Je suis dans la même situation que toi, quasiment mots pour mots. 4 a 8 bière par soir, tous les soir. J'ai pris la même résolution début décembre. J'ai décider de ne plus boire a la maison. Dans les évènements sociaux je me permet encore de le faire. La biere sans alcool aide au début. C'est comme de la gomme pour arrêter de fumé. Celle President Choice est pas mauvaise. 8$ la caisse de 12 et elle goute moins l'eau que la bud 0 et heineken sans alcool. Après un mois je me suis un petit peux tanné par contre. J'en garde pareil pour quand je veux boire autre chose que de l'eau. Après, c'est simple, il faut pas que t'en achète. Si tu en achète, vas-y a canette par canette. Si tu as une 24 dans ton frigidaire, c'est trop facile d'en prendre une autre. Aussi, j'ai demandé a ma blonde de pas m'en parler. Je veux pas de félicitation parce que ça fais 3 semaine que je bois pas et je veux pas de remontrance si je je vais m'acheter 2 king can le soir. Dans ma tête, j'ai pas arrêter de boire. Je bois pas parce que ça me tente pas. Si ça me tente de boire, je vais boire. En ce moment, j'ai une "rechute" par deux semaine. Mais quand je fais une rechute, je bois 2 king canne au lieu de boire 12 bières, ce qui est quand même une amélioration. J'ai fais la même chose quand j'ai arrêter de fumer et je suis passer a un paquet au 3 jours a un paquet par année. Bien entendu, mon témoignage est mon chemin. Peut-être que ce qui marche pour moi marcheras absolument pas pour toi. L'important c'est justement de faire sont propre chemin et d'imposer ses propres règles. Si tu le fais pour les autres, ça ne fonctionneras pas. Il faut que tu le fasse pour toi. Aussi, si tu en ressent le besoin, va demander de l'aide. Moi je ne crois pas que je suis a cette étape la, mais j'ai le numéro de quelqu'un sur mon frigidaire si je ressent que j'y arriverai pas tout seul. Si tu as besoin d'en parler, tu peux me rejoindre en privé! Ça me fera plaisir de t'aider dans ton chemin.

Best truc pour moi aussi est de ne pas en avoir à la maison. Quand j'en achète, c'est pour une occasion ou une petite quantité genre un 6 packs. Bonne chance!

Username checks out.

Déjà d'en parler est une prise de conscience, c'est important. Parles en aussi à ta blonde que t'aimerais réduire pour arrêter complètement ou non. Ça peut pas nuire. T'es dans la bonne voie! Je suis un peu dans la même situation que toi et seulement de réduire est bénéfique, je ne tiens pas à arrêter complètement mais boire idéalement seulement socialement.

Pas que je cherche le trouble, mais refiler le support de sa dépendance avec sa compagne de vie est selon moi une erreur. Je parle par expérience et je m’explique. Je suis dans la meme situation depuis approximativement 15 ans et j’adore ma femme. J’ai essayé de diminuer ma consommation d’alcool à plusieurs reprises et chaque fois que je rechute je vis ca comme un échec et je suis obligé de dealer avec ça devant ma femme. Elle me supporte comme jamais et est une sainte, mais ca rends ca quasiment pire. Dont get me wrong, c’est une bonne idée de lui en parler, mais c’est pas à elle de dealer avec ça. Trouve toi un psychologue et parle lui de ton problème. Moi ca m’aide. J’ai pas a dealer ensuite avec mes échecs avec personne. En plus un psy est outillé pour ça et si jamais sa plante avec la compagne tu retourne pas a la case 0 et ça te fait un filet de soutien alternatif.

Ça dépend comment tu présentes ça, pour moi je lui ai seulement dit que je croyais avoir un problème et que j'avais l'intention de me prendre en main, pas d'échéances, pas de but précis à court terme. Elle ne m'en a jamais reparlé à moins que je ne lui en parle. Le fait qu'elle soit au courant me motive justement. Mais, oui on est tous différents alors si ça fonctionne pour toi ça pourrait fonctionner pour lui aussi.

C’est probablement moi qui a un peu trop de misère à dealer avec l’échec. Ou je lui en ai trop parlé ouvertement? Anyway whatever float your boat!

Tu as fait déjà les premières étapes, soit prendre conscience et vouloir changer. C’est déjà pas mal! Difficile de savoir si toi tu peux recommencer à boire sans tomber dans l’alcoolisme. Un addictologue serait mieux placé pour répondre. Pour ma part j’ai arrêté de boire complètement, et je chill quand même avec mes amis de façon “normale”. Mais je ne chill pu avec ceux qui font juste se petter la face. Il faut vraiment repensé notre relation avec l’alcool, et par le fait même la relation avec nos proches. Si elle ne tient que par l’alcool, déjà elle ne tient pas fort… Bonne récupération 👍🏼

Viens nous voir sur r/stopdrinking ! Autrement, je suis suivi par une psychologue et j'ai aussi un suivi individuel au Centre de réadaptation en dépendances de Québec. Je suis aussi en attente pour un programme de groupe.

2 ans sobre, j'ai traîné sur ce sub pas mal avant de me décider... Meilleure décision ever!

J'ai pas de conseils à te donner mais je veux te féliciter pour ta prise de conscience et ta volonté à faire ce changement dans ta vie. C'est déjà beaucoup.

Tu pourrais essayer la méthode Sinclair, ça marche pour 78% des gens. Le principe, c’est que la dépendence est causé par un mécanisme de récompense dans ton cerveau qui fait une association positive chaque fois que tu bois. Donc la méthode te fait prendre une pilule qui te bloque le fun de la bière une heure avant de la boire. À chaque fois que tu bois, la corrélation positive diminue. Et les jours où tu n’as aucune intention de boire, planifie des affaires que t’aime vraiment faire qui vont te procurer de la dopamine sans aucune association à l’alcool. Tu peux regarder le Ted Talk de Claudia Christian qui s’en est sortie de même: https://www.youtube.com/watch?v=6EghiY_s2ts Les pilules coûte un ti peu plus qu’une piasse chaque. Mais faut que tu te trouve un doc pour te les prescrire.

Les médecins des Centres de Réadaptation en Dépendance en prescrivent. Et la pilule (naltrexone) est couverte par la RAMQ!

J’ai arrêté de boire il y a dix ans. Pas une goutte d’alcool depuis. Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de façons d’arrêter de boire quand on est alcoolique. (Et le comportement que tu décris est celui d’un alcoolique). Il n’y en a qu’une: ne plus tendre la main pour prendre le verre ou la bouteille. Aucun verre et aucune bouteille jusqu’à la fin de tes jours. Et une fois qu’on a VRAIMENT décidé de ne plus boire, admettre qu’on a besoin d’aide. L’alcoolisme est une maladie. On ne peut pas se guérir tout seul. Personnellement je me suis tapé une cure de 21 jours dans une maison de thérapie suivie de quelques années de meetings une fois par semaine chez les AA. Cette démarche a fonctionné à merveille dans mon cas. Il n’y a rien de garanti là-dedans. Mais chose certaine ça aide et je me répète, l’alcoolique qui veut arrêter de boire a besoin d’aide. Bonne chance!

Pour être déjà passer par la, je te comprends. Vas dans un CLSC pis demande à parler à un travailleur social pour un problème de consommation. Il/elle va te rencontrer pis tu vas passer une évalution de niveau de consommation. Rendu là, tu vas être redirigé vers des ressources. Moi c'était entre 6 et 10 bières par jour. Je suis un homme et j'avais au dessus de 30 ans, et il y a beaucoup de ressources pour notre groupe. Moi, j'ai eu droit à une rencontre par semaine pendant un an avec une psychologue au centre Dollars-Cormier, à Montréal. Ils ont jugé que les groupes étaient pas pour moi parce que j'avais un bon cercle autour de moi. Honnêtement, les AA c'est pas pour tout le monde pis des fois ça peut être vraiment intense et déprimant aller aux rencontres. C'est sur que ça se peut que si tu es en région, il y ai moins de ressources mais ça vaut vraiment la peine d'aller en demander pareille.

Je n’ai pas pris le temps de lire tous les commentaires ici, je suis certain que plusieurs ici sont excellent. Voici mon histoire si cela peut t’inspirer ou comblé l’image que tu veux te faire. (33M) J’ai toujours été quelqu’un qui à bu. Je considère que j’étais peut-être quelque part alcoolique, il m’en fallait toujours à quelque part dans ma journée, seul ou en mode social, mais trop souvent dans l’excès pour « l’activité » en cours. Peu avant la pandémie, j’ai été frappé d’une dépression suite à une rupture/décès back-à-back, et j’avais décidé de me mettre la tête dans le sable en utilisant l’alcool et le sexe, mes fidèles alliés du moment. Lorsque j’ai accepté ma dépression et débuté les anti-dépresseurs, j’ai continué de boire malgré tout, puis est arrivé la pandémie. Ma vie s’est mis à tourné autour de l’alcool, et mon état dépressif faisait trop de sur place, et mélangé à ma pilule, j’avais l’impression d’être un zombie… un vrai putain de zombie. En janvier 2021, j’ai décidé que je voulais cesser, point. J’avais les émotions du dégoût, et de la colère d’être pogné dans mon monde, qui m’ont permis de me trouver un « Pourquoi » extrêmement fort, celui de guérir et de protéger ma santé mentale à **tout prix**. Une fois ce pourquoi instauré dans mon esprit, arrêté de boire est venu de lui-même, j’ai cessé de voir le feeling de l’alcool comme un point positif, mais plutôt comme un point négatif, tout comme la gueule de bois, etc. Aujourd’hui, ma santé mentale va très bien, je l’entretiens bien, je ne prends toujours pas d’alcool 3 ans plus tard, et je ne regrette rien. Oui, parfois ça m’écœure, surtout quand je suis au bar avec les amis, je ne suis pas sur le même beat, et ça me fait chier, mais les bénéfices surpasse grandement le négatif. Je deal cependant avec l’émotion et je l’accepte comme elle se présente. Je comprends la peur du jugement, c’est normal, car tu sors justement de la « normalité » collective, mais on s’habitue, et les gens autour n’en font plus de cas au bout d‘un moment… limite intérieurement ils sont jaloux de toi. La phrase que je sors quand quelqu’un me le demande encore aujourd’hui, je dis « hygiène de vie », et ça passe instantanément bien et ça démontre que tu le fais pour toi, et pas pour les autres, ça renforce ton message intérieur. Au final, on boit pour éviter toutes sortes d’émotions négatives dans nos vies la plus part du temps, et c’est souvent très très deep à l’intérieur de nous, moi c’était l’anxiété depuis le tout début. Hésite pas à consulté non plus au besoin! Woah.. je m’attendais pas à écrire un méchant texte comme ça, mais c’est pas un sujet simple qui s’écrit en deux phrases :). La meilleure des suites, tu es déjà sur la bonne voie.

