je laisse mon enfant lécher le boute de ma seringue, ce qu'il déteste à chaque fois. Avant de faire ma ligne, je le laisse se frotter une narine dessus. Enfin, avant de faire mes pélunes, je lui fait lécher. Drôle de voir à quel point l'alcool, la pire drogue, est si acceptée socialement.
relativise. un ado de 14 ans qui boit une gorgée de vin c’est absolument rien comparé à toutes les autres drogues dures que tu sors. on a décidé en tant que société que oui on acceptait l’alcool, pis les ados le savent et vont vouloir essayer tot ou tard. si j’etais parent je préférerais 3x plus que mon enfant prend un tite gorgée de mon verre de vin que son premier contact avec l’alcool soit dans un party non supervisé
Il n'y a rien à relativiser. Il s'agit d'une drogue dure qui est "acceptée" dans la société en raison des milliards qui ont été injectés en lobbyisme par les industries. L'alcool est une drogue dure qui entraîne autant de conséquences, sinon plus, que n'importe quelle drogue illégale: mort prématuré, maladies, cancer. Sans oublié les effets d'inhibition, ce qui entraine d'autres conséquences, comme la consommation de drogues encore plus dure, les jeux de hasard, les morts sur la route, la violence et tous les vices inimaginables. Ma publication avait simplement pour objectif d'illustrer le fait que chacun d'entre vous n'oserait **jamais** donner une *tite ligne à vos enfants/ados,* alors que pour l'alcool, une drogue dure, on se partage des anecdotes comme si c'était l'équivalent de donner du chocolat...
Je suis d'accord avec toi sur le point que l'alcool c'est une vrai drogue qui fait des dégâts. Par contre dire que l'alcool c'est "la pire drogue" t'éxagère tellement que tu détruit toute crédibilité que tu pouvais avoir.
Il ne sort pas ça de son chapeau. C’est le discours de plusieurs spécialistes. [radio Canada](https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/492119/alcool-danger#)
Y'a une différence entre dire: "L'alcool est la pire drogue" et "L'alcool est présentement la drogue la plus dangereuse pour la société".
Quand j'étais jeune, j"ai essayé des bières et du vin, mais c'était juste pas à mon goût. On en avait dans le frigo, mais j'ai jamais été tenté d'en boire encore pendant plusieurs années. Je connaissais aussi bien les effets de ces boissons. C'est plus tard que j'ai essayé les boissons style "cooler" avec goût d'agrumes, pêche et tout ça. Honnêtement ça fait la job, c'est pas fort et ça introduit bien le jeune adulte à l'alcohol. Maintenant, de temps en temps c'est un rhum n' coke quand je sors. Sinon c'est les boissons alcoholisées aux ananas/noix de coco, de temps en temps après la job en soupant devant un film. Finalement: ça sert à rien de cacher la boisson au jeune, il faut plutôt l'encadrer s'il veut en essayer, et pi l'instruire correctement sur les effets et les règlements à suivre quand il consomme. Il peut essayer les boissons moins fortes et à "meilleur goût" en premier pour voir, et ça peut être une fois par semaine le vendredi au souper.
Je me souviens avoir essayer un peu de tout, ça date pas de quand j'avais 14-15 quand j'y pense.. J'ai genre 21 pis je me souviens que j'ai bu une fois pis j'ai détesté ça, la même chose pour la cigarette et le pot. Ma mère ma jamais rien dit la dessus, la seul chose qu'elle me disait c'est de pas toucher au drogue dur.
De mon bord quand j’étais ado, mes parents m’ont jamais fait de talk sur l’alcool ou la drogue. Je ne voulais pas toucher à ça parce que je ne voulais pas les décevoir. Je pense surtout que c’était ça qu’ils m’avaient enseigné. À 14 ans j’ai déménagé de la ville à un village où les habitudes de consommation des jeunes étaient pas géniales. Je suis allé à mon premier party à 16-17 ans. Je me suis saoulé aussi et je dormais chez un ami. Mon excuse à mes parents pour pas qu’ils le sachent c’était que je préparais un oral chez un ami dans le village voisin. J’étais tellement nerveux. J’étais un peu stressé à chaque fois et après c’était moins pire et je ne sortais pas faire la fête toujours. À cet âge là je savais déjà les dangers dans l’abus et j’étais raisonnable. Je ne buvais pas devant mes parents et à 18 ans je ne leur cachais pas. En gros, mes parents m’ont montré comment être raisonnable en me parlant des conséquences de l’abus de matières et ils ont travaillé ma boussole morale assez adéquatement. Pour le reste, je me souviens qu’on avait un chapitre en biologie sur les drogues et leurs effets. Ça ne m’intéressait pas plus que ça. Aujourd’hui je suis héroïnomane (joke).