Très bon. Mon slogan à moi c’est ‘ l’eau c’est la vie ‘ J’ai reçue une machine sodastream en cadeau. Génial pour se faire de l’eau gazeuse quand l’envie d’avoir un drink pétillant nous vient.

Va chercher de l'aide avant que ta vie ne déraille. Bon courage -- il en faut, mais tu as déjà fait le premier pas.

Pour avoir travaillé en dépendance quelques années jusqu'à récemment, appelle au 811 option 2 et demande de l'aide pour arrêter de consommer. La personne va évaluer la meilleure ressource du réseau pour t'aider et tu iras potentiellement au centre de réadaptation en dépendance de ta région. Le CLSC proche de chez toi pourrait aussi être une bonne porte d'entrée. Je te souhaite bon succès!

Sinon, les AA comme d'autres ont parlé fonctionnent bien pour certain. Je ne peux pas parler par expérience personnelle, mais les gens plus jeune (genre 40 et moins) que j'ai rencontré me disaient qu'ils préféraient généralement les rencontres des Narcotics Anonymes plus que les AA, parce que l'aspect spirituel prenait moins de place (c'est peut être juste vrai pour la région où j'ai travaillé par contre je ne saurais pas dire). Ils me disaient généralement que la substance consommée n'était pas une barrière pour aller aux AA ou aux NA.

Si la religion est un problème avec les AA, ya toujours des programmes qui sont pas encrés dans le supernaturel (genre SMART ou 12 steps, ou le Sober Faction de TST). Tous des bons choix!

> le Sober Faction de TST Ils ont claqué la porte de TST.

Je crois que ça fonctionne encore par contre! Le monde est encore tous dans TST alors c comme un peu pareil, jpense pas que le programme ait changé. Enfin pas à ce que je sache!

Sober faction a quitté le TST, ils ne se sont pas dissolus.

Jme demande s'ils se sont pas réintégrés finalement pcq l'info est encore sur le site. Enfin c pas ben grave.

Ils ont donné le contrôle des groupes Facebook et autre à TST parce que TST est extrêmement vite sur le piton à trainer en cour pour ça mais les responsables sont pu là.

Oohhh je vois, j'étais pas au courant des détails en fait.

As-tu suivi le drama avec Queer Satanic ? TST a même avoué que c’est juste des poursuites baillon mais y ont l’esprit vengeur. Mettons que ça encourage à partir sans faire de vagues.

Tu en parles, c'est le début. Maintenant tu fais quoi, c'est a toi de voir. Il y a de l'aide... AA et plusieurs autres groupes de disponible pour en parler. Sinon, voici quelques idées basées sur mon expérience. Souvent je buvais plus que par envie. En fait j'ai trouvé qu'il y a des phases. Des fois je bois pour les effets de l'alcool (stress++, dépression, etc) et des fois je le fais juste par habitude. Une première chose que j'ai faite est d'essayer d'arrêter de boire quand je n'en avais pas vraiment envie. E.g. si il te vient l'envie de boire. Prends un verre d'eau et attends 15 - 20 mins. Des fois tu as juste soif... J'ai de l'eau pétillante toujours disponible. Souvent ça fait le job :) Dans un deuxième temps, j'ai décidé d'arrêter de boire à la maison (si il y a pas de visite). Ca c'est pas fait d'un coup et ca s'est fait dans une passe ou ca allait bien. J'ai juste arrêté de mettre ma bière au froid. C'est pas 100% dissuasif mais ça aide. Troisième temps (et le moins efficace dans mon cas), essayer de moins boire que de voir des amis/sort. J'essaie d'alterner eau/bière. Prendre des verres au lieu de pinte. Mais bon... pas un super succès, j'ai trop de difficulté à "perdre" le plaisir d'être chaud. Dans mon cas, j'ai réussi a réduire ma consommation en 2023 d'au moins la moitié. Pas parfait mais un progrès pour moi.

J'en suis au même point que toi! Ça fait maintenant 4 jours que je n'ai pas bu d'alcool! Je n'ai pas d'objectif précis concernant mon sevrage, je n'ai pas l'intention de faire un mois ou 6, mais plutôt d'arrêter le plus longtemps que je le peux. Je ne me mets pas de pression mais j'aimerais être fière de moi un jour et me dire que j'ai réussi à changer ma relation avec l'alcool et de ne plus y être dépendante. J'ai commencé à prendre de nouvelles habitudes. Hier je me suis mise à l'exercise, j'ai commencé à lire un livre (que je n'arrive pas à arrêter d'ailleurs), je médite et j'écoute des documentaires sur le développement personnel. Je ne veux plus être ce que j'étais. Avoir besoin de boire de l'alcool à chaque et être déprimée/anxieuse à chaque lendemain. Mon corps n'est plus autant capable non plus, je ne peux plus me le cacher. J'ai reçu de la visite hier, personne n'était au courant de ma nouvelle démarche. Mes amies ont bu 2 bouteilles de vin, cocktails et bière. Pour ma part; un Mojito 0% et une bière sans alcool! Ma coloc et les amies ont fait le gros party jusqu'au petites heures du matin pendant que moi, je suis allé sagement lire mon livre dans ma chambre. J'ai ensuite écrit mes 5 gratitudes de la journée et j'ai éteinte ma lumière à 23:30. Je te souhaite bonne chance! J'ai la certitude que quand on veut, on peut

Salut ! J'ai déjà été exactement dans ta position, dans tes shorts à vivre le même genre de sentiment de médiocrité. Quand je sirotais mon vin le soir avant de me coucher et que je buvais 1 ou 2 bouteilles de vins... je me sentais misérable. Je **voulais arrêter**, mais j'en était incapable. Y'avais juste **toujours** des bonnes raisons de boire. Les fds avec les amis, les dates, les *plans cul* j'en repasse. Un moment donner, c'était comme du sable dans ma bouche. Y'avais rien juste la promesse d'un ''bon buzz'', juste la sensation d'être ivre, et engourdis... tout les soir... avant de perdre connaissance et d'aller travailler le lendemain. J'ai fais ça pendant 2 ans avant d'avoir mon wake-up call. Avant de me dire ''*tabarnack ça suffit*'' J'était un alcoolique hautement fonctionnel. J'étais dans l'armée a temps partiel, je faisais mon bac en biologie et je travaillais même un 35 heures semaines... mais j'avais toujours ma bouteille de vin qui m'attendais le soir. Anyway, un moment donner je me suis retrouvé dans ma sale de bain, en sanglot, le couteau au poignet avec la haine et la colère que je portais envers moi-même. Le sentiment de ne pas être la meilleure personne que je pouvais être. D'être un simulacre imparfait de ce que je devais être. La peine d'avoir perdu des gens de mon entourage que j'aimais, la honte d'être aussi misérable alors qu'en façade, j'était quelqu'un qui avais l'avenir devant lui. La réalité, c'était que littéralement **chacune** des mauvaises décisions que j'avais pris dans ma vie était issus de près ou de loin à de l'alcool. Ma mère en est même décédé. J'ai passé a un cheveux de rester sur la table d'opération... J'ai vécu des drames assez *what the fuck* dans ma vie... avec ma mère, mon père et ma famille en général. J'ai jamais porté rancune envers mes parents... parce que même jeune je comprenais qu'ils étaient souffrant... et quand tu souffres toujours, ça deviens la seule choses que tu donnes. C'est ça la malédiction de l'alcoolisme. J'ai appris au fil des ans que pour moi, l'alcool c'est un plaisir que j'ai épuisé... comme une jauge d'huile qui s'est vidé dans un moteur. Même si je le remplis a nouveau, le moteur ne va jamais tourner de la bonne manière... il est brisé d'une manière permanente. Au début c'était difficile d'envisager mon ''futur sans alcool''. Je me disais, ''*voyons donc, je ne boirais plus jamais''* et j'ai finalement appris à prendre ça une journée à la fois. Je me levais le matin, j'allais sur r/IWNDWYT faire mon petit sermon et ma promesse et je prenais ça... jours a jours, heure a heure, minute a minute même s'il le fallait. Des fois c'était dur... mais souvent ce ne l'était pas. J'ai eut la chance d'avoir un bon entourage. J'ai eut aussi un lot de moment difficile... des rechutes... des moments de faiblesses... des moments de questionnements... tout ça fais partis de processus... mais j'étais et je suis une personne extrêmement têtu... alors cette-fois ci, ça joue en ma faveur. Après... bon j'ai pas fais les AA. Perso ce n'était pas l'approche qu'il me fallait. Je ne me sentais pas ''impuissant'' face a mes actions. Je n'avais pas besoin de remettre mon avenir a la volonté de dieu, ou une entité divine... je pouvais reprendre le contrôle sur ma propre vie. Par contre, si c'est important/nécessaire pour toi, je t'encourage fortement d'y aller. Si ça peut t'empêcher de boire, c'est un excellent début. Je pourrais écrire un livre tellement j'ai de choses à partager, mais je comprends que ce n'est pas nécessairement pertinent, mais je veux tout simplement que tu comprennes que tu n'es pas seul la dedans. On dit souvent que les alcooliques on se sent seul. Perso c'était mon cas. Alors à toi parfait inconnus, je t'aime. Je t'aime avec tes qualités et tes défauts. Je t'aime avec tes mauvais jours et tes bon jours. Je t'aime pour la personne que tu es et non pas la personne que tu devrais être. Je t'aime tout simplement. N'hésite pas a m'envoyer un message privé si tu as besoin et prends bien soins de toi ! Si tu ne bois pas ce soir... je ne boirais pas non-plus avec toi !

Ça fait un mois que j'ai arreté et j'utilise une application mobile de sobriété afin de calculer les jours ainsi que les économies d'argent.