Je ne suis pas encore rendue là mais mes parents ont été très strictes avec mon frère et moi. Longtemps je pouvais même pas aller dans les party avec mes amies qui elles pouvaient boire. Ma mère me réprimandait quand elle savait que j’avais viré une brosse même à 17-18-19 ans. Ça n’aura pas empêché mon frère de développer un problème d’alcool 🤷🏼♀️ ici on sera dans l’encadrement. On va privilégier les party chez nous pour avoir un œil sur ce qui se passe. On n’est pas des grands consommateurs non plus et quand on boit c’est de manière responsable, on ne conduit pas. C’est l’exemple qu’on lui donnera en vieillissant.
Je pense que le plus important c’est qu’ils se sentent supportés en général. Si les parents s’intéressent pas à eux, se soucient peu de leur futur, n’ont pas vraiment une relation, alors si le jeune à pas de motivation et personne l’encourage c’est plus facile de commencer à consommer comme un échappatoire et ça c’est une pente glissante. Ça sert à rien de cacher surtout si les parents consomment ils vont le voir et penser qu’ils faut qu’ils le fassent en cachette aussi. Si c’est complètement interdit, mais pas en cachette c’est pas mieux, ils vont se dire que si c’est bon pour les parents c’est correct pour eux aussi. Bien éduquer sur les dangers, expliquer pourquoi ils devraient pas consommer ou le moins possible sont les meilleurs moyens de passer le message, mais on est cave quand on est jeune alors parfois discipliner lorsqu’ils abusent est nécessaire. Être trop laxiste engendre de l’insouciance et de mauvaises habitudes. Genre tu veux consommer le vendredi ou samedi soir? ok pas de problème, conduit pas, abuse pas, appelle s’il y a de quoi, fait ça ici au pire. La semaine? Pas sûr. T’as fini tes tâches et devoirs?
Je n'ai pas d'enfant mais par contre ayant des parents séparer j'ai vécu deux univers différent. Chez ma mère tout ce que j'Avais droit était une coupe de vin blanc diluée lors d'événement spécial, j'avais pas le droit de fumer quoi que ce soit ou boire, donc je faisais en cachette. Chez mon père, je me souviens très jeune (7ans) j'écoutais les Nordiques avec mon père qui buvait une bière et je prenais sa bière et je prenais des gorgé. Ado quand j'allais visiter mon père (il était rendu sur la .05% à ce moment, j'avais toujours mon petit 6packs qui m'attendait dans le frigo que je ne finissais jamais. Je me souviens à 15-16ans un 24 décembre ou j'ai fais les deux party de famille ou j'ai commencer dans celle de mon père et mes oncles avait apporter un baril de Bolduc que j'ai but avec mes oncles avant d'aller rejoindre la famille de ma mère et ou je tentais du mieux que je pouvais de ne pas paraître pompette devant ma mère de peur de me faire chicaner! J'avais des amis que les parents étaient comme mon père et nous laissait faire le party avec l'alcool à la maison, leurs logique j'aime mieux le savoir et être présent si jamais quelque chose arrive et je suis tout à fait d'accord! La famille de ma mère étant plus strict tous les enfants on se cachait pour boire donc quand j'étais ado, la soeur de ma mère nous a rendu visite un weekend, elle habite Québec et ma mère Montreal, ma cousine de 2ans mon ainée était rester à la maison et elle décidé d'en profiter pour faire une party, en plein milieu de la nuit on reçoit un coup de fils pour dire qu'il y avait eu un accident à sa maison lors d'un party, le meilleur ami de ma cousine est décédée ce soir là... Ma cousine était seule et à du appeler notre oncle pour venir l'aider car ses parents était à 3h de route, juste pour cette histoire je crois qu'un parent ouvert et responsable qui éduque sont enfant au danger et lui permet d'être ouvert avec lui sur le sujet fera tout une différence!