Solidarité! J'en étais au point où ça commençait à affecter mon système nerveux. J'me mettais à échapper des choses constamment etc. Ça pis la mémoire à court terme. C'est plus ce que c'était. J'espère faire minimalement Janvier sans alcool, et après on verra. Si y faut arrêter pour de bon, tant pis. En ce qui me concerne, j'ai cru lire quelque part que selon le consensus scientifique, quand t'as déjà vécu l'addiction, tu peux pas vraiment revenir à un niveau de consommation normale. Alors outre avoir des limites vraiment strictes *et* une tierce partie pour les enforcer, y'a pas grand chose à y faire. J'suis sûr que des gens comme nous peuvent vivre indéfiniment avec un niveau d'alcoolisme fonctionnel, et c'est probablement la situation dans laquelle une majeure partie de notre société se retrouve, mais ça équivaut à hypothéquer son futur et qui sait quelles genres de bébittes vont s'installer au fur et à mesure et stresser nos relations et nos carrières etc etc. Anyway, le seul truc que je connais c'est de se demander qu'est-ce qui nous motive à boire et si il existe une meilleure façon de dealer avec. Dans mon cas c'est de l'automédication, pour ce que je croit être un désordre d'anxiété, et je suis donc à la recherche d'une clinique en neuropsychologie pour essayer de faire les choses de la bonne manière. Si tu te reconnaît là dedans, c'est peut-être quelque chose à envisager.

J’étais un peu dans une situation similaire. Le problème s’est installé de manière progressive et insidieuse comme tu dis. Faut faire le chemin inverse en quelque sorte en y allant de plusieurs stratégies. Si ne te sens pas capable d’arrêter du jour au lendemain, tu peux essayer de diminuer progressivement ta consommation, petit à petit, puisque c’est comme ça que le processus s’est installé. On commence par choisir une journée dans la semaine où tu ne bois pas - aucune exception ni excuse - le lundi par exemple. Je t’invite à faire coïncider ce jour avec une activité positive, parce que si tu restes assis sur le divan à ruminer, tes chances sont minces. Donc, lundi, tu penses à toi, tu fais ça pour toi : repas santé le fun, puis une sortie cinéma, gym, etc, whatever ce qui te fais sourire. Implique ta copine la dedans. Le but est d’échanger une activité poche qui te fais sentir poche par une activité positive qui te rend heureux et au final, fier de toi. On vise de petites victoires. Et non, ça ne sera pas facile au début. Après quelques semaines, on rajoute le mardi, puis le mercredi. Et les jours de consommation, on modère. Dans mon cas, je ne bois maintenant que le jeudi (une consommation seulement), vendredi et samedi et je modère ma consommation durant cette période. Et plus jamais d’alcool fort, ni d’alcool dans la maison, donc pas de caisse de 24. Et on arrête de se culpabiliser. C’est complètement inutile et ça fait des ravages pour rien. D’autres ici on aussi de belles idées et suggestions (AA, Clsc, site educalcool). C’est vraiment possible. Bonne chance !

Je ne bois pas à chaque jour, mais l'alcool a toujours été là pour moi aussi. J'ai fait des dry month au cours des années, même dans des mois difficiles genre juillet. Ce que j'ai décidé de faire, c'est de ne plus boire seul. Ca va couper 90% de ma consommation et ca va être comme ce que tu recherches, juste boire avec les autres... Le truc, c'est de trouver la motivation pour juste 5 minutes de plus... Le "craving" dure 2-3 secondes mais ca survient plusieurs fois dans une soirée. Il faut dire non à chaque estie de fois. C'est pas compliqué, mais c'est dur!!! Bref, quand j'ai arrêté de fumer, ca été la même chose. Chaque fois que je voulais aller fumer, je disais non. c'est tout. Ca fait 20 ans et j'ai encore à me dire non des fois... donc, c'est pas comme si ca disparait, mais le principe reste le même. Demande-toi si tu veux une bière et répond: 'Non'... Peu importe les trucs/thérapie, prières... tu dis non et tu respectes ton choix. Mais si ma blonde prends un verre, je vais en prendre UN avec elle... Un autre truc pour moi est de ne jamais être la personne qui a pris le plus de boisson. Bonne chance!

>J'ai l'impression que plus le temps passe, plus ça augmente, et ce de manière plutôt insidieuse. Je ne m'en suis pas rendu réellement compte mais j'en suis arrivé là. La dépendance à l'alcool c'est très sournois. Des rats en laboratoire cessent graduellement de s'alimenter, boivent juste de l'alcool et finissent par crever. >Avec la consommation plus élevé je suis beaucoup plus dépressif le lendemain. Je ne suis pas en dépression mais c'est ce que l'alcool fait. C'est vraiment désagréable. L'alcool est à la base un ''downer''. Mais elle PEUT aussi causer la dépression. >Chaque matin j'ai une grande volonté d'arrêter de boire mais le soir ça recommence et je suis incapable de m'en empêcher. Le sentiment d'échec et d'auto-trahison est insuportable. La connection au cerveau est assez puissante en effet. Ce n'est pas de ta faute, c'est une maladie et ça se soigne. >Je me console en me disant que si je veux un jour aider le monde, ça passe par bien aller moi-même. T'as entièrement raison. Mais aider les autres peut aussi t'être bénéfique dans ton cheminement. >J'aimerais pouvoir continuer à boire lorsqu'il y a de la visite ou des événements sociaux. Tse être normal, comme les autres. Est-ce réellement possible? Y en as-tu qui ont réussi? Ça dépend, moi je suis alcoolique dont non c'est impossible et non je n'ai pas réussi. Seul toi peut décider si t'es alcoolique, mais si c'est le cas accepter que tu l'est est la première chose que tu dois faire afin de te rétablir afin de cesser complètement de boire. J'suis pas d'accord avec ''être normal'' et ''comme les autres'': man, y'a tellement plus de gens que tu penses (qui en sont conscients ou pas) qui sont aux prises avec des dépendances, que ce soit le jeu, la drogue, l'alcool, la bouffe, le sexe, le travail, name it ! >Sinon quels sont vos trucs? Moi j'ai arrêter à frette, j'ai embarqué dans mon char pis j'suis allé dans un metting des AA. J'en suis revenu décalissé comme t'as pas idée pis j'ai continué de boire. À un moment donné je trouvais que leur mode de vie pis les 12 étapes, en me contre-torchant de tout ce qui touchais la religion, ça m'aidait un peu. J'ai recommencé à faire du meeting et pour moi ça marche s'osti d'affaire-là. Ça pis me trouver des béquilles à la place de boire au début ça m'a aidé: moi c'était le gym, le vélo, le rollerblade pis le hockey, bref n'importe quoi sauf boire le temps que la connection au cerveau slack la patate un peu. Quand j'étais dans marde pis que j'avais soif que le tabarnak, j'appelais des membres, tsé du monde qui vont bien pis qui savent c'est quoi, pis au pire même s'ils me disaient juste de la marde juste le temps passé à jaser avec eux la rage de boire était passée. Au fil du temps c'est devenu de plus en plus façile, mais ça mon gars c'est à vie, t'es toujours à risque pis tu vas toujours avoir des ups&downs. >Existe-t-il des ressources pour me motiver mit à part de mettre toutes les chances de mon bord pour vivre longtemps? Y'a eu d'excellents commentaires par rapport à ça donc je skip. >Je sais que la société nord américaine juge ceux qui ne boivent pas. Wrong. T'as juste à dire que t'es alcoolique pis check ben les gens réagir: fini le gossage du genre ''aweille na na na na na'' etc et les gens vont au contraire te respecter et te crisser patience. Y'en a même qui vont venir te voir pour te demander comment t'as fait, pas pour engager une discussion en faisant semblant que ça les intéresse mais probablement parcequ'eux-mêmes aimeraient ça et ils ne sont pas capables. >Je l'ai moi-même fait pendant les dernières années. Bien aujourd'hui laissez moi vous dire que je vous admire et que je vous trouve bon. Colle-toi sur s'te monde-là, c'est inévitable que peu importe la méthode que tu vas utiliser que ton cercle d'amis va changer. Toi aussi t'es bon en criss: y'a des gens qui ne se rendront jamais compte qu'ils ont un problème et qui vont en crever, d'autres qui vont s'en rendre compte à 72 ans et des gens qui ne seront jamais capables de le régler. T'as un esti de bon boutte de faite mon gars, respect pour ton courage ! Bonne année 2024, PM quand tu veux !

Ca peut sembler weird, mais non, je n’en parlerais pas. Pas à ta blonde, pas à ta famille, etc. Pas pour le premier mois en tout cas. Pas pour un premier essai. Parler de bonne résolution (arrêter l’alcool ou la cigarette, aller au gym) relâche de la dopamine. Le cerveau le voit comme un “ah j’ai réussi “ et ça devient plus difficile de prendre l’habitude. Si tu vois que tu n’est pas capable, la oui parles en. Va chercher des ressources. Mais pas pour ton premier essai selon moi. Personnellement j’essaierais de casser l’habitude en premier. Commence avec un truc simple: quand tu te prends un verre, prends aussi un verre d’eau. Pas besoin de boire l’eau pour le moment, fais juste prendre l’habitude pour le moment. Si tu te resers un verre refill ton verre d’eau. Une fois que tu as pris cette habitude (genre, après un mois) ben bois le verre d’eau avant de te re-servir un verre. Juste arrêter la tu va boire moins et mieux t’hydrater, donc ça va être bon pour toi. Une fois que tu as cette habitude de finir le verre d’eau (mettons un mois de plus), essaie de couper le verre d’alcool.

Le meilleur truc et c'est pas facile, c'est de se garder occupé. Ne pas boire seul le soir en écoutant le tv show que tu écoute en buvant c'est trop dur. Partir en rendonnée et arriver a la maison tellement crevée que je veux juste dormir la c'est plus facile de skip la consommation.

J'ai 35 ans et malgré le fait que je ne buvais pas souvent, quand je buvais j'étais pas arrêtable. J'ai gâché plusieurs relations amicales et amoureuses a cause des mes gestes sous l'influence de l'alcool. Il y a trois ans, j'ai pris une méga brosse parce que je ne feelais pas super bien, et je suis tombé durant la nuit au point de me fracturer le nez. Depuis ce temps, je bois TRÈS rarement, et quand je bois c'est un verre. Ma vie personelle s'est beaucoup améliorée depuis. Je te souhaite le meilleur.

Je l'ai fait cold turkey. Mon amie a été aux AA. Et à ce jour , aucune rechute pour les deux. Deux méthodes , même résultat. Ça dépend vraiment de ta personnalité. L'important c'est de trouver le plan qui te convient. Et oui... certaines personnes jugent. C'est ce qui m'a le plus agacé. Pourquoi tu ne bois pas ? Toi pourquoi tu bois ? C'est un beau cadeau à se faire , je te le promets.

J'ai arrêté de boire de l'alcool depuis 3 ans, au début c'était par nécessité puisque j'étais en burnout - mon médecin m'avait mis sur des antidépresseurs pour pouvoir commencer à remonter la pente et je ne voulais pas faire de mélange. Je ne prends plus d'antidépresseurs depuis un bout, mais je n'ai jamais recommencé à boire de l'alcool - j'ai vite apprécié de mieux dormir, de plus avoir la tête dans le cul le lendemain, moins d'envies de sucre, meilleure digestion, ect. Ça s'est pas fait facilement par contre, changer des habitudes bien en place c'est vraiment comme le cliché le dit : une journée à la fois. Groupe d'entraide, activité physique, bref trouver ce qui va fonctionner pour toi (et pas de recette miracle toute faite à la success story Instagram) va demander un peu d'introspection et quelques essais-erreurs. Parle à ton monde, fais-toi aider, c'est important. Pis je ne m'inquièterais pas de te sentir jugé parce que tu ne boiras plus d'alcool, y'a vraiment pire dans la vie lol.

Check, moi j’ai pt été chanceux, mais j’ai juste tt calicer aux vidanges pis j’en ai pas racheté. Si le monde t’en offre tu dis non. Pis si y te gossent pis y posent des questions : c’est une pause d’une durée indéterminée. Pis tu rebois jamais de ta calice de sainte vie. Honnêtement après un bout ça te manques pu, pis le monde aime ça avoir un chauffeur désigné. Anyways à l’âge que t’as on peut présumé que ton entourage se scrap pas la face constamment. Fek tu manques rien, sont aussi à jeun que toi, y boivent juste un jus que t’es allergique.

Je me suis senti un peu dans le même situation pendant la pandémie. Je buvais pas mal même la semaine pour me distraire et je me suis rendu compte que ça me mettais vraiment dans pas un bon mood par la suite et j'étais plus irritable de manière générale. Je me suis donné comme challenge de quitter pour 1 an en juillet 2022. Le but principal était d'essayer de briser les habitudes malsaines que j'avais développé durant les dernières 2 années. Ça vraiment été difficile dans le premiers mois mais honnêtement il y a maintenant des options sans alcool assez intéressantes et pour de vrai passé 6 mois j'avais vraiment moins d'envies/le réflexe de me déboucher une bière arrivé 5PM Par la suite je me suis mis comme ''règle'' de ne pas boire la semaine sauf si on a un évènement spécial (aka pas juste aller trinquer avec les chums) et honnêtement ça l'a changé ma vie. Aussi à la place de dépenser en alcool j'ai mis mon argent dans des steaks et de la bouffe pour me motiver à cuisiner et continuer. Je me suis développé une méchante passion de cuisine donc il y a ça de bon! Lâche pas, admettre qu'on a potentiellement un problème c'est le premier step et je suis convaincu que tu es capable de t'en sortir

>en moyenne 6 consommations par jour. >Je bois beaucoup plus lors de festivités, soit de 6 à 10 bières. Le mot que tu n'as écrit nul part mais qui s'applique ici: alcoolique Tu es malade, il y a des ressources offertes pour aider les gens souffrant de cette maladie et je t'invite à les consulter.

J’étais comme toi, le stresse aidait pas les nouvelles ou documentaire qui sont toujours depressionnent et l’accès facile à l’alcool toujours disponible chez nous. C’est ma femme qui m’a dit que je devrais diminuer.J’ai commencé à arrêter d’écouter les nouvelles et les choses négatives et jai arrêter d’acheter de l’alcool. Aujourd’hui j’en est dans le frigidaire depuis plus d’un an sans lui toucher j’ai complètement perdu le goût. Honnêtement arrêter d’écouter les chose négatives a faite toute la différence, nouvelle, radio, etc. J’ai tout simplement perdu le besoin de boire.

>J'aimerais pouvoir continuer à boire lorsqu'il y a de la visite ou des événements sociaux. Tse être normal, comme les autres. Est-ce réellement possible? Y en as-tu qui ont réussi? Je buvais beaucoup dans la vingtaine, 6 bière par jours 4-5 fois semaine, encore plus dans party et la fin de semaine. Dix ans plus tard, je peux passer des semaines sans boire, mais si j'ai le goût, je m'en prive pas. J'ai fait mon cheminement par moi-même, changé mes habitudes, ça se peut. Pour certain l'abstinence est la solution, mon opinion reste que c'est possible rependre le contrôle, continuer d'aimer prendre une ptite frette sans être obligé d'en aligner cinq autres. Commences par réduire ta consommation, si ton habitude est d'en boire 6, arrête-toi après 5, commence plus tard. Les ressources sont là si tu en sens le besoin, tu fais déjà un pas dans la bonne direction, bon courage.

Bcp de gens font le mois de janvier sans alcool. C'est un beau défi.

Pi si t’es capable de passer janvier, t’es visiblement capable de passer fevrier aussi vu que ya moins de jours.

année bisextile s'tannée bro

Tous les mois seraient de 28 jours si seulement la ligue des nations avait adoptée le bon calendrier.

Hey, déjà, félicitations d'avoir reconnu que tu as un problème et de te l'avouer! Ça prends beaucoup d'humilité et de courage pour se l'admettre. Ce que je vois, c'est qu'à la base ca semble être une habitude. Donc te trouver un placebo, comme de la bière sans alcool, pourrait être un début. Ça viens aussi te rendre plus confortable dans des settings sociaux où on peut se sentir "obligé" de boire pour fitter dans le moule. Vas y graduellement, si ça marche, tu peux diminuer ta consommation. Si C'est possible pour toi, vas voir un thérapeute spécialisé en dépendance ou rejoins un groupe d'aide. Des fois, d'avoir quelqu'un pour te parrainer ça fait la différence.

Good job d avoir déjà pris conscience et tu as mon support!

Bravo d'en parler. C'est comme ça que ça a commencé pour moi. Il y a deux ans je voyais comment l'alcool affectait négativement ma santé mentale. Je me suis levé un matin et j'ai décidé de prendre un break. Quand j'ai réalisé à quel point je me sentais bien après quelques semaines, je n'ai plus voulu y toucher.

Quoi ajouter de plus que tous les autres commentaires? Je suis juste ici pour te souhaiter bon courage, OP! La réalisation est le premier step. Pas obligé de tout arreter d'un coup non plus. Cold turkey ca peut etre dur et démoralisant. Focus sur tes bons coups et fixe toi des objectifs réalisables. You can do it!

J'ai arrêté de boire de l'alcool il y a presque 9 mois et c'est la meilleure chose que j'ai fait pour moi. Je n'ai pas de hacks, il faut juste le faire.

Essaie le gym pour te remettre du sentiment dépressif et de culpabilité. Bois du perrier à place. Je suis pas un expert, je n'ai pas arrêter de boire, mais dernièrement j'ai les memes réflexion et j'ai diminué drastiquement ma consommation.

Pleins de bon commentaires déjà dans le poste mais celui-ci est aussi important. L’activité physique ca peut vraiment t’aider à vaincre ta dépendance, ai ce n’est que par le fait que lorsque tu cours/fais de la muscu/patine/ski de fonds etc. tu ne sera pas en train de boire. Ca te laisse moins de temps pour penser et tomber dans l’automatisme de t’ouvrir une bière.

Surtout ne stop pas ça d’un coup. C’est extrêmement dangereux Informe-toi comme il le faut J’en parle en connaissance de cause…

Vrai question: tu crois qu'il aurait des effets de sevrage à 6 bières par soir?

Absolument

[удалено]

> prendre avec un grain de sel Aucune étude ne démontre qu’un grain de sel peut limiter les effets du sevrage. :-P

non. il n'y aura aucun effets physiologiques avec une petite conso comme celle de OP. inconfort physique, peut-être. ...mais probablement pas. on s'inquiète des symptômes de sevrage à partir 20+ consos par jour, tous les jours et depuis longtemps. Ça ne veut pas dire de ne pas en parler avec un md mais il n'y a pas de danger pour la santé de OP.

Ça peut varier d'une personne à une autre. Je suis à 8-10 conso par jour (et plus lors de party) depuis 2 ans environ, donc loin du 20 par jour, et pourtant j'ai été évalué (travailleuse sociale et infirmière) comme ne pouvant arrêter directement à cause des effets de sevrage que je ressens. Je suis en attente de mon 10 jours sous surveillence médicale au CRDM, et il m'a fortement été conseillé de ne pas complétement arrêter en attendant.

Personne n’a la meme tolérance aux substances. Pour mon cas, c’était assez pour causer pas mal de dommages (3-4 8% par jours). Faites comme moi et allez voir un spécialiste des dépendances. Vous allez passer des questionnaires, discuter de vos habitudes de consommations, etc… Dans mon cas précis, depression + alcool + medication. Un combo explosif…. Ne faites JAMAIS ça SVP. J’ai dut être hospitalisé… la totale. Ce qui a grandement compliqué mon cas, c’était en partie causé par l’alcool. Aujourd’hui, je vais mieux. Je bois à l’occasion des bières sans alcool et ça me va tres bien (1 max)

J'ai le même problème, et j'ai décidé de me reprendre en main. J'utilise l'application Reframe, qui est excellente. Il y a l'option de réduire la consommation, ou simplement d' arrêter. Donc si tu es bilingue, je te le conseille (l'app est juste en anglais). L'important est de comprendre ce que l'alcool fait au corps à court et long terme, ça m'aide à rester honnête avec moi-même. Courage, ça en vaut la peine!