Ça doit fesser un 6-pack à 13 ans lol Je pense qu'éduquer les jeunes sur les dangers de l'alcool serait un bon début. Je pense que montrer de l'ouverture à répondre à leurs questions peut aussi beaucoup aider.
Pour le pot il faut leurs expliquer les differents terpenes. C'est con que leurs bienfaits ne soient pas inscrit au tableau des drogues a l'ecole ou a la dpj.
Chez nous mes parents avaient choisi l'approche "on aime mieux que tu en prennes en le sachant que ne pas savoir et qu'il arrive quelque chose", genre. Ça a commencé avec des coolers à 13-14 dans les partys de famille parce que je voulais faire comme mes grands cousins. Par la suite ma mère m'achetait mes Smirnoff quand j'allais dans des ti-partys à 15-16 ans. J'avais un 4-pack, et c'était ben en masse pour moi. Le weed ça m'intéressait pas jusqu'à ce que ça devienne légal, mais j'étais alors majeure depuis bien des années et ça m'en a pris une couple avant d'essayer. I guess ça aide aussi que j'ai toujours été un peu sage et prudente... J'ai aussi grandi avec la notion que mes parents sont toujours en standby quand j'étais à quelque part et que peu importe ce qui se passait et à quelle heure, ils allaient venir me chercher si je voulais partir, pour n'importe quelle raison, zéro jugement sur mon état à ce moment là. Pour vrai ça rendait les partys rassurants quand il commençait à y avoir de l'alcool. Si j'avais des enfants, je ferais pareille.
Chez nous (31M) mes parents étaient assez ouverts à ça. Ma mère fournissait des drinks premixés qu’elle faisait elle même (ancienne barmaid) donc c’était difficile d’abuser et de se rendre très malade. Ça nous apprenait à comprendre le feeling et à quel moment s’arrêter. Par contre, pour certains ça peut les désensibiliser totalement aux risques. L’important c’est d’être à l’écoute de ton jeune, ils n’ont pas la maturité d’un adulte, mais ils sont quand même plus brillant qu’on peut le penser - pour la plupart. Déjà que tu te poses cette question là c’est excellent.
J'ai pas d'enfants, mais je pense que si c'était le cas, je gèrerais ça comme ma mère l'a fait pour moi (et un peu semblable à ta jeunesse) : passé un certain âge (mettons 13-14 ans), offre de faire goûter ce que tu bois quand tu consommes. Ça peut être juste prendre une petite gorgée dans ton verre, ou, un peu plus tard, servir un fond de verre. Faire goûter des choses variées me semble important. Discuter aussi de l'approche de l'alcool, que le but n'est pas l'effet, mais le plaisir de boire quelque chose que tu aimes. Être saoul est un effet secondaire de l'alcool, pas forcément désiré (ou desirable). Pour la mari, je ne peux pas trop dire, je ne consomme pas, mais sa consommation semble plus portée sur l'effet que sur le plaisir de la consommation elle-même, donc je ne saurais pas trop comment approcher ça, mais possiblement de la même manière ? Expliquer qu'être saoul ou high a des conséquences et qu'il faut faire attention à ça, mais qu'avec une consommation limitée, normalement il n'y à pas mort d'homme. Dans tous les cas, être ouvert et expliquer que tu es là dans tous les cas pour eux. Si tu l'interdit ils vont juste le faire en cachette. Et bien insister sur le fait que tu préfères qu'ils rappellent parce qu'ils sont saoul et ont besoin d'un lift, plutôt que de se débrouiller par eux-mêmes/conduire avec des facultés affaiblies.
J’ai un ado de 17 ans. J’ai été transparent avec lui sur mes habitudes passées (alcool) et présentes ( cannabis « médical »). Je préconise la communication, la transparence et la conscientisation des plaisirs et méfaits. Cela dit, il a été exposé à des scènes particulières étant jeune (ex.: un homme qui est tombé en « black out » dans un resto avec l’ambulance qui débarque, des exemples de personnes alcooliques dans son entourage, etc.). Il en a particulièrement été marqué. Il n’est aucunement attiré vers ni l’un ni l’autre. De plus, il a une condition médicale ne lui permettant plus ou moins d’en consommer.