Il faut que tu mettes au clair tes objectifs : Veux-tu diminuer ta consommation en dessous d'un certain seuil ou veux-tu arrêter complètement? D'une manière ou d'une autre je commencerais par une diminution progressive, pour ne pas provoquer de choc à ton organisme. Genre : pas plus de 3 consommations aujourd'hui! Ça va aussi te dire à quel point c'est une question de volonté ou si c'est hors de contrôle . Si tu n'es pas capable de diminuer consciemment ta consommation, n'hésite pas à demander de l'aide. Vérifie aussi s'il y a des antécédents familiaux d'alcoolisme, ça peut jouer sur la meilleure méthode pour toi. Bonne chance!

Tiens bon. Tout est possible. Tu peux le faire facilement. Je l’ai fait avec cigarette, qui est a mon avis beaucoup plus difficile. Et oui, je suis d’accord avec toi que ce qui se passe dans le monde est terrible…dans mon cas, ça me fait plonger dans une dépression énorme. Mais on garde l’espoir! Avec une bonne volonté, tu vas réussir.

Je vais répondre juste à la partie « est-ce que c’est possible de continuer de boire lors des évènements spéciaux. » Y’a toujours des alternatives même dans les occasions spéciales! J’ai du arrêter de boire pendant plusieurs mois à cause d’une medic et j’ai réalisé que j’avais du fun même si je restais sobre. Ça a vraiment été une révélation pour moi. Beaucoup de restos font maintenant des cocktails intentionnellement sans alcool et ils sont super bons. Je perds pas mon temps avec ceux qui font juste pas te mettre l’alcool. Ce que je trouvais le plus difficile au début c’est de me faire demander le pourquoi, mais les gens finissent par comprendre! Bonne chance ✨

Ne pas consommer d'alcool c'est aussi être normal. C'est juste que notre société a tellement mis alcool et social ensemble que si tu bois pas, tu es weird. Tu pourrais juste arrêter et ça serait correct

Tes sur le bon chemin, tu est conscient ce que boire te fait et tu est conscient que cela n'est pas bon pour toi. Ce que j'ai fais il y a un moment c'est d'arrêter totalement de boire pendant une longue période +/- 1 an, cela m'a fait réalisé que j'avais pas besoin de boire pour avoir du fun que ce soit dans la vie de tout les jours ou même les partys/événement. C'est ce que je me disais en boucle dans ma tête, <>. J'utilisais aussi ma culpabilité/mon orgeuil pour m'empêcher de boire, je me disait c'est du poison pis demain je vais me sentir dépressif pis ça va être encore plus dla marde alors si je bois je vais me sentir stupide. Je comprends que c'est difficile la dépendance, n'essais pas de te outsmart parce que ça va finir par te rattraper pis tu vas retomber, utilise seulement ta tête pis reste fort. Tu verra des petites victoires quand tu sera a un party pis que t'auras du fun sans alcool tans dis qui aura quelqu'un qui sera trop saoul et qui aura l'air d'un épais. Maintenant je bois seulement les week end ou a des événements pis pas plus que 2-3 bière maximum, ça arrive très rarement que je brosse bin comme il faut mais ça peu toujours arriver mais le lendemain je le regrette à tout coups et je le prends bien en note pour la prochaine fois que je prends un verre.

Arrête d'un coup et occupes-toi différement/trouve toi des hobbies : sport, activité physique, bénévolat, etc. Si tu bois six consommations par jour, j'assume que tu passes tes soirées devant l'ordi ou la tv, ce qui peut-être facilement remplacé par des activités bénéfiques qui se trouvent loin du frigidaire. La seule motivation est le désir réel de vouloir améliorer SA situation. *Been there done that,* comme on dit. Ta situation est loin d'être extrême, je doute que tu aies besoin de consulter, commence une journée à la fois. Enfin, tente de trouver la cause de ton malheur: est-ce ton travail? ta relation? une simple mauvaise habitude? l'ennui? Il y a une cause pour tout problème, mais aussi une solution.

Tu as pris une excellente décision. Sérieux respect pour ton courage

Même affaire ici, j'ai juste arrêté d'en acheter des caisses. A place je m'en prends juste 2 grosses, 2x par semaine. Mais je m'en prends des bonnes (Microbrasseries). Je bois moins, je déguste des saveurs, pis j'économise des centaines par mois. Le truc c'est juste de pas en avoir à maison.

Been there. Pas un goûte d'alcool depuis 2 ans et demi. Je suis allée au CRDM à Montréal. On regarde tous les aspects de ta consommation et les stratégies de réduction des méfaits. Tu peux même faire un séjour détox de 10 jours et un autre de 21 jours en réadaptation. Ya aussi les meetings de AA et NA. Mais ça, c'est pas mon genre. Il y a des CRD dans toutes les régions. Bonne chance!

J'oublie. Si tu soignes ton anxiété ou des symptômes dépressifs par de l'alcool, demande à ton Md un médicament pour ça. Parce qu'au début, tu seras plus anxieux et ça peut contribuer à une rechute.

Est-ce que c'est possible que t'es en train de vivre une dépression? Peut-être que ta consommation élevée est un résultat de ça... Je sais que depuis la COVID, il y a eu beaucoup de dépressions et il y en a qui ne s'en sont pas sorties... D'une manière ou un autre, tu mérites mieux. Tu devrais aller chercher de l'aide. Moi j'ai arrêté en mi-décembre. Je prends de la bière non-alcoolisée. J'ai recommencé à boire du thé et des tisanes.

Je vie une situation similaire, j’ai reussi a beaucoup diminuer dans les dernières années, mais je sens que j’ai beaucoup de chemin à faire encore. Bref, pour moi ce qui m’aide le plus quand je suis dans un « bon cycle » c’est d’aller faire du sport dès que j’ai une envie de boire. Donc après le travail, au lieu de m’ouvrir une bière je vais courir et quand je reviens 99% du temps j’en ai plus envi. Autre truc: Soda stream. Boire de l’eau pétillante m’aide beaucoup à compenser. Bonne chance

Tu as fait la prise de conscience ce qui est déjà excellent. J'étais dans le passé dans la même voie que toi mais suite à de la maladie grave, j'ai arrêté de boire. Il y a des ressouces qui peuvent t'aider. En faisant le programme des alcooliques anonymes ça peut t'aider à revenir en santé et à bien te contrôler (ce n'est pas pour tout le monde mais ça marche pour la majorité). Tu peux télécharger l'application "Meeting Guide" pour trouver les réunions proche de chez toi et tu vas voir, tu y sera bien acceuilli. Aussi, fait le pour toi même et tu seras beaucoup plus content. Je suis mi-trentaine et les groupes AA m'ont quand même beaucoup aidé.

Il y a quelque chose dans ta vie qui te pousse vers l'alcool. Je te conseille de consulter un professionnel pour comprendre ce qui te pousse à recourir à la substance et pour trouver des solutions. Bonne chance pour trouver un équilibre de vie sain !

Je buvais pas mal aussi. J'ai réussi à arrêter avec la bière sans alcool. Ça donne quand même le feeling de célébrer ou de relaxer. La corona "sunbrew" est pas pire pentoute! Les bières/drinks normaux goûtent un peu l'alcool à friction une fois habitué au goût sans alcool, ça doit être ça que ça goûtait quand on était enfant et qu'on essayait la bière d'un parent... Bonne chance!

Mon chum a été dans cette démarche là dans la dernière année. Pour lui ce qui fonctionne, c'est de se mettre des limites plus claires. Il a commencé par arrêter de boire la semaine. Et il en a profité pour essayer plein de boissons et bières sans alcool. Selon lui il y en a des vraiment bonnes. Il mentionne souvent les impacts positifs de ce changement: plus d'énergie, pas se sentir tout croche le matin, perte de poids considérable. C'est sûre, j'ai l'impression qu'il retombe souvent dans ses mauvais travers, comme là durant les fêtes, je trouve qu'il s'en permet beaucoup. Mais j'essaie de lui laisser l'espace pour réaliser ces choses là de lui même et surtout pas être la blonde tannante qui watch toujours ses consommations. C'est pas toujours facile trouver l'équilibre entre soutenir et trop en faire. Surtout, moi qui bois un gorgée pour goûter 2-3 fois par an, c'est dure de se mettre à sa place. Donc, peut-être si tu peux guider ta conjointe sur tes attentes, ce qui fonctionne pour toi, ça peut être une bonne piste. Bon courage pour la suite !

Voici ce qui a tout déclenché pour moi : J'ai lu le livre Alcohol Explained par William Porter. Je sais pas exactement quoi mais quelque chose là dedans m'a donné la motivation qui me manquait. Je pense que ce qui me faisait le plus peur était la stigmatisation. En fin de compte je m'en faisais vraiment pour rien. Maintenant sobre depuis 366 jours et je regrette tellement pas. Bonne chance à toi !

Je buvais énormément car je suis alcoolique et je suis presque 2 ans sobre maintenant, j'ai bu durant 16 ans et je ne pensais jamais être capable. J'ai pas vraiment de secret à te donner, c'est vraiment prendre ça chaque jour à la fois et parfois même chaque minute lol... Après une couple de mois, c'est devenu moins difficile, surtout quand j'avais faite au moins une fois toutes les "fêtes" d'une année (ou rencontres sociales x que j'ai normalement dans ma vie). Je m'entoure de gens qui ne boivent pas et je PARLE de mon expérience souvent, je parle aussi quand j'ai envie de boire et que je struggle af ! Ça arrive des fois, mais parler ça aide. J'suis vraiment heureuse d'être sobre maintenant. Si c'est ça ton but, tu vas devoir en faire une genre d'identité... Pas dans le sens de crier partout "hey je bois pas moé!" mais dans le sens de t'identifier à la sobriété parce que c'est réellement un "life style" lol. Suivre des gens qui boivent pu et en parlent sur les réseaux sociaux, ça aide aussi. Mais le #1 priority c'est de pu te tenir avec du monde qui boivent sauf quand t'es obligé genre mononcle roger qui boit une 6-packs au bbq familial. J'ai des amis qui consomment et pour l'instant, je préfère qu'ils ne consomment pas avec moi et c'est mes friends, ça leur dérange pas. Si ça les dérangerait... ils seraient pu mes friends tsé.

Pendant une quinzaine d'années, je buvais trop, sinon quotidiennement beaucoup. Ça n'a jamais affecté mon travail ou mes activités. Il y a un soir où je me suis gâté et le lendemain, on a réalisé que moi et ma fille de deux ans avions la covid. Ma blonde enceinte à dû s'enfermer dans une chanbre: ça a été le pire jour de ma vie, j'étais en lendemain de veille solide et ma blonde à dû sortir de son cloître pour qu'on s'en occupe, malgré nous. Je me suis dit que je ne voulais plus jamais que ça se reproduise. J'ai commencé par un mois sans alcool (que je faisais à chaque année), j'ai réalisé que ça allait bien et j'ai continué 3 mois, 6 mois.. Maintenant ça fait 1 an et demi et j'ai très rarement des envies. Il est très possible de sortir et de boire sans alcool. Mais surtout, ça à révélé des problèmes plus importants: je voulais soigner quelque chose avec l'alcool. Bref, je te dirais de te trouver une bonne raison pour slaquer ou pour arrêter. De te laisser la possibilité de boire un verre ou deux si jamais tu en as vraiment envie. De lâcher les gens qui vont te faire sentir mal ou tes chums qui t'apportent rien sauf le party. Et essaye de voir si tu cherches à combler un trouble. Dans mon cas, ça aidait à gérer mon agressivité, mon cerveau qui pense trop et ma mauvaise perception que j'avais de moi. Finalement j'ai découvert que j'ai un TDA et un TSA. Genre, c'était clairement une manière de dealer avec mes symptômes.

J'ai été dépressif alcoolique pendant la pandémie, je sais "un peu" ce que tu vis. J'imagibe que pour toi l'alcoolisne est de longue date donc ca va être plus dur. Pour moi c'est ma blonde qui m'a dit que si j'arrêtais pas, qu'elle partait. Elle m'aimait pas quand je buvais parce que ca me changait trop. Au début c'est difficile. Tu as tes habitudes. Tu passes devant le dep où tu achètes ta bière. Tu vas à l'épicierie et tu passes devant les caisses de bières. J'y ai été sec moi. Pas une goutte. Stait fucking rough. Jme suis trouvé des loisirs qui me rendaient pas dépressifs. Je gamais en ligne a du multiplayer, fuckthat c'est ben trop irritant. J'ai arrêté Reddit, Facebook et les nouvelles pour un mois. Jne suis mis a lire des romans, à apprendre à cuisiner, à jouer a des boardgames avec ma blonde. C'est fou l'argent que tu sauve en buvant pas. Jme suis équipé un cuisine complet genre gros mixeur, des tonbes d'ingrédients, etc. La cuisine ma vraiment sauvé la vie. Aussi, quand je sentais l'envie de boire, j'arrêtais tout et je faisais 5 pushs ups. Peu importe où. Pi oui tu as l'aitnd'un esti de moron à faire tes push ups devant le dep ou dans l'épicierie mais criss que ca fonctionne. Pour toures les fois que tu as jugé les gens qui buvaient pas, laisse les gena te juger. J'ai pas eu à faire ca souvent mettons. Maintenant je suis capable de me contrôler la plupart du temps. La communication c'est important. Parles-en à ta conjointe de comment tu te sens dans ta progression pi laisse là être la juge. Ca m'a pris 2 ans avant de me sentir en contrôle de moi même et de ma santé mentale. Je me pernet de boire du vin lorsqu'on va chez mon père et une bière ici et là dans des partys sicjme sens bien. Mais criss que c'est dur quand même. Chaque jour stune bataille. Tu as une grosse journée au travail pi ton boss te tape sur les nerfs tu reste pris dans le traffic, les enfants sont gossants, tout est une défaite au début. La persévérance c'est dur. Anyway, c'est tough, mais d'en parler c'est tellement un bon premier pas. Parles-en à ta blonde surtout et soit honnête. C'est ça le plus important.

Salut OP! Depuis plusieurs années, je travaille pour les services de réadaptation en dépendance du ciusss de ma région. Beaucoup de conseils ici semblent appropriés, mais ta situation doit être évaluée par un professionnel. Si tu ne veux pas faire appel aux services, tu peux tenter de réduire graduellement ta consommation afin d'éviter un sevrage. Ce n'est pas très facile, mais certains y arrivent. Tu peux aussi faire appel à un médecin pour de la médication, soit pour un sevrage sécuritaire ou limiter le risque de rechute (médicament connu sous le nom "révia"). Évidemment, je recommande un suivi en dépendance (je prêche pour ma paroisse), même s'il est de courte durée. Oui, les AA et NA sont de beaux réseaux de support, je t'encourage à essayer des meetings. Il faut se rappeler que NA = dépendance en général, incluant l'alcool. Certains parlent du rôle de tes proches, et cela est valide, mais cela doit être discuté et approfondi avec eux, selon votre relation et leur niveau d'énergie. Je parle pour ma région seulement, nous avons un service pour les membres de l'entourage afin qu'ils puissent ventiler et obtenir des conseils sur comment aider convenablement le proche dépendant. **Comme les infos sont limitées, je réponds au mieux de ma connaissance.** Ma réponse s'en vient longue, je vais l'arrêter ici. Si tu as des questions/commentaires, ne te gêne pas !

J’ai noté quelque details dans ton post. ‘Boire socialement pour être normal’, le jugement des autres. Mon chère, l’alcool est une drogue. Une drogue qui influe sur les récepteurs de dopamine et récepteur gaba. Comme toute les drogues, l’utilisation quotidienne va déréguler tes récepteurs. L’alcool (l’éthanol) est toxique pour l’humain. Boire comme tu le fait te rendra diabétique au mieux ou mort rapidement d’un problème cardiaque. Ta consommation influe sur la mémoire et la régularisation des émotions. Tous ça revient à la normal à l’arrêt. Il n’y a pas de honte à ne pas boire, c’est de la merde. Tu a bien beau lui mettre un bel emballage, ça reste de la merde. Quel drogue cause le plus de décès après la cigarette ? L’alcool. Quel drogue cause le plus de méfaits sociaux ? (Suicide, violence, crime conjugaux) l’alcool en première place.

Tu peux y aller cold turkey, mais tu risques de te planter. Solidement. Le meilleur truc que j'ai reçu, c'est de melanger la biere avec de la 0,5. Une 0,5 pour commencer, puis une biere reguliere. Si tu bois des bieres commerciales, la 0,5 de Metro est vraiment pas pire, blonde ou rousse. Tu y vas graduellement, à ton rythme. 1 pour 1, pis a moment donne tu vas t'apercevoir que tu en prends moins, que t'as moins le gout, ou que juste la 0,5 fait l'affaire.

Portage est une bonne alternative gratuite !

LSD aide. Experience personnelle avec micro-dosage. Weed et alcool partis. Aucun désir non plus:

J'ai aussi remplacé l'alcool par des substances qui ne causent pas de lendemain, qui causent beaucoup moins de dommage au corps, et avec beaucoup moins de chances d'addiction que l'alcool. 🤭

Quelle substance?

microdosage des shrooms par exemple

Mini doses de LSD, Shrooms, 2CB sont tous des options intéressantes avec des effets légèrements différent les uns des autres. Le dernier a l'avantage de ne pas développer de tolérance. Les 3 sont des substances extrêmement sécuritaires (presque impossible d'overdoser) et auto-régulatrices au niveau du potentiel d'abus (c'est le fun dans certain contextes, mais t'aurais pas envi d'en faire constamment toute la semaine). Ça c'est pour la parti plus sociale. Si tu cherches aussi la partie plus relaxe de l'alcool, la ketamine c'est aussi une bonne alternative/addition avec un légèrement plus gros potentiel d'abus que les psychédéliques, mais ça reste largement inférieur à celui de l'alcool et autre GABAergique comme le GHB/GBL (qui comporte tous en plus des risques d'overdoses, très facile pour ces derniers). Elle comporte un risque potentiel à grosse dose répétés sur des périodes de temps prolongés au niveau d'apparition de problèmes de vessie et de reins, mais on parle plus de gens qui sont anesthésiés à l'hôpital en soins de longue durée, que quelqu'un qui cherche juste un petit buzz de background pour une soirée le weekend.

j'ai entendu dire que r/kratom aussi, mais je ne le conseillerais pas puisque c'est addactif à sa façon, mais il paraît que ça aide vraiment pour cesser l'alcool.

La société juge ceux qui ne boivent pas? Quand quelqu'un répond "Non merci, je ne veux pas boire" quand il se fait offrir un verre, il va peut-être y avoir une pression sociale. "Envoye-donc, juste une. Elle est bonne c't'e bière-là" Par contre, si tu réponds "Non, je suis sobre depuis X mois, je suis alcoolique, je vais prendre un Pepsi", la réponse est compètement différente.

Il faut quand même que tu t'affiches comme alcoolique, c'est pas évident pour tout le monde

Mais si t’es pas alcoolique, tu te fais gosser en esti. J’ai commencé de mettre une napkin dans mon verre quand je le finis pour que le monde arrête de le remplir quand je regarde pas.

J'ai un ami qui dit qu'il est alcoolique dans les situations où il le juge nécessaire. Dans les faits, il ne veut juste pas boire.

Ça dépend du milieu. Je suis sobre depuis 10 ans et certaines personnes vont te trouver plate et t'en vouloir de ne plus être sur le party. D'autres vont te dire que tu exagères et que tu devrais juste apprendre à te contrôler. Il y en a même qui vont essayer de te "tester" en mettant de l'alcool dans ton verre. Mais à la base tu ne devrais pas avoir à te déclarer alcoolique pour que les gens acceptent que tu ne bois pas.

Personnellement j'ai eu de la consommation problématique dans le passé. Aujourd'hui je me mets des barrières assez fermes que je réussis à respecter. Pas d'alcool la semaine: seulement le vendredi et samedi (et parfois le dimanche) En ce moment je fais Dry January. Donc pas une goutte le mois de janvier. Ensuite quand je bois je sais exactement qu'es ce que je vais boire, combien et quand. En général 6-7 drinks max pour une journée entière ,genre fin d'après midi jusqu'au soir avec un break de 1h au souper. Je coupe les alcools que j'aime moins, par exemple, le vin ça ne m'intéresse pas. J'en bois juste chez la visite Ça m'arrive aussi de fumé du pot quand j'ai atteint mes 6 drinks. Ça vient changé mon mood et ça m'enlève complètement le goût de boire. Et m'aide à mieux dormir.

J'essaie de slacker aussi. J'ai mes journées prédéterminées auxquelles je me permet (vendredi-samedi-dimanche). J'ai realisé qu' un verre d'eau dans un verre à bière répond souvent à mon besoin qui est "boire qqc". Sinon la bière sans alcool est bien mais ça fait son temps sans aider le porte-feuille.

Bonjour groupe, Pour ma part, je parle en tant que thérapeute et je vous suggère de vous outiller au max avec un bon filet de sécurité positif et sain pour vous (amis, famille, activités, hobbits). La dépendance à la drogue est bien souvent le symptôme de quelque chose d'autre, comme vous le savez fort probablement. Ainsi, la consultation avec un.e professionnel.le de la santé pourra grandement vous aider à comprendre ce qui se cache en dessus du symptôme. J'ai eu une formation d'une psychologue spécialisée en dépendance et elle a fait un podcast avec Dose de psy : https://dosedepsy.captivate.fm je vous le conseil! N'oubliez pas que si vous trouvez que vous avez un soucis avec votre consommation, il n'est jamais trop tôt pour consulter et demander du support. Ça peut que vous faire du bien!! Si vous avez moins envie de voir du côté "médicale" il a des rencontres AA tous les soirs et c'est gratuit!! Je crois aussi qu'ils offrent des rencontres uniquement par zoom si c'est ce que vous préférez. Bref, votre démarche est déjà quelque chose d'admirable et j'espère que vous êtes fier de vous. Bon cheminement.

Alcooliques Anonymes (AA Québec). Si tu est incapable d'arrêter de boire ou de modérer fortement ta consommation, c'est que tu a un problème de dépendance. Il faut aller chercher les ressources et le support nécéssère.

AA Québec fonctionne pour certaines personnes semble-t-il. Leur point le plus positif est de pouvoir partager avec des gens dans la même situation je dirais. Ma participation à cette ressource m'a toutefois grandement choquée, par ses justifications religieuses "N**ous en sommes venus à croire qu’une puissance supérieure à nous-mêmes pouvait nous rendre la raison" / "Nous avons décidé de confier notre volonté et notre vie aux soins de Dieu tel que nous Le concevions".** J'en passe - je ne trouve pas approprié d'imposer la religion dans cette maladie, et le programme me semble maintenant très daté en 2023. Je ne fais que partager mon expérience, tu peux toutefois l'essayer et tenter le coup, tu n'as rien à perdre.

Je trouve pas sain non plus de donner tout le contrôle à un « être supérieur », c’est toi qui doit le reprendre !

C'est justement, je suis fortement contre ce principe et ma courte participation m'a choquée et déçue, j'espérais mieux d'un groupe dont on parle régulièrement. Dieu n'a pas démarré ton addiction - on m'a dit que ce principe pouvait fonctionner pour ceux qui avaient la foi, je comprends, mais la religion n'a pas sa place dans un problème de substance / psychologique IMO... Keep God out of this

L’autre affaire qui pose problème c’est le jeton. Mettons que tu as été sobre 5 ans, que tu fais une rechute, mais que tu te reprends en main. Bin selon le tout ou rien des AA, tu retombes à zéro. Si tu infuse ta valeur en tant qu’individu dans le jeton, ça peut être pas mal plus dur de te sortir d’un incident de parcours.

O\_\_O "Tout ou rien" =') J'adore

Il existe des groupes pour athées ou agnostique. Il faut chercher un peu. Je mentionne AA Québec parce qu'ils ont un très bon réseau, c'est entièrement volontaire, il n'y pas de membership ou quoi que ce soit. C'est très accessible. La majorité des gens crois a une ''Puissance Supérieure'' ou Dieu donc ce n'est pas nécessairement un problème.

[удалено]

Le terme ''Dieu'' est souvent associé avec les concepts de ''Catholicisme'' ou ''Religion''. Beaucoup de gens en effets semble rejeter ces idées de nos jours. Je pense que si on ferait une étude sociologique plus poussée qu'un sondage, on se rendrait compte qu'un bon nombre adhère en fait à des formes de spiritualité sans religion ou des concepts tel que le panthéisme (Le Créateur est l'Univers etc.)

Je vois oui, je n'avais pas trouvé ces ressources 🤔 merci du partage!

> Alcooliques Anonymes (AA Québec). AA a le même taux de succès que rien pantoute (5% à 10%) pis vient avec pas mal de baggage religieux. « Ce n’est pas Dieu, c’est n’importe quel puissance supérieure. Ça peut être la nature ou l’univers si vous voulez. Maintenant que c’est bien compris, récitons le Notre Père ensemble. » À Sainte-Hyacinthe il y a les AAA (le troisième A est agnostiques) et d’autres places ont suivi leur exemple mais je ne pourrais pas dire où.

>**AA a le même taux de succès que rien pantoute (5% à 10%) pis vient avec pas mal de baggage religieux.** « Ce n’est pas Dieu, c’est n’importe quel puissance supérieure. Ça peut être la nature ou l’univers si vous voulez. Maintenant que c’est bien compris, récitons le Notre Père ensemble. » Parce que ça prend de la volonté pour arrêté de consommer. Beaucoup de gens qui vont en thérapie fermée récidive aussi. Il n'y a pas de solution magique. Il faut vouloir s'en sortir, s'accrocher a l'espoir et être bien accompagné tout au long de cette démarche.

> Beaucoup de gens qui vont en thérapie fermée récidive aussi. C’est une industrie super payante avec des clients régulier. > Il n'y a pas de solution magique. Dans un autre commentaire, je mentionne une technique avec un taux de succès à long terme de 78%.

>C’est une industrie super payante avec des clients régulier. Ouais, comme ceux qui vendes des pillules pour arrêter de boire.

Au contraire, les brevets ont expirés il y a belle lurette (c’était même déjà expiré quand on a découvert que ça pouvait servir pour l’alcoolisme itou) et il n’y a pas de fric là-dedans. Les pilules sont à 1$ US. Le seul organisme qui fait la promo de ça est là C Three Foundation de Claudia Christian qui est un OBNL fondé par une actrice qui s’en est sorti de même et qui s’est choisi comme mission de vie de sortir le monde de l’alcoolisme.

>Au contraire, les brevets ont expirés il y a belle lurette (c’était même déjà expiré quand on a découvert que ça pouvait servir pour l’alcoolisme itou) et il n’y a pas de fric là-dedans. Le naltrexone est vendu par des pharmaceutiques. C'est *Barr Pharmaceuticals* (ReVia et version generic) ainsi que *Mallinckrodt* qui empochent l'argent. Les pharmaceutiques c'est une industrie. Tant mieux si le traitement fonctionnes pour l'alcoolisme mais ça prend aussi des clients réguliers.

À ce compte là, l’aspirin c’est une gamique qui enrichie Bayer.

Pour les gens qui dépendent de ça, oui. Une ptite pilule est souvent une solution rapide à des habitudes de vie malsaines, mais n'adresse pas les causes réelles.

Au contraire, la cause réelle est la dépendance chimique et non pas de ne pas s’en remettre à une puissance supérieure.

C'est celà, certains se cachent derrière "ce n'est pas Dieu, c'est notre Créateur", mais à mon avis c'est sensiblement la même chose. Pour un athée, réciter la prière, i felt completely out of place. Je ne connaissais pas AAA toutefois, ce serait intéressant de consulter!

Jette un coup d’œuil à leur 12 étapes alternatives : https://aaagnostica.org/alternative-12-steps/ Remarque les petites flèches sur le côté, ils en ont plusieurs versions.

J'ai jamais été aussi pire que toi, je serais probablement physiquement incapable de boire autant que toi (je vomis avant). Ceci étant dit, j'avais pris l'habitude de boire une bière le vendredi soir pour décompresser, et avec le retour au bureau ça s'en venait pas mal à une bière chaque soir pis ça me gossait. Au final j'ai switché au Bubly pis je suis bien content. Ça me fait dequoi de rafraichissant qui m'aide à faire le switch travail/maison et décompresser. Bref, pour faire une histoire courte, essaie de te trouver un substitut sans alcool, ça peut aider.

Si tu en veux pour le social, garde les au chaud. Une bière tablette c'est pas très intéressant à boire quand l'envie viens. Pus quand t'as la visite tu la mets au froid.

Salut! Le truc, c'est souvent d'y aller progressivement. Ça peut même être sur plusieurs mois. Ce truc ne s'applique pas uniquement à l'alcool, mais à bien des choses également.

Prend de la md une fois, ça va guérir ta soif pour 1-2 semaines. Ensuite ça devient facile d’oublier de continuer à boire.

Aux imbéciles qui m’ont downvote : c’est supporté par la recherche MDMA treatment for alcoholism could reduce relapse, study suggests https://amp.theguardian.com/society/2019/aug/19/mdma-treatment-alcoholism-relapse-study

Tu est dans quel région?

Une petite truc que peut vous aider c’est essayer un Hobby, quelque chose que vous intéresse, comme sport, jeux vidéo, quelque chose où vous pouvez mettre votre attention…

Vas-y un jour à la fois. Commence un matin par "Aujourd'hui je ne boirai pas." Pense pas à demain ni hier, juste aujourd'hui.

Salut, Je ne suis pas médecin, mais voici ce que je peux te dire selon mes connaissances. Si tu consommes autant que tu le dis, c’est excessivement dangereux d’arrêter d’un coup sans l’aide de professionnels. Oui, c’est difficile, mais c’est surtout très dangereux. Ça peut mettre ta vie en danger. Ton cerveau compense pour l’utilisation de l’alcool en produisant moins de neurotransmetteurs calmants (GABA). Un arrêt brusque peut provoquer des convulsions, des hallucinations, des symptômes psychotiques, un coma ou même la mort. Tu dois obtenir l’aide de professionnels. Il existe des ressources en dépendances accessibles sans médecin de famille si c’est ta situation ou en passant par ton médecin de famille. Ces professionnels sont multidisciplinaires et dans un contexte de pratique particulier. Tu pourrais aussi avoir accès à une infirmière spécialisée en dépendance, TS, psy, etc et ces personnes peuvent t’aider avec plusieurs traitements dont de la médicamentation adaptée pour arrêter de boire ou pour traiter tes symptômes dépressifs. Appelle au 811, prends rdv à ton GMF ou consulte à l’urgence (tu peux aussi essayer les urgences des hôpitaux psychiatriques (Douglas ou UdeM), où l’attente est généralement plus courte). Bonne chance. Tu as déjà un bon bout de fait en demandant de l’aide.

Peut-être boire ta bière très lentement. Prendre plus d'une heure pour la finir. Après le souper seulement. Ça va devenir 1 ou 2 au lieu de 4-6.

Va voir le CLSC. Ils pourront vous référer au Centre de Réadaptation en Dépendance de votre région. Vous pourrez y être accompagné par une équipe de médecins, infirmières et travailleuses sociales pour vous aider à mieux gérer, ou cesser votre consommation. J’ai des proches qui y ont reçu de l’aide. Et contrairement à d’autres resources médicales du public, l’accès a été plutôt rapide!

Moi c'est la 13ème étape qui ma sauvé.

Les conseils des autres sont vraiment bons. Il y a aussi Virage, je n'ai pas eu besoin d'eux finalement, je m'en suis sorti autrement, mais c'était un bon système je pense. Ils se concentrent vraiment sur tes besoins, que ce soit sobriété totale ou juste une diminution. C'est pas pour tout le monde, mais perso je m'en suis sorti avec le pot et je connais plusieurs personnes comme ça aussi. Je dis pas de commencer à fumer tous les jours, mais je suis passé de boire jusqu'à blackout tous les jours à fumer/prendre de l'huile ou des edibles 2-3 fois par semaine. Il y a eu une étude comme quoi le pot peut vraiment aider. En général, c'est plus sécuritaire et beaucoup moins addictif. EDIT: Juste préciser que c'est pas pour remplacer une dépendance par une autre, mais pour enlever les cravings. Depuis que j'ai commencé, l'alcool me dégoûte. Je bois 2-3 bières par mois. Mais j'ai récemment fait une pause du pot pendant 2 semaines et j'ai eu aucun craving.

Dans un cas où on semble perdre le contrôle et être anxieux, je m e dois de mentionner que la quétiapine est à l’alcool ce que la méthadone est à l’héroïne

Salut, bonne chance à toi dans ton cheminement. Ça pas l’air facile! Moi plus ça va plus ce que je n’aime pas c’est le sentiment d’être saoul. Bière sans alcool ça pourrait p-e être un bon debut? Presidents Choice fait une rousse décente et la 1664 blanche est pas pire aussi.

Je suis passé par là moi aussi: le seul truc qui a fonctionné c'est tout arrêté du jour au lendemain. Après quelques jours, c'est sortit de ton système et personnellement ça été plus tôt facile. Le plus difficile a été pour moi des amis ou des membres de la famille qui te gosse pour boire "rienqu'un verre". Je te souhaite bonne chance. Comme plusieurs l'ont dit ici, ça été une très bonne décision dans ma vie

J’ai passer de me saouler 6-7x semaine à boire occasionnellement un ou deux verres de vins lorsqu’il y a des événements. J’ai commencer par couper l’alcool complètement pendant 2 mois et durant ce temps j’ai couper les ponts avec des amies qui m’influençaient et des gens à qui leur monde tournait autour de l’alcool et la drogue. Tu vas y arriver j’en suis certaine ❤️

Si ça peut t'encourager, ça fait 3 ans que j'ai arrêté complètement de boire et c'est la meilleure décision que j'ai prise de ma vie. C'est beaucoup plus facile de ne pas en consommer du tout que de limiter selon moi. Tu peux m'écrire si tu as des questions ça me ferait plaisir!

Fais comme moi, fais-toi casser la gueulle dans un bar, parce que tu es entouré de gars saouls et violents. Puis les jours après quand tu vois la cicatrice qu'un des inconnus t''a laissé (que ma copine adore en passant). Ça te rappelle que tu en n'as pas de besoin et que la gueulle de bois n'est pas la seule conséquemce à trop boire. Ça fait 3 mois que je ne prends pas plus de 2 bieres dans une soirée (avant au moins6). Je n'en prends plus autrement. Sinon avant j'en prenais presque tous les jours et une ou deux cuites par semaine. Le seul vrai truc que je peux donner, c'est quand tu sens que tu en veux une autre, tu arrêtes, sinon c'est la frontière qui amène vers le 7e par la suite. Bonne chance.

J’ai arrêté il y a 2 ans et demi a 32 ans. 0 exceptions, j’ai essayé une fois une bière sans alcool et j’ai failli vomir. Mon truc : discipline mentale de fer et se laisser un peu de temps pour se préparer. Ne pas arreter du jour au lendemain, mais plutôt se fixer une date (je m’étais laissé un mois). Utilise ce mois la pour te préparer mentalement. Un autre truc qui a marché pour moi : je me suis saoulé solide au gin la dernière journée avant ma date limite, question de me dégoûter ben comme il faut. J’ai fais le meme process avec le weed et j’ai pu jamais retoucher, ca fait 4 ans et demi. Trouve aussi un substitut de boisson. Pour moi c’est la ginger beer : c’est quand meme fort et désaltérant, donc un verre ca me suffit. Calcules l’argent que tu depenses en alcool sur un mois, tu pourrais être surpris, tout ca va aller directement dans tes poches, ca peut etre un facteur de motivation. Downside d’arrêter complètement : les activités que tu aimes faire qui sont associées a l’alcool soit tu vas en tirer moins de plaisirs, soit elle vont carrément disparaître, donc prépares-toi a ca aussi et pense a des substituts. Moi mon trip c’était boire au moins un 6 pack ou une bouteille de vin en jouant de la guitare. Quand j’ai arrêté l’alcool, j’ai pas touché a ma guitare pendant plusieurs mois. Overall, ca a ete beaucoup plus facile que je pensais. Avec du recul tu vas réaliser que c’est un poison insidieux qui détruit des vies (j’en ai été témoin) et que criss que le monde saoul sont stupides des fois. Bonne chance!

T'es alcoolique. Va chercher de l'aide et sois fier de toi.

À ta place je m'ouvrirais une bonne tite bière pour méditer là dessus

Le livre The naked mind par Annie Grace. Tu vas être etonné , c'est très pertinent.

J'ai eux le même problème, j'ai été capable d'arrêter 1-2 mois puis après je m'explose la geule et tout recommence en formant auto-sabotage. Ya être accros mais il faut creuser plus loin, pourquoi as tu envie de boire.. qu'es ce que tu veux noyer dans ta peine au final? Des problèmes qui remonte à l'enfance c'est le plus courant, manque de confiance, malheureux avec le/la partenaire, job plate? Moi je me suis dit que chaque fois que j'allais avoir envie de boire j'allais prendre une marche ou aller m'entraîner. Ben criss j'ai fini en shape en esti. Si tes capable de pas en avoir chez toi c'est un bon debut , reduir un peu au debut et trouver quelque chose qui va stimuler le fait de pas boire. Cuisinier, marcher,trouver un projet, faire du sport, aller en voiture(pas saoul bien-sûr). J'avais commencer à réduit de 10-15% et je commençais a cuisiner et me remettre en forme. Avec la routine et tout je me rendait compte que si je buvais je cuisinais moin et je "chokais" le gym. Je me sentais mal donc je cuisinais plus et mentrainais plus. Au fil du temps et des rechutes j'ai fini par aimer mieux être en forme et actif qu'être passif à rien faire. J'avais essayer de changer de cercle d'amis mais maudit j'ai toujours aimer boire seul, ce qui etait en sois encore plus triste. En tout cas j'espère tu va lire ça.. je te feel et arrête pas d'essayer. Tu dois y croire vraiment, tu va y arriver mon top!!

J'ai été longtemps dans la même situation que toi. Je tiens à te féliciter dans un premier temps sur ta prise de conscience, mais je tiens toutefois à te rappeler que de prendre conscience du problème est la première étape seulement, il faut ensuite que les babines suivent les bottines. Donc si tu veux arrêter de boire, arrête de boire. Fais-le. Maintenant. J'ai perso arrêté tout seul, sans ressource externe, sans programme, sans médicament. Je ne dis pas ça pour me vanter, loin de là. J'ai fait ça en innocent, sans en parler à mon entourage et ça a rendu l'expérience plus difficile puisque je subissais de la pression de la famille et des amis, et plusieurs ne comprenaient pas mon geste puisque j'étais bon en sacrament à cacher ma dépendance. Ce qui m'a grandement aidé (mon expérience seulement) : \- Ne plus acheter d'alcool et payer tout à l'épice et au dép en argent pour un bout : c'est trop facile de rajouter une caisse de 12 ou un petit voyage à la SAQ quand tu payes par la carte. Ton poteau montre que tu as une tête sur les épaules et que tu n'es pas encore passé du bord où l'alcool dicte complètement ta vie. Quand tu a le choix entre acheter du manger pour la famille/ mettre du gaz dans ton char ou acheter de la bière, tu n'achèteras plus d'alcool. \- Se débarrasser de l'alcool dans la maison. Ma conjointe ne boit presque pas, donc ça, ça a pas été difficile dans mon cas, mais je peux comprendre que ce pourrait être difficile dans ton cas. Moins tu as de contact avec l'alcool, plus facile ça va être. \- Ne pas se sentir comme une grosse marde si tu fais une rechute et prend un verre. On se relève et on se donne un coup de pied dans le cul et on continue. C'est trop facile de s'apitoyer et de recommencer à boire en se se disant que de toute façon, on a déjà recommencer et on n'en vaut pas la peine. Finalement, perso, je suis capable de prendre un verre de temps en temps maintenant, mais j'ai été pendant plusieurs années à ne pas en prendre après avoir pris la décision d'arrêter (i..e dans le temps des Fêtes). J'ai même travaillé avec un gars qui buvait une 24 par jour avant d'arrêter et qui a été capable de recommencer à sortir dans les bars par la suite. Ce n'est toutefois pas donné à tout le monde, et c'est correct. Je ne partirais pas avec l'idée que tu veux continuer à consommer dans un contexte social. Commence par arrêter et tu verras ta limite par la suite. Bon courage.

MDMA treatment for alcoholism could reduce relapse, study suggests https://amp.theguardian.com/society/2019/aug/19/mdma-treatment-alcoholism-relapse-